GP des Etats-Unis 2 Novembre 2014 Austin
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GP des Etats-Unis 2 Novembre 2014 Austin
Longueur 5.470kms
Circulation anti-horaire
Designer Hermann Tilke
Re: GP des Etats-Unis 2 Novembre 2014 Austin
- GP des États-Unis
Deux zones DRS à Austin
ESPN Staff
29 octobre 2014
Romain Grosjean devant Mark Webber à Austin, la saison 2013 © Sutton Images
Agrandir
Comme en 2013, la FIA a décidé de conserver deux zones DRS sur le circuit d'Austin, à l'occasion du Grand Prix des États-Unis.
En 2012, pour l'épreuve inaugurale sur cette piste, remportée par Lewis Hamilton, les pilotes pouvaient ouvrir leur aileron arrière mobile dans la plus longue ligne droite située entre les virages 11 et 12.
Depuis l'an passé, cette zone a été conservée, avec détection avant le virage 11 en épingle et activation après. Mais il y depuis, une deuxième zone.
Le point de détection est installé après le virage 18, les pilotes à moins d'une seconde de celui qui les précèdent auront le loisir d'activer leur DRS (Drag Reduction System ou Système de Réduction de la Traînée) après le double gauche 19-20, dans la ligne droite de départ/arrivée qui remonte vers le virage n°1.
© ESPN Sports Media Ltd.
http://fr.espnf1.com/usa/motorsport/story/181127.html
Re: GP des Etats-Unis 2 Novembre 2014 Austin
Actus F1 ////
Palmarès : Les 10 derniers vainqueurs aux Etats-UnisPosté le mercredi 29 octobre 2014 à 10:45, par Basile Davoine
Ce week-end, le Formula One Circus a rendez-vous aux Etats-Unis, sur le Circuit des Amériques. Le COTA, qui a fait son apparition en F1 il y a deux ans, a rapidement été adopté par les pilotes lors des deux précédentes éditions.
Retrouvez ci-dessous le palmarès du Grand Prix des Etats-Unis sur les dix dernières éditions de l’épreuve. Au début des années 2000, la F1 avait effectué un premier retour aux USA sur le circuit d’Indianapolis. La catégorie reine s’est ensuite absentée pendant cinq ans, avant de faire un retour remarqué au Texas, sur le circuit d’Austin.
2013 | Sebastian Vettel | Red Bull Racing-Renault | Sebastian Vettel |
2012 | Lewis Hamilton | McLaren-Mercedes | Sebastian Vettel |
2007 | Lewis Hamilton | McLaren-Mercedes | Lewis Hamilton |
2006 | Michael Schumacher | Scuderia Ferrari | Michael Schumacher |
2005 | Michael Schumacher | Scuderia Ferrari | Jarno Trulli |
2004 | Michael Schumacher | Scuderia Ferrari | Rubens Barrichello |
2003 | Michael Schumacher | Scuderia Ferrari | Kimi Räikkönen |
2002 | Rubens Barrichello | Scuderia Ferrari | Michael Schumacher |
2001 | Mika Hakkinen | McLaren-Mercedes | Michael Schumacher |
2000 | Michael Schumacher | Scuderia Ferrari | Michael Schumacher |
Re: GP des Etats-Unis 2 Novembre 2014 Austin
F1i TV : Présentation du Grand Prix des Etats-Unis
par Ziv Knoll le 29/10/14 à 16:53
3
Pierre Van Vliet et Ziv Knoll vous présentent la prochaine manche du calendrier 2014 de la Formule 1 : le Grand Prix des Etats-Unis, organisé sur le Circuit of The Americas, à Austin, la capitale texane.
http://www.f1i.com/f1i-features/f1i-tv-presentation-du-grand-prix-etats-unis/
par Ziv Knoll le 29/10/14 à 16:53
3
Pierre Van Vliet et Ziv Knoll vous présentent la prochaine manche du calendrier 2014 de la Formule 1 : le Grand Prix des Etats-Unis, organisé sur le Circuit of The Americas, à Austin, la capitale texane.
