Ecurie Ferrari

Fernando Alonso a réussi à monter sur la deuxième marche du podium dimanche en Belgique. Neuvième sur la grille, sa remontée vers les sommets le laissent penser que ses chances de titre ne sont pas encore mortes.

L'Espagnol lâche encore sept points au vainqueur du jour et leader du championnat, Sebastian Vettel. Il compte 46 points de retard avant la course attendue par la Scuderia Ferrari et tous les tifosi, Monza. Alonso promet que l'écurie transalpine arrivera "pleinement motivée pour donner le sourire à ses fans."

"Le championnat est encore long"

Ce week-end à Spa, malgré une qualification mal négociée, Alonso se disait confiant pour la course. Il pensait avoir une chance de gagner là où il ne s'est jamais imposé. Encore raté, mais sa deuxième place le satisfait.

"Aujourd'hui, nous espérions réaliser la course parfaite. Le rythme était bon, la stratégie aussi, nous avons pu gagner des positions et de l'optimisme pour le championnat. Évidemment, nous avons perdu sept points (sur Vettel) mais j'ai senti la voiture performante ce week-end", déclare l'Asturien.

"Quand ils (Red Bull) dominent comme cela, votre seul objectif est de marquer autant de points que possible. Nous étions compétitifs lors des cinq premières courses, nous en avions gagné deux (Shanghaï et Barcelone). Nous avons fait un pas en arrière mais il semble que les nouveaux composants apportent ce que nous attendions. Le championnat est encore long, si la voiture est compétitive, vous pouvez vite revenir."

Ferrari et Fernando Alonso n'ont pas beaucoup de temps pour revenir. Le Grand Prix d'Italie se révèle déjà comme une course capitale. Si Vettel termine devant l'Espagnol, les chances de titre s'amenuiseront un peu plus.
© ESPN Sports Media Ltd
http://fr.espnf1.com/ferrari/motorsport/story/122019.html

mg(360px,216px)]https://i.servimg.com/u/f72/11/05/85/04/massa210.jpg[/img]
Les commissaires sportifs du Grand Prix d’Italie ont infligé une amende à la Scuderia Ferrari pour un incident ayant impliqué Felipe Massa à la fin de la première séance d’essais libres.

Le Brésilien avait ignoré un feu rouge à la sortie de la voie des stands alors qu’il préparait un essai de départ.

"Le pilote a immobilisé sa voiture quand il s'est aperçu que le feu était rouge. Cependant, l’équipe a commis une erreur en laissant repartir son pilote alors qu’il ne restait plus suffisamment de temps avant la fin de la séance", ont conclu les commissaires, qui ont sanctionné Ferrari d’une amende de 10.000 euros.
http://www.f1i.com/infos/ferrari-ecope-dune-amende/

La Scuderia Ferrari s’attendait à être compétitive sur le circuit de Monza, mais elle ne s’attendait probablement pas à ce que les Red Bull soient aussi rapides. Fernando Alonso et Felipe Massa feront de leur mieux pour redresser la barre avant la qualification de demain, mais ils doivent bien reconnaître que ce ne sera pas facile.

“Mes sensations sont les mêmes après chaque vendredi, je ne suis pas très heureux ni très triste de notre prestation, car nous devons attendre la qualification avant de nous prononcer,” commente Fernando Alonso. “La Red Bull semble très forte ici et c’est pour cette raison que nous devons encore trouver les quelques dixièmes qu’il nous manque avant la qualification. Nous devons encore analyser les données, mais je peux déjà dire que les nouveautés que nous avions pour cette course semblent bien fonctionner.”

“Il nous reste maintenant à tirer le meilleur de ce que nous avons afin de faire une belle course devant notre public. On peut espérer aussi que le temps sera de notre côté puisque l’on annonce des orages pour dimanche et nous devons donc nous préparer à affronter toutes les conditions. La dégradation des pneus est très faible ici et il devrait donc y avoir très peu d’arrêts au stand par rapport aux autres courses,” ajoute le pilote espagnol.

