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Anecdotes sympa du sport auto.

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Anecdotes sympa du sport auto. Empty Anecdotes sympa du sport auto.

Message par modena49 Mer 1 Mai - 19:27

Certaines sont bien connues mais bon, cela fait toujours plaisir!

Le passeport de Senna

Fin 1991, après le Grand Prix d’Australie, Ayrton Senna, nouveau triple champion du monde, fit mieux connaissance avec le top model australien Elle McPherson, à la fête de fin de saison d’Adelaïde. Puis il s’envola pour retrouver son Brésil natal, et sa propriété d’Angra dos Reis. Faisant escale à Buenos Aires, Senna fut interpellé par les autorités argentines. Un policier tendit à Senna son passeport ... Monsieur Senna, nous ne pensons pas que ce soit vous, dit le policier argentin.Gerhard Berger, coéquipier de Senna chez McLaren Honda en 1991, avait glissé une magnifique paire de seins noirs en lieu et place de la photo de son illustre équipier brésilien sur son passeport!

Eu égard à sa notoriété, Senna put sans mal repartir vers Sao Paulo ... Mais il était une nouvelle fois victime des facéties de son jovial équipier Autrichien.

L’insulte du pompiste

En 1982, Alain Prost fait équipe chez Renault avec un autre pilote français, René Arnoux. Mieux placé au championnat qu’Arnoux, Prost abord le Grand Prix de France derrière Didier Pironi (Ferrari) et John Watson (McLaren) au championnat pilotes. Le directeur sportif de Renault, Gérard Larrousse, convient avec Arnoux et Prost que René laissera passer Alain pour la victoire si les deux Renault font la course en tête sur le circuit Paul Ricard.
Très à l’aise sur le tracé provençal, Arnoux oublie sa promesse. Renault ne lui indique pas de laisser passer Prost, deuxième derrière son équipier. Arnoux n’a plus gagné depuis le Grand Prix du Brésil 1980. Deux ans. Une éternité pour un pilote. Renault ne tranche pas et trahit Prost, qui perd quatre points précieux, surtout que Pironi leader du championnat finit troisième au Castellet.
Sur le podium, Prost est furieux. Le public, non informé du deal entre Arnoux et Prost avant la course, ne comprend pas et boude Alain. Ce dernier rentre chez lui après la course, à Saint-Chamond.
Sur la route, il s’arrête prendre de l’essence. Le pompiste ne le reconnaît pas et le confond avec Arnoux ...

- Vous avez eu raison, monsieur Arnoux. Ce Prost, quel petit con!

Alain ne réagit pas et préfère ne pas envenimer la situation.

A la trahison du losange s’ajoute l’opprobre populaire. Prost, incompris, voit dans cet épisode la première faille de son aventure chez Renault. Avant le schisme de fin 1983...

La patrouille de Mansell

En 1988, Nigel Mansell est condamné aux seconds rôles chez Williams Judd. Le championnat est écrasé par les McLaren Honda turbo de Senna et Prost. Approché par la Scuderia Ferrari pour 1989, le Britannique convie l’avocat de l’écurie italienne, Henry Peter, à signer le contrat chez lui, sur l’île de Man. Henry Peter arrive chez Mansell à 10 heures du matin. Ce dernier temporise et affirme à l’avocat qu’il ne signera qu’à 11h30. Henry Peter patiente. A 11h30, il voit la patrouille aériennedes Red Arrows survoler l’île. Mansell révèle à Henry Peter qu’il a convoqué les Red Arrows spécialement pour fêter sa signature chez Ferrari. Ravi, l’avocat fait signer Mansell. Racontant l’anecdote à droite à gauche, l’avocat de Maranello comprend quelques mois plus tard qu’il a été bluffé par le pilote britannique! Mansell n’a rien convoqué du tout, les Red Arrows passant tous les jours à 11h30 sur l’île de Man!

La plongée avortée de Rory Byrne

En 1996, l’ingénieur sud-africain Rory Byrne quitte Benetton Renault. Cette saison décevante a épuisé sa motivation. Après avoir triomphé avec Schumacher, Briatore et Ross Brawn en 1994 et 1995, il prend sa retraite à 52 ans. Il décide de se consacrer à sa passion, la plongée sous-marine. Rory Byrne veut même ouvrir un centre de plongée en Thaïlande, sur l’île de Phuket. Parti quelques jours là bas, l’ingénieur aérodynamicien n’a laissé son téléphone qu’à sa femme, pour le joindreen cas d’extrême urgence.