http://www.f1i.com/f1i-features/f1i-tv-presentation-du-grand-prix-etats-unis/
Re: GP des Etats-Unis 2 Novembre 2014 Austin
Les enjeux du Grand Prix des États-Unis
par Nicolas Carpentiers le 30/10/14 à 14:00
Drôle de climat
Avec 100 points restant à distribuer jusqu’à la fin du championnat et un facteur “fiabilité” demeurant toujours critique, l’avance de 17 points que détient Lewis Hamilton sur son équipier Nico Rosberg ne pèse pas si lourd que cela du point de vue arithmétique (le verdict final devrait se jouer à Abou Dhabi, sauf si Hamilton inscrit 33 unités de plus que Rosberg lors des deux prochaines manches). Du point de vue psychologique, en revanche, la série de quatre victoires du pilote britannique depuis Monza a miné quelque peu le moral de Rosberg junior, dont la dynamique semble avoir été brisée après les sanctions ayant suivi l’incident du Grand Prix de Belgique. Plus tôt dans la saison, à Monaco, le pilote allemand avait réussi à reprendre la main : c’est la même opération qu’il devra réaliser à Austin s’il veut mettre toutes les chances de son côté, sur un circuit apprécié par son voisin de garage (une victoire en 2012, et de meilleures performances en qualification et en course l’an dernier). Espérons que le duel entre les deux cowboys à l’étoile sera à la hauteur des enjeux !
Éclipsé par le drame de Suzuka, puis par le forfait de Caterham et Marussia, venus rappeler la fragilité de toute chose, le match Hamilton-Rosberg se déroulera donc dans une atmosphère singulière, avec seulement 18 bolides au départ et un pilote luttant pour sa vie au Japon. Le show à l’américaine et le superbe tracé du Circuit of the Americas feront-ils oublier la part d’ombre d’une F1 qui meurtrit des corps et détruit des emplois ? Sans doute, car le virus de la course est tenace.
Des qualifications particulières
En l’absence des deux maillons faibles du paddock (mais Sauber n’est guère plus solide), la FIA pourrait modifier le format des qualifications, puisqu’en l’état seuls deux pilotes seraient éliminés à l’issue de la Q1. Pour maintenir un suspense relatif en début de séance, quatre voitures pourraient ainsi être éliminées en Q1 et quatre autres en Q2. Au pays de la démesure et du gigantisme, la F1 apportera la plus petite grille de départ depuis le Grand Prix… des États-Unis 2005.
Par ailleurs, Sebastian Vettel devrait faire l’impasse sur la séance qualificative, puisqu’il utilisera vraisemblablement un sixième groupe propulseur, neuf, ce qui se traduira automatiquement par un départ depuis la voie des stands (même s'il est théoriquement possible que Red Bull associe d’anciens composants à un nouveau bloc thermique, ce qui n’impliquerait pas un envol obligatoire depuis l’allée des stands).
Stratégie ouverte ?
Au Texas, Pirelli a apporté les gommes médiums (blanches) et tendres (jaunes). Lors des deux éditions précédentes, la stratégie optimale comptait un seul arrêt. Cette année, deux options paraissent envisageables : un seul arrêt (avec départ en tendres et passage aux médiums au 20ème tour) ou deux (départ en tendres, nouveau train de tendres au 15ème tour et médiums au 37ème). D’autres options restent possibles, comme celle suivie par Jenson Button en 2012, parti 12ème en gommes dures et arrivé au 5ème rang, après un seul pitstop pour monter des médiums.
À propos du pilote britannique, Austin sera l’occasion de vérifier si les nets progrès enregistrés par McLaren en Russie étaient réels ou bien dus aux particularités du tracé de Sotchi. La lutte avec Force India pour la cinquième place au classement des constructeurs sera intéressante à suivre, alors que Williams devrait être elle aussi aux avant-postes, V6 Mercedes oblige. Enfin, la performance de Jean-Éric Vergne sera scrutée de près par Toro Rosso, qui pourrait conserver le pilote français dans ses rangs en 2015.