“Nous avons réussi à tester tout ce qui était au programme, c’est-à-dire un comparatif entre différentes solutions aérodynamiques afin de trouver le niveau idéal d’appuis aérodynamiques,” explique Felipe Massa. “Il nous reste maintenant à analyser les données afin que la voiture soit la meilleure possible pour la qualification et la course. Il est évident que tout ne s’est pas déroulé à la perfection, notamment à la fin de la seconde séance lorsque j’ai eu un problème avec ma boîte de vitesses. Lorsque j’ai voulu passer du premier au deuxième rapport, c’est le troisième qui s’est enclenché et je suis rentré au stand au ralenti. Nous ne savons pas encore ce qui s’est passé, mais je ne pense pas que ce soit très sérieux. Ce ne sera pas un week-end facile, car nos adversaires ont fait de très bons chronos avec les pneus tendres et en conditions de course, mais nous ferons de notre mieux pour être les plus compétitifs possible.”
http://motorsport.nextgen-auto.com/Ferrari-doit-faire-mieux-pour-battre-Red-Bull,65989.html

A la télévision, durant la troisième session de la séance de qualifications, un message radio entre Alonso et son équipe a été diffusé, message dans lequel on pouvait entendre l’Espagnol signaler à Ferrari que Massa était trop loin de lui, et qu’il ne pouvait donc pas prendre son aspiration, comme il l’avait fait jusqu’alors.

Même s’il a explicitement traité son équipe d’idiots, Alonso assure que ce n’était pas une plainte, mais plutôt une information donnée tout à fait normalement. "J’ai dit à la radio que Felipe était un peu trop loin si nous voulions faire ça, donc ils l’ont un peu ralenti et nous avons débuté notre dernière tentative à la même distance l’un de l’autre que d’habitude."

L’Espagnol précise aussi qu’il y a évidemment eu d’autres messages radios, dont un où il remercie tout le monde. Il regrette que celui-ci n’ait pas été diffusé. "Ils n’ont pas diffusé le dernier message, quand j’ai dit merci à Felipe et merci à l’équipe, et au final c’était parfait."

Il n’y a donc aucun problème entre Alonso et son équipe, ni entre Alonso et Massa. La conversation radio n’était pas une marque de colère ou d’énervement de la part du double champion du monde. "Avec Jean-Eric Vergne au milieu, nous étions un peu trop loin l’un de l’autre, donc je n’avais aucune voiture devant moi et je l’ai signalé à la radio. Du coup Felipe m’a un peu attendu à la Parabolique et j’ai pu effectuer le tour à peu près à la même distance de lui."

Alonso n’oublie pas son coéquipier et le remercie publiquement. "Donc je dois remercier Felipe. Nous l’avons fait en Q1 et en Q2, et au final ça a aussi bien marché en Q3."

Le pilote Ferrari est satisfait de la performance des Ferrari, avec Massa 4è et lui-même 5è. Entre les Ferrari et les Red Bull, il n’y a que la Sauber d’Hülkenberg, ce qui réjouit l’Espagnol. "Le pire pour nous, ce sont les samedi. Nous avons toujours trois ou quatre voitures entre nous et les Red Bull, donc nous devons doubler ces voitures, et quand nous l’avons fait, les Red Bull sont 10 secondes devant nous et nous conservons ensuite plus ou moins cet écart."

"Donc nous sommes très contents aujourd’hui, parce que j’espère qu’au premier virage nous n’aurons pas toutes ces voitures devant nous", continue-t-il, faisant probablement référence aux Lotus de Grosjean et Räikkönen, et à la Mercedes d’Hamilton, tous trois éliminés en Q2.
http://motorsport.nextgen-auto.com/Alonso-n-est-pas-en-colere-contre-Ferrari-ou-Massa,66055.html

Une communication radio dans laquelle Fernando Alonso traite ironiquement de "génies" ses collègues du muret a mis le paddock de Monza en émoi, obligeant la Scuderia à s'expliquer.

"Alors on va devoir le laisser passer. Vous êtes vraiment des génies." Au cours de la troisième partie d'une qualification qu'il allait terminer à la 5e place, Alonso a eu ces mots, reconnus par Ferrari.

L'Espagnol, qui a déjà "commandé" une Red Bull pour son anniversaire il y a quelques semaines, voulait-il faire de l'ironie à propos de la stratégie assez particulière de la Scuderia en qualification, consistant à rouler une F138 derrière l'autre pour profiter de l'aspiration dans les grandes lignes droites de Monza ?

Oui et non a répondu Ferrari, maintenant que les propos d'Alonso étaient bien ceux-ci mais qu'ils ne visaient pas la stratégie de l'équipe.

"Le mot de 'génies' se référait au fait d'avoir laissé passé Nico Rosberg avant de partir pour un dernier tour rapide", a rectifié Ferrari, qui n'a pu qu'à moitié empêcher de nouvelles rumeurs de partir sur le mal-être d'Alonso chez Ferrari, malgré toutes les déclarations faites par l'intéressé jeudi à l'effet qu'il veut continuer encore longtemps avec les rouges.