Il reçoit très vite un coup de fil. Apeuré, il décroche ... Au bout du fil ... Jean Todt, directeur de la gestion sportivede Ferrari! Très perspicace, Todt a convaincu l’épouse de Byrne d’avoir son numéro. Après avoir recruté Schumacher et Ross Brawn, il veut absolument reconstituer la Dream Team de Benetton, avec son triangle d’or ... Ce sera chose faite dès 1997. Byrne dessinera les cinq F1 qui permettront à Schumi de gagner le championnat du monde de 2000 à 2004, avant de prendre une vraie retraite, bien méritée, fin 2005!

Rivaux sur la piste et en amour

Fin 1991, après son entrée fracassante en F1, Michael Schumacher participa à une fête dans son village de Kerpen. Il y retrouva une certaine Corinna Betsch, qu’il connaissait déjà. Repartant de la soirée avec elle, il ne la quitta plus et Corinna devint son épouse en 1995, lui donnant deux enfants en 1997 et 1999.

Schumacher connaissait déjà Corinna car celle-ci était auparavant la fiancée d’un certain Heinz-Harald Frentzen ... son ancien rival en F3 allemande en 1989, puis son coéquipier chez Mercedes en endurance en 1990. Parti en 1991 au Japon, Frentzen se fourvoya ... Moins facile à vivre, il rompit avec Corinna à peu près au moment où celle-ci tomba dans les bras de son ancien rival.

Frentzen retrouva Schumacher en 1994 en F1 sans jamais réellement pouvoir lutter contre lui, excepté en 1997 chez Williams Renault.

A noter qu’un des quatre pilotes animateurs du championnat allemand de F3 en 1989 (avec Schumacher, Wendlinger et Frentzen), Michael Bartels fut le petit ami de Steffi Graf mais échoua aux portes de la F1.

Opération Tonnerre

Comme chacun sait, Silverstone fut construit sur le site d’un ancien aérodrome de la Royal Air Force, en 1947. Par contre, le circuit fut utilisé dans le cadre d’un tournage de film. Le quatrième épisode de James Bond, Opération Tonnerre (1965) utilisa Silverstone pour tourner la poursuite automobile entre le compte Lippe, Fiona Volpe et 007.

Persona non grata

En 1986, Keke Rosberg remplaça Niki Lauda, parti à la retraite, aux côtés d’Alain Prost, chez McLaren TAG Porsche.

Au début de la saison, John Barnard organisa un briefing technique avec les deux pilotes. Rosberg vint à cette réunion affublé de ces célèbres verres fumés qui lui donnaient un look si particulier dans le paddock.

Barnard n’apprécia pas ce comportement de la part de Rosberg, dont il ne pouvait pas voir les yeux derrière les lunettes.
Au premier Grand Prix de la saison 1986, à Jacarepagua (Rio de Janeiro), Barnard ordonna à Rosberg de ne faire qu’un tour assez lent de rodage pour sa première prise de contact avec la MP4/2, puis de rentrer au stand. N’en faisant qu’à sa tête, le Finlandais décida d’impressionner l’ingénieur et de le faire céder par l’intimidation. Rosberg fit donc un tour pied au plancher sans rentrer au stand ... mais il perdit le contrôle de sa monoplace dans le deuxième, abîmant la McLaren. Barnard était furieux. Pendant que les mécaniciens réparaient les dégâts, Rosberg se changea et se balada dans le paddock de Rio en short jean et lunettes noires, look californien. McLaren dut le rappeler par haut parleur pour qu’il daigne revenir travailler!

Rosberg perdit très vite tout crédit au près du prestigieux ingénieur, qui se focalisa sur Alain Prost, dont le style de pilotage correspondait de toute façon mieux à la monoplace conçue par Barnard. Barnard aimait les pilotes soucieux de ne pas avoir de sous-virage, et Prost faisait parti de ceux là.

Une Rolex pour Rubinho

En 1997, après quatre ans de bons et loyaux services chez Jordan, Rubens Barrichello donna une nouvelle orientation à sa carrière en signant dans la nouvelle écurie écossaise Stewart, appuyée par Ford pour les moteurs. Paul et Jackie Stewart dirigeaient la petite équipe. Au Grand Prix d’Argentine, Jackie promit à Barrichello une Rolex si ce dernier parvenait à se qualifier parmi les six premiers. Barrichello se qualifia troisième, la montre était à lui!

Et il apporta dès Monaco une deuxième place inespérée à la petite écurie.

