Suivez le procès de Mercedes et Pirelli en direct !

Le procès de Mercedes et Pirelli devant le Tribunal International de la FIA s'est ouvert aujourd'hui, peu après 9h30, au siège de la FIA à Paris.
Suivez avec F1i le déroulé de ce procès en direct, minute par minute, tout au long de la journée.
14h48 - Le procès va bientôt reprendre.
14h40 - Pour rappel, le team principal de Red Bull, Christian Horner, est présent à l'audience. Le Britannique s'était montré particulièrement virulent contre Mercedes ces dernières semaines.
14h39 - Un verdict semble ne pas être attendu, au plus tôt, avant la fin de cet après-midi.
14h36 - Pour rappel, Pirelli doit encore comparaître.
14h18 - Mais les protéger de qui ? Aucun spectateur n'était admis dans l'enceinte du circuit...
14h17 - Pendant la première partie du procès, l'avocat de Mercedes a expliqué pourquoi Lewis Hamilton et Nico Rosberg n'avaient pas utilisé leur casque de 2013. Selon lui, Mercedes a agi de la sorte pour protéger ses pilotes, qui sont très "populaires".
14h02 - Le Président de l'affaire interrompt l'audience pour une demi-heure.
14h00 - La défense de Mercedes est peu convaincante , entre de la rhétorique sur la formulation du règlement sportif et des attaques contre Ferrari et Lotus...
13h39 - Paul Harris : "Nous avons suivi la même procédure que Ferrari lors des essais qu'ils ont réalisés pour Pirelli, nous ne devrions donc pas nous retrouver ici aujourd'hui."
13h52 - Mercedes ne revient pas sur les "nouveaux" éléments à sa disposition depuis ce matin. Il devait donc s'agir de la lettre du GPDA adressée au président de la FIA...
13h49 - Ross Brawn est à présent de nouveau questionné par l'avocat de Mercedes, Paul Harris.
13h46 - Ross Brawn répond par la défensive, estimant que Mercedes n'était de toute façon pas responsable des essais mais bien Pirelli.
13h45 - Mark Howard : "Et n'avez-vous pas trouvé bizarre de ne trouver aucun représentant des autres équipes une fois le début des essais ?"
13h44 - Ross Brawn répond par l'affirmative.
13h44 - Mark Howard : "Aviez-vous eu des garanties de la part de Pirelli que les autres équipes avaient été invitées à envoyer des représentants sur place ?"
13h43 - Ross Brawn : "Car Pirelli était responsable des essais."
13h43 - Mark Howard à Ross Brawn : "Pourquoi n'avez-vous pas jugé utile d'en informer les autres écuries ?"
13h42 - Mark Howard revient aux 1.000 kilomètres d'essais privés réalisés par Pirelli avec la Mercedes de cette année à Barcelone.
13h41 - La discussion entre Mark Howard et Ross Brawn se poursuit, cette fois-ci concernant les nouveaux pneumatiques que Pirelli projetait d'introduire à partir du Grand Prix du Canada, puis de Grande-Bretagne, avant finalement de renoncer