Rappelons que Luca di Montezemolo, le président de Ferrari, avait publiquement rappelé Alonso à l'ordre au lendemain du Grand Prix de Hongrie suite à certains propos impatients émis par ce dernier. Trois semaines plus tard, le double champion avait parlé d'un simple malentendu dans l'interprétation.
© ESPN Sports Media Ltd.
http://fr.espnf1.com/ferrari/motorsport/story/124061.html

Felipe Massa, quatrième de la qualification du Grand Prix d'Italie devant Fernando Alonso a insisté sur le fait que la stratégie déployée par Ferrari en faisait sortir les deux voitures roues-dans-roues avait parfaitement fonctionné.

Même si l'Espagnol s'est plaint de l'écart entre les deux voitures à l'abord du dernier tour lancé, le Brésilien comme l'Espagnol affirment que la stratégie a fonctionné : "Je pense que cela était bon", a déclaré Massa. "Pour être honnête, j'étais quatre secondes derrière Mark Webber et Fernando, trois secondes derrière moi, c'était complètement ce que nous avions prévu en termes de secondes".

"Vous n'avez pas besoin d'être très proche derrière la voiture, et si vous êtes très proche alors votre temps au tour sera plus lent, donc vous devez être entre trois et quatre secondes derrière une autre voiture", a-t-il ajouté.

"C'était très difficile pour moi parce que je n'ai réussi qu'à suivre une seule voiture en Q3. C'était d'ailleurs mon meilleur tour, le dernier, j'ai réussi à avoir Webber devant et c'était assez pour prendre un peu d'aspiration alors que Fernando était toujours derrière".
© ESPN Sports Media Ltd
http://fr.espnf1.com/italy/motorsport/story/124031.html

Le team principal de Ferrari Stefano Domenicali déclare que ses supérieurs font face à un choix difficile pour décider qui pilotera pour la Scudéria l’année prochaine.

Bien que qu’il y ait eu une spéculation croissante que ferrari remplacerait Felipe Massa par Kimi Raikkonen, Domenicali insiste sur le fait qu’aucune décision n’a encore été prise.

Cependant, en marge de discussion à Maranello pour définir les plans de son équipe, il admettait qu’arriver à s’entendre sur la question des pilotes était une tâche ardue.

« C’est un fait que nous voulons prendre le temps nécessaire et approprié, pour nous assurer que nous prenons la meilleure décision pour notre équipe, » déclarait Domenicali.

« Je pense que le fait que nous n’ayons pas encore décidé signifie que nous devons mettre tous les éléments sur la table. Nous voulons mettre toutes les considerations ici avant de prendre la bonne décision. Nous annoncerons et déclarerons quelque chose sur ce sujet une fois que nous l’aurons finalisé. Ce n’est pas une décision facile pour nous. »

Un retour potentiel de Raikkonen chez Ferrari a aussitôt précipitée la rumeur selon laquelle le futur de Fernando Alonso au sein de l’équipe ne serait pas garantie. »

Il y a eu des tensions entre Alonso et Ferrari ces dernières semaines, mais Domenicali est convaincu que l’espagnol reste l’homme de la situation pour Maranello.

« Il n’y a aucun doute que Fernando est un leader, et Fernando avec une Ferrari déplace des montagnes, » déclarait-il.

« Fernando sait cela trés, trés bien. Nous restons concentrés sur l’objectif que nous avons, qui est de gagner ensemble. »

JL pour formule1fo.com
http://formule1fo.com/ferrari-et-le-choix-des-pilotes-2014-une-decision-difficile/#more-7462

Stefano Domenicali, le patron de Ferrari, affirme qu'il aimerait garder Felipe Massa pour 2014, mais que le Brésilien aura besoin de produire de meilleurs résultats pour conserver son siège.

L'avenir de Massa apparaît une fois de plus incertain alors que son contrat expire à la fin de la saison et que ses résultats souffrent encore de la comparison avec ceux de Fernando Alonso. Alors que les rumeurs concernant le second baquet Ferrari et le remplacement de Massa vont bon train, Domenicali fait de son pilote numéro 2 actuel son premier choix à sa propre succession.

"N'oubliez pas, tout le monde veut piloter pour Ferrari", a déclaré Domenicali sur le site officiel de la Formule 1. "Nous devons attendre et voir. Mon choix favori serait, bien sûr, de garder Felipe parce que Felipe est un très bon gars, très dévoué à l'équipe. Et quand vous regardez autour il n'y a pas autant de pilotes qui vous pouvez échanger et les voir immédiatement compétitifs."