Le têtard

En 1980, Alain Prost débuta en F1 chez McLaren Cosworth, auprès de John Watson. Très vite, le Français se montra plus rapide que son expérimenté équipier. En raison de sa nationalité et de sa petite taille, les mécaniciens de McLaren surnommèrent Prost Tadpole (le têtard). Mais ils furent plus durs avec Watson, collant sur sa monoplace un autocollant John, What’s Wrong?, en lieu et place de son nom!

Trouvant cet humour à la limite de l’admissible, Prost, qui n’avait rien à gagner, demanda aux mécaniciens de ne pas s’acharner sur John. Et le Français gagna un deuxième surnom chez McLaren: Napoléon!

Marlène

En 1975, Niki Lauda remporta le championnat du monde avec Ferrari. Cette année là, il fut invité à une soirée chez le célèbre acteur allemand Curd Jurgens, qui joua notamment le rôle de Michel Strogoff au cinéma. Lauda s’éprit de la maîtresse de maison, Marlène, née au Venezuela de père autrichien et de mère espagnole, et l’épousa, vivant avec elle à Ibiza!

Marlène qui partagera tout avec Niki, l’accident de Nürburgring, le divorce avec Ferrari, la création de Lauda Air, le retour chez McLaren ...

La peine de Bjorn Borg

Il n’est pas rare que deux champions d’un même pays soit amis, même si leur discipline est différente. Parmi eux, les Suédois Ronnie Peterson et Bjorn Borg, star du tennis mondial dans les années 70. En 1978, Borg a déjà gagné 3 fois Wimbledon et 3 fois Roland-Garros. Cette année là, Peterson a un contrat de second pilote chez Lotus, derrière Mario Andretti, champion du monde 1978. A Monza, percuté par Patrese, Peterson est grièvement blessé,sur un circuit où il avait gagné trois fois (1973,1974,1976). Il meurt le lendemain matin, le lundi 11 septembre 1978. Lundi en Europe. Mais dimanche soir en Amérique où Borg joue la finale de l’US Open contre Jimmy Connors. Apprenant la terrible nouvelle, Borg n’est que l’ombre de lui-même. Son ami décédé hante sa finale. Connors exécute Borg en trois sets secs: 6-4, 6-2, 6-2. Borg qui ne gagnera jamais l’US Open, battu par la suite par un certain John McEnroe.

La bombe Gachot

En 1991, le pilote belge Bertrand Gachot est titulaire d’un baquet dans la nouvelle écurie irlandaise Jordan. En août, entre les courses de Budapest et Spa, Gachot a une altercation avec un taxi à Londres. Utilisant une bombe lacrymogène contre le chauffeur de taxi, Gachot se retrouve en prison pour quelques temps, en vertu de la loi anglaise. Sachant son pilote condamné pour la fin de saison, Eddie Jordan se met à la recherche d’un nouveau pilote. C’est alors que la nouvelle parvint aux oreilles de Willi Weber et Jochen Neerspach (Mercedes), mentors d’un certain Michael Schumacher. Ces deux hommes vont multiplier les tentatives de lobbying envers Eddie Jordan, en vacances en Espagne, pour offrir sa chance au jeune pilote allemand. Weber dépensera des sommes folles en fax et téléphone pour joindre Jordan, obtenir un essai à Silverstone puis une titularisation à Spa pour Schumacher. Qui fit donc ses débuts en F1 indirectement grâce à l’infortune de Bertrand Gachot.

La chute de Peron

En 1946, le général Juan Peron prit le pouvoir en Argentine. Passionné de sport automobile, il donna à Fangio la possibilité de promouvoir son pays par la course. Impressionnant Varzi et Wimille en 1948, Fangio put accéder au gotha des courses européennes et débuter en F1 en 1950, à la création du championnat du monde. Qu’il domina de 1950 à 1955, avec trois titres mondiaux à la clé. Seul Ascari lui arrivait à la cheville, alors que le jeune Moss pointait son nez. Mais fin 1955, Fangio avait 44 ans, trois titres en poche.Quant à Mercedes, elle se retirait après le terrible accident des 24 heures du Mans (mort du pilote Pierre Levegh et de dizaines de spectateurs de la course sarthoise). On ne devait pas revoir la firme à l’étoile en F1 avant 1993 via Ilmor (chez Sauber).

Fangio voulait se retirer, fortune faite, au sommet de sa gloire, quant Peron perdit le pouvoir fin 1955. Ancien protégé du général, Fangio ne pouvait pas rentrer en Argentine, craignant les représailles du pouvoir en place. Il continua ainsi sa carrière en 1956 et 1957, gagnant deux titres mondiaux de plus, un avec Ferrari et l’autre avec Maserati. Et prit sa retraite en 1958.