http://www.f1i.com/f1i-features/enjeux/
par Nicolas Carpentiers le 30/10/14 à 14:00
Drôle de climat
Avec 100 points restant à distribuer jusqu’à la fin du championnat et un facteur “fiabilité” demeurant toujours critique, l’avance de 17 points que détient Lewis Hamilton sur son équipier Nico Rosberg ne pèse pas si lourd que cela du point de vue arithmétique (le verdict final devrait se jouer à Abou Dhabi, sauf si Hamilton inscrit 33 unités de plus que Rosberg lors des deux prochaines manches). Du point de vue psychologique, en revanche, la série de quatre victoires du pilote britannique depuis Monza a miné quelque peu le moral de Rosberg junior, dont la dynamique semble avoir été brisée après les sanctions ayant suivi l’incident du Grand Prix de Belgique. Plus tôt dans la saison, à Monaco, le pilote allemand avait réussi à reprendre la main : c’est la même opération qu’il devra réaliser à Austin s’il veut mettre toutes les chances de son côté, sur un circuit apprécié par son voisin de garage (une victoire en 2012, et de meilleures performances en qualification et en course l’an dernier). Espérons que le duel entre les deux cowboys à l’étoile sera à la hauteur des enjeux !
Éclipsé par le drame de Suzuka, puis par le forfait de Caterham et Marussia, venus rappeler la fragilité de toute chose, le match Hamilton-Rosberg se déroulera donc dans une atmosphère singulière, avec seulement 18 bolides au départ et un pilote luttant pour sa vie au Japon. Le show à l’américaine et le superbe tracé du Circuit of the Americas feront-ils oublier la part d’ombre d’une F1 qui meurtrit des corps et détruit des emplois ? Sans doute, car le virus de la course est tenace.
Des qualifications particulières
En l’absence des deux maillons faibles du paddock (mais Sauber n’est guère plus solide), la FIA pourrait modifier le format des qualifications, puisqu’en l’état seuls deux pilotes seraient éliminés à l’issue de la Q1. Pour maintenir un suspense relatif en début de séance, quatre voitures pourraient ainsi être éliminées en Q1 et quatre autres en Q2. Au pays de la démesure et du gigantisme, la F1 apportera la plus petite grille de départ depuis le Grand Prix… des États-Unis 2005.
Par ailleurs, Sebastian Vettel devrait faire l’impasse sur la séance qualificative, puisqu’il utilisera vraisemblablement un sixième groupe propulseur, neuf, ce qui se traduira automatiquement par un départ depuis la voie des stands (même s'il est théoriquement possible que Red Bull associe d’anciens composants à un nouveau bloc thermique, ce qui n’impliquerait pas un envol obligatoire depuis l’allée des stands).
Stratégie ouverte ?
Au Texas, Pirelli a apporté les gommes médiums (blanches) et tendres (jaunes). Lors des deux éditions précédentes, la stratégie optimale comptait un seul arrêt. Cette année, deux options paraissent envisageables : un seul arrêt (avec départ en tendres et passage aux médiums au 20ème tour) ou deux (départ en tendres, nouveau train de tendres au 15ème tour et médiums au 37ème). D’autres options restent possibles, comme celle suivie par Jenson Button en 2012, parti 12ème en gommes dures et arrivé au 5ème rang, après un seul pitstop pour monter des médiums.
À propos du pilote britannique, Austin sera l’occasion de vérifier si les nets progrès enregistrés par McLaren en Russie étaient réels ou bien dus aux particularités du tracé de Sotchi. La lutte avec Force India pour la cinquième place au classement des constructeurs sera intéressante à suivre, alors que Williams devrait être elle aussi aux avant-postes, V6 Mercedes oblige. Enfin, la performance de Jean-Éric Vergne sera scrutée de près par Toro Rosso, qui pourrait conserver le pilote français dans ses rangs en 2015.
http://www.f1i.com/f1i-features/enjeux/
Re: GP des Etats-Unis 2 Novembre 2014 Austin
Le COTA à la loupe
par Thomas Mignon le 31/10/14 à 9:01
Le Circuit des Amériques situé à Austin est le dixième lieu à accueillir un Grand Prix des États-Unis dans l’histoire de la Formule 1. Il a été conçu par l’architecte Hermann Tilke qui a sans aucun doute réalisé là son plus beau projet.