Et l'option Kimi ?

"Mais, bien entendu, nous avons besoin qu'il produise de bons résultats et c'est pourquoi nous n' allons pas nous précipiter. Nous devons prendre la bonne décision pour l'équipe. Dès que nous le saurons, nous l'annoncerons officiellement afin de faire taire les rumeurs une fois pour toutes", a-t-il ajouté.

Interrogé sur la possibilité de remplacer Massa par Kimi Raikkonen, Domenicali s'est montré prudent : "Kimi est un pilote très rapide et tout le monde sait combien je l'estime. Mais si je fais un commentaire maintenant, ce sera considéré comme une réponse directe. Il n'y a pas d'urgence et nous allons prendre la bonne décision au bon moment."

Quant à la possibilité de voir Alonso quitter l'équipe, Domenicali préfère en rire. "Cela fait partie du jeu psychologique, honnêtement je m'en fous", a-t-il dit. "Nous avons un contrat sur le long terme, alors toutes ces histoires n'ont aucune importance (...) J'en ris et je pense aux pauvres gens qui lisent ce genre de chose. S'ils connaissaient la vérité, ils ne liraient plus jamais ces absurdités."
http://fr.espnf1.com/ferrari/motorsport/story/122547.html

Fernando Alonso a vécu une séance qualificative une nouvelle fois décevante ce samedi à Suzuka, terminant à sept dixièmes de la Red Bull de Mark Webber, en huitième position.

A son retour dans le paddock, le pilote espagnol n’était pas déçu pour autant. Il a souligné qu’il était habitué à ce genre de contre-performance depuis maintenant quatre ans.

"Je ne suis plus frustré, a-t-il déclaré. Cela fait quatre ans que nous sommes une seconde derrière Red Bull. Nous occupions la septième place sur la grille de départ en Corée, nous n’étions pas dans le coup en qualifications, et il ne fallait pas s’attendre à un miracle en arrivant au Japon cinq jours plus tard."

"Nous pensions concéder entre huit dixièmes et une seconde à Red Bull, et nous sommes à peu près à huit dixièmes. Le résultat d’aujourd’hui n’est donc ni une surprise ni une frustration."

"Nous nous efforçons à faire de notre mieux chaque week-end. Nous connaissons certaines des difficultés que nous rencontrons et nous connaissons nos points forts, qui sont les départs, la dégradation et la stratégie, et nous les utilisons pour inscrire des points en course. C’est ce qui nous permet d’occuper aujourd’hui la deuxième place du championnat et nous essayerons d’utiliser une nouvelle fois nos points forts demain. Mais nous n’avons pas à ressentir de la frustration le samedi."

Alonso a indiqué qu’il espérait terminer devant les Mercedes demain afin de permettre à la Scuderia de conserver sa deuxième place au championnat des constructeurs.

"Le top 5 est peut-être un objectif réaliste pour nous mais nous devrons dépasser quelques voitures pour y parvenir, a-t-il précisé. Nous n’avons qu’un point d’avance sur Mercedes et leurs pilotes sont tous deux devant nous sur la grille de départ. Je devrai donc terminer devant au moins l’un d’eux demain."

http://www.f1i.com/infos/alonso-quatre-ans-sommes-derriere-red-bull/

13 octobre 2013 - 13h39, par Olivier Ferret

Felipe Massa a eu ordre de laisser passer Fernando Alonso lors du début de course, recevant un message codé de la part de son ingénieur, Rob Smedley : "multi-function strategy A, now please."

Massa a bien compris que le "now please" demandait de laisser passer Alonso mais il a ignoré la consigne, restant fidèle à ce qu’il a déclaré lorsqu’il a appris que Ferrari ne renouvellerait pas son contrat.

"Vous n’êtes jamais heureux d’avoir des instructions," commente-t-il. "Nous en discuterons, c’est certain, nous le faisons toujours. Mais j’étais heureux de ma course. Quand Fernando m’a passé, c’était à la régulière. Je ne me suis pas écarté."

Que peut bien risquer Felipe ? Pas grand chose. Même son équipier ne lui jette pas la pierre.

"Non je ne suis pas énervé. Pas vraiment. On ne peut pas faire toute une histoire de ça. On est là pour courir et de toute façon nous ne pouvions pas faire plus aujourd’hui. Je ne sais pas exactement ce qui est arrivé entre Felipe et le muret mais il n’y a aucun problème pour moi."