L’aviron

Les passionnés de F1 l’auront sans doute remarqué, Damon Hill, à ses débuts en 1992, reprit le même casque que son père Graham en F1. Un casque noir comportant des barres blanches verticales, formant un demi-cercle à l’arrière.

Ce casque reprenait en fait le logo du prestigieux London Rowing Club, club londonien d’aviron dont Graham Hill faisait partie.

La grève de Johannesburg

En 1982, en Afrique du Sud, les pilotes firent grève pour protester contre les mesures prises par le duo Balestre / Ecclestone. Pironi et Lauda furent intronisés porte-paroles du mouvement des pilotes, retirés dans un hôtel de Johannesburg, près du circuit de Kyalami. L’hôtel Sunny Side abrita les pilotes qui par solidarité couchèrent dans un dortoir improvisé, sur des matelas à même le sol. On retrouvait également Prost, Reutemann, Rosberg, Gilles Villeneuve ou encore de Angelis. Pour faire patienter les pilotes, Villeneuve et de Angelis se relayèrent au piano. Quant à Bruno Giacomelli, il expliqua à ses confrères comment fabriquer une bombe! Episode haut en couleurs que regrettait Prost des années plus tard. Nostalgique, Alain Prost expliquait qu’il ne ressentait plus la même solidarité entre pilotes au début des années 1990.

La liaison de Pironi

En 1982, Didier Pironi perdit le titre à Hockenheim et bien plus ... sa carrière fut brisée net par un terrible accident. Frôlant l’amputation des jambes, le Français se reconvertit dans le off-shore, où il trouva la mort en 1987 près de l’île de Wight, non sans avoir tenté (en vain) de retrouver un volant en F1. Son accident de 1982 mit un terme à une relation avec une actrice française qui devait trouver la notoriété plus tard, Véronique Jannot.

La vocation de Hunt

En 1976, James Hunt, dont le père était agent de change, devint champion du monde de F1 chez McLaren. Pilote au caractère trempé, icône des années 70, antithèse de l’ordinateur Lauda, Hunt avait pour devise Sex is the breakfast of champions.

Mais la vocation de pilote ne lui vint pas immédiatement. Il fut même attiré très tard par la course, en assistant lui même à un évènement automobile. En fait, James Hunt voulait devenir médecin. Mais il délaissa le stéthoscope pour le sport, comme bien d’autres (Franz Beckenbauer par exemple).

Changement de nom pour Nelson

Le père de Nelson Piquet (père) était ministre au Brésil. Alors que le jeune Nelson Soutomayor commençait à envisager une carrière sportive, dans le tennis d’abord puis dans le sport auto, son père lui demanda de prendre le patronyme de sa mère, Piquet, d’ascendance française, afin de ne pas pénaliser sa carrière politique en cas d’échec dans la carrière sportive de son fils! Et c’est ainsi que Nelson Soutomayor devint Nelson Piquet.

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Message par nico28 Jeu 27 Fév - 5:38

Les écoutes entre stands

Supposant que les communications radio de son stand étaient écoutées par l'écurie concurrente, Piquet dit un jour à son ingénieur : "c'est vrai que la nana que l'ingénieur X est mignonne... d'ailleurs, j'ai couché avec elle !"
On ne sait pas si la provocation a eu pour effet de confirmer les éventuelles écoutes...
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Message par nico28 Mar 11 Mar - 6:37

La (1ière) retraite de Lauda

Au GP du Canada 1979, les premiers essais libres du vendredi matin sont marqués par un coup de théâtre avec l'annonce soudaine par le double champion du monde Niki Lauda (alors chez Brabham) de son retrait de la F1, avec effet immédiat.

La légende raconte que, obligé de trouver un pilote pour remplacer l'Autrichien, Bernie Ecclestone, patron de Brabham, aurait passé une petite annonce via les haut-parleurs du circuit, et que c'est Ricardo Zunino qui se serait présenté en premier.

Cette version des faits est fortement sujette à caution : Zunino avait au cours de l'été participé à une séance d'essais privés pour le compte de Brabham, et son recrutement relevait donc d'une certaine logique. Mais peut-être est-ce réellement via haut-parleur que Ecclestone a contacté Zunino, qu'il savait présent dans l'enceinte du circuit. Dans l'urgence Zunino va courir avec le casque et la combinaison de Lauda. (il finira 7ième à 4 tours).
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