Avec vingt virages, ce circuit est le troisième plus tortueux du calendrier après Singapour et Abou Dhabi. La première courbe (T1) est certainement la plus emblématique tant elle peut offrir d’impressionnants départs.
"Austin est un des meilleurs circuits modernes et c’est un tracé exigeant, indique Pastor Maldonado. Le premier virage avec sa pente très raide est particulièrement spectaculaire et l’atmosphère qui y règne était l’une des meilleures."
La différence est effectivement de 40,8 mètres entre la ligne de départ et le sommet de ce virage, ce qui en fait en fait le troisième circuit avec le plus grand dénivelé, après Spa et Suzuka. La descente qui suit ce point culminant est tout aussi impressionnante pour les spectateurs.
Si ce nouveau tracé a du succès, contrairement à d’autres créations récentes, c’est qu’il reprend les recettes qui ont fait leurs preuves ailleurs, comme l’explique Xevi Pujolar, ingénieur de course de Jean-Éric Vergne.
"Il emprunte quelques-unes des meilleures caractéristiques des circuits classiques de la F1 et les combine pour créer un véritable challenge pour les pilotes. Il y a des virages qui sont fortement inspirés du ‘S de Senna’ d’Interlagos (entre T7 et T9 sur le circuit américain, ndlr), d’autres de l’enchaînement Becketts-Maggots à Silverstone (T3 à T6, ndlr), ou encore du Motordrome d’Hockenheim (T12 à T15, ndlr) et du virage numéro 8 ‘multi-apex’ du tracé d’Istanbul (qui équivaut à l’ensemble T16 à T18, ndlr)."
C’est ce qui s’appelle faire du neuf avec du vieux. Mais quand 'le vieux' est de cette qualité, on ne peut que s’en réjouir. La modernité a parfois du bon quand elle s’inspire des réussites du passé et peut dès lors nous offrir un spectacle digne de ce nom.
http://www.f1i.com/f1i-features/cota-loupe/
par Thomas Mignon le 31/10/14 à 9:01
Le Circuit des Amériques situé à Austin est le dixième lieu à accueillir un Grand Prix des États-Unis dans l’histoire de la Formule 1. Il a été conçu par l’architecte Hermann Tilke qui a sans aucun doute réalisé là son plus beau projet.
Avec vingt virages, ce circuit est le troisième plus tortueux du calendrier après Singapour et Abou Dhabi. La première courbe (T1) est certainement la plus emblématique tant elle peut offrir d’impressionnants départs.
"Austin est un des meilleurs circuits modernes et c’est un tracé exigeant, indique Pastor Maldonado. Le premier virage avec sa pente très raide est particulièrement spectaculaire et l’atmosphère qui y règne était l’une des meilleures."
La différence est effectivement de 40,8 mètres entre la ligne de départ et le sommet de ce virage, ce qui en fait en fait le troisième circuit avec le plus grand dénivelé, après Spa et Suzuka. La descente qui suit ce point culminant est tout aussi impressionnante pour les spectateurs.
Si ce nouveau tracé a du succès, contrairement à d’autres créations récentes, c’est qu’il reprend les recettes qui ont fait leurs preuves ailleurs, comme l’explique Xevi Pujolar, ingénieur de course de Jean-Éric Vergne.
"Il emprunte quelques-unes des meilleures caractéristiques des circuits classiques de la F1 et les combine pour créer un véritable challenge pour les pilotes. Il y a des virages qui sont fortement inspirés du ‘S de Senna’ d’Interlagos (entre T7 et T9 sur le circuit américain, ndlr), d’autres de l’enchaînement Becketts-Maggots à Silverstone (T3 à T6, ndlr), ou encore du Motordrome d’Hockenheim (T12 à T15, ndlr) et du virage numéro 8 ‘multi-apex’ du tracé d’Istanbul (qui équivaut à l’ensemble T16 à T18, ndlr)."