"Nous essayons tous, Felipe, moi et l’équipe, de marquer le plus de points possibles," poursuit Alonso. "Parfois c’est facile, parfois non, mais là c’est à cause de notre performance. Ce serait bien de revenir à l’époque où Ferrari se battait pour le doublé et décider qui allait gagner. Comme Red Bull aujourd’hui."
http://motorsport.nextgen-auto.com/Massa-a-ignore-les-consignes-d-equipe-de-Ferrari,67870.html

Ferrari a indiqué qu’elle était désormais l’heureuse détentrice de l’arrêt aux stands le plus rapide jamais enregistré par une écurie de Formule 1 depuis la création du championnat du monde en 1950.

La Scuderia a enregistré, lors du Grand Prix du Japon, un pitstop en 1,95 secondes pour changer les quatre roues de Fernando Alonso, battant le précédent record de 2,05 secondes qui avait été établi par Red Bull en Malaisie.

"En 2011, un bon arrêt était observé en moins de 3,5 secondes. Descendre sous la barre des trois secondes était exceptionnel", commente Diego Ioverno, responsable des opérations piste de Ferrari, sur le site officiel de son écurie.

"En 2012, l’arrêt aux stands moyen était tombé à 2,8 secondes et un stop en 2,4 secondes restait encore exceptionnel. Aujourd’hui, nous observons en moyenne un arrêt en 2,48 secondes et, à Suzuka, l’arrêt d’Alonso réalisé en 1,95 secondes était un temps canon."
http://www.f1i.com/infos/ferrari-pulverise-larret-aux-stands-rapide/

James Allison, le nouveau directeur technique de Ferrari, affirme que l'écurie italienne doit faire des progrès au cours des quatre dernières courses de la saison 2013 pour être en mesure de défendre sa 2e place dans le classement des constructeurs.

Ferrari n'a réussi à marquer qu'un total de 23 points lors des deux dernières sorties, en Corée et au Japon. Ces résultats sont insuffisants pour la marque au Cheval cabré qui doit contrer les attaques de Lotus et Mercedes.

Remettre Ferrari dans le bon sens

"Les Grands Prix de Corée et du Japon ont tous deux été décevants car notre voiture ne pouvait se battre à l'avant, elle n'était pas au niveau où elle devrait se situer", a déclaré le transfuge de chez Lotus. "Toutefois, l'équipe signe de très bons résultats sur la piste avec un groupe qui est stratégiquement très astucieux et nous avons des pilotes qui peuvent ramener la voiture dans de bonnes positions. Mais ces résultats ne sont pas ce que nous visons, nous devons nous améliorer pour les courses restantes."

Allison a également commenté son retour au sein de la Scuderia, qu'il avait quittée pour rejoindre l'écurie Renault, ensuite devenue Lotus. "Après neuf ans d'absence, j'ai un mélange de sentiments qui me reviennent à Maranello", a-t-il dit. "Il y a de l'excitation, mais aussi beaucoup de nostalgie, car c'est une équipe avec qui j'ai partagé beaucoup de bons souvenirs grâce à toutes ces victoires entre 2000 à 2004."

"Donc, de la nostalgie, de l'excitation et du plaisir de voir autant de visages connus", a conclu Allison. "Mais surtout, j'ai un sentiment de détermination à jouer mon rôle aux côtés de tous les autres. L'objectif est de gagner à nouveau avec Ferrari."
© ESPN Sports Media Ltd.
http://fr.espnf1.com/f1/motorsport/story/131145.html

Fernando Alonso a dû se soumettre à des examens médicaux après le Grand Prix d'Abou Dabi. Son dépassement sur Vergne n'a pas été sanctionné mais il lui a apporté une sérieuse douleur au dos.

Après son deuxième arrêt au stand, l'Espagnol est ressorti au coude-à-coude avec le Français Jean-Éric Vergne. Il avait dû mettre les quatre roues en dehors de la piste, sans être pénalisé a posteriori par les commissaires.

En revenant sur la piste, il a percuté violemment un vibreur et subi un impact d'une force de 25g dans le dos. Après la course, il a dû effectuer des tests dans l'hôpital de l'Émirat. Une simple précaution demandée par la FIA, d'après un porte-parole de la Scuderia. "J'ai toujours toutes mes dents", a plaisanté Alonso. "C'était un gros choc, j'ai mal au dos. Mais je serai en pleine forme pour Austin (lieu du prochain Grand Prix, dès le 15 novembre)."
© ESPN Sports Media Ltd.

http://fr.espnf1.com/f1/motorsport/story/133731.html