C’est ce qui s’appelle faire du neuf avec du vieux. Mais quand 'le vieux' est de cette qualité, on ne peut que s’en réjouir. La modernité a parfois du bon quand elle s’inspire des réussites du passé et peut dès lors nous offrir un spectacle digne de ce nom.
http://www.f1i.com/f1i-features/cota-loupe/
Re: GP des Etats-Unis 2 Novembre 2014 Austin
Synthèse du vendredi : étoiles texanes
par Pierre Van Vliet le 01/11/14 à 10:45
Ambiance quelque peu plombée à Austin en raison du double forfait des Caterham et des Marussia : Lotus et Sauber vont désormais se disputer la lanterne rouge, allez donc expliquer cela aux sponsors ! La Formule 1 est malade et ce ne sont pas les déclarations de Bernie Ecclestone, le supposé grand manitou, qui vont faire avancer le débat : selon Mister E. il faut se débarrasser de ces moteurs V6 turbo hybrides, cause de tous les maux. Bien sûr... Tant que chacun cherchera midi à sa porte et se contentera d'exercer le lobbying pour défendre ses intérêts particuliers, les Grands Prix seront minés de l'intérieur. Une prise de conscience s'impose, mais il faudra sans doute attendre l'intersaison avant de se pencher sur les racines du problème. Ce samedi représente toutefois une date-butoir : les concurrents désireux de s'engager au championnat 2015 doivent en effet s'inscrire auprès de la FIA et payer les droits d'engagements (au minimum 500.000 $). On se comptera donc ce soir.
Mais revenons à nos moutons ou plutôt aux vertes collines du Texas. Les Mercedes ont décoché leurs flèches au pays des Indiens en tournant autour de la concurrence vendredi : séparés par trois millièmes de seconde, Lewis Hamilton et Nico Rosberg ont fait le vide autour d'eux en reléguant leur plus proche poursuivant à plus d'une seconde. C'est dire si la suprématie, consolidée par un intense travail de développement tout au long de la saison, a permis aux bolides argentés de conserver un avantage considérable dans la dernière ligne droite du championnat. Entre le diable noir et l'ange blond, le duel vaudra encore son pesant de dollars ce week-end sur un circuit où l'on se plait à apprécier les qualités des pilotes comme celles de leurs machines. Le spectacle des F1 sur le toboggan d'Austin est grandiose, pour la plus grande joie d'un public nombreux et bon enfant, plus connaisseur qu'il n'y paraît.
A ce rythme infernal, les Mercedes pourraient prendre un tour au troisième dimanche, sauf qu'il faudra tout de même compter avec les Williams, plus performantes en configuration de course que sur un tour. Ferrari continue sa lente progression, Red Bull est en embuscade, McLaren espère poursuivre sur sa lancée de Sotchi et Toro Rosso ne cesse de surprendre. Voilà pour les candidats aux points, éventuellement rejoints par Force India si les circonstances s'y prêtent. Sur le plan stratégique, pas de gros coup à attendre tant les conditions sont prévisibles : au fur et à mesure du week-end, la piste procure davantage d'adhérence et les Pirelli tendres y seront à l'aise. Comme les températures vont légèrement baisser par rapport à vendredi, il n'y a pas de dégradation significative à attendre et une stratégie à deux arrêts s'imposera logiquement pour tous.
http://www.f1i.com/f1i-features/synthese-du-vendredi-etoiles-texanes/
par Pierre Van Vliet le 01/11/14 à 10:45
Ambiance quelque peu plombée à Austin en raison du double forfait des Caterham et des Marussia : Lotus et Sauber vont désormais se disputer la lanterne rouge, allez donc expliquer cela aux sponsors ! La Formule 1 est malade et ce ne sont pas les déclarations de Bernie Ecclestone, le supposé grand manitou, qui vont faire avancer le débat : selon Mister E. il faut se débarrasser de ces moteurs V6 turbo hybrides, cause de tous les maux. Bien sûr... Tant que chacun cherchera midi à sa porte et se contentera d'exercer le lobbying pour défendre ses intérêts particuliers, les Grands Prix seront minés de l'intérieur. Une prise de conscience s'impose, mais il faudra sans doute attendre l'intersaison avant de se pencher sur les racines du problème. Ce samedi représente toutefois une date-butoir : les concurrents désireux de s'engager au championnat 2015 doivent en effet s'inscrire auprès de la FIA et payer les droits d'engagements (au minimum 500.000 $). On se comptera donc ce soir.
Mais revenons à nos moutons ou plutôt aux vertes collines du Texas. Les Mercedes ont décoché leurs flèches au pays des Indiens en tournant autour de la concurrence vendredi : séparés par trois millièmes de seconde, Lewis Hamilton et Nico Rosberg ont fait le vide autour d'eux en reléguant leur plus proche poursuivant à plus d'une seconde. C'est dire si la suprématie, consolidée par un intense travail de développement tout au long de la saison, a permis aux bolides argentés de conserver un avantage considérable dans la dernière ligne droite du championnat. Entre le diable noir et l'ange blond, le duel vaudra encore son pesant de dollars ce week-end sur un circuit où l'on se plait à apprécier les qualités des pilotes comme celles de leurs machines. Le spectacle des F1 sur le toboggan d'Austin est grandiose, pour la plus grande joie d'un public nombreux et bon enfant, plus connaisseur qu'il n'y paraît.
A ce rythme infernal, les Mercedes pourraient prendre un tour au troisième dimanche, sauf qu'il faudra tout de même compter avec les Williams, plus performantes en configuration de course que sur un tour. Ferrari continue sa lente progression, Red Bull est en embuscade, McLaren espère poursuivre sur sa lancée de Sotchi et Toro Rosso ne cesse de surprendre. Voilà pour les candidats aux points, éventuellement rejoints par Force India si les circonstances s'y prêtent. Sur le plan stratégique, pas de gros coup à attendre tant les conditions sont prévisibles : au fur et à mesure du week-end, la piste procure davantage d'adhérence et les Pirelli tendres y seront à l'aise. Comme les températures vont légèrement baisser par rapport à vendredi, il n'y a pas de dégradation significative à attendre et une stratégie à deux arrêts s'imposera logiquement pour tous.
http://www.f1i.com/f1i-features/synthese-du-vendredi-etoiles-texanes/
Re: GP des Etats-Unis 2 Novembre 2014 Austin
Alonso prédit un Grand Prix des Etats-Unis excitant
par Grégory Demoen le 01/11/14 à 13:05
Fernando Alonso pense que les ingrédients sont réunis pour que le Grand Prix des Etats-Unis de ce week-end, disputé sur le Circuit of The Americas d’Austin, soit plus excitant que ceux des deux saisons précédentes.
A l’inverse de l’année dernière, les équipes devraient opter pour une stratégie à deux arrêts ce dimanche, et la dégradation des pneus Pirelli devrait offrir aux pilotes des opportunités de dépassement durant la course.
"Le pneu tendre semble tenir moins longtemps que prévu, mais nous sommes pleinement conscients que la performance d’un pneumatique peut grandement changer à mesure que la piste évolue", déclare Alonso, crédité du troisième temps hier.
"On dirait que cette course-ci sera différente de celles des éditions précédentes, car la probabilité de devoir effectuer deux arrêts ouvre différentes opportunités stratégiques."
http://www.f1i.com/infos/alonso-predit-grand-prix-etats-unis-excitant/
par Grégory Demoen le 01/11/14 à 13:05
Fernando Alonso pense que les ingrédients sont réunis pour que le Grand Prix des Etats-Unis de ce week-end, disputé sur le Circuit of The Americas d’Austin, soit plus excitant que ceux des deux saisons précédentes.
A l’inverse de l’année dernière, les équipes devraient opter pour une stratégie à deux arrêts ce dimanche, et la dégradation des pneus Pirelli devrait offrir aux pilotes des opportunités de dépassement durant la course.
"Le pneu tendre semble tenir moins longtemps que prévu, mais nous sommes pleinement conscients que la performance d’un pneumatique peut grandement changer à mesure que la piste évolue", déclare Alonso, crédité du troisième temps hier.
"On dirait que cette course-ci sera différente de celles des éditions précédentes, car la probabilité de devoir effectuer deux arrêts ouvre différentes opportunités stratégiques."
http://www.f1i.com/infos/alonso-predit-grand-prix-etats-unis-excitant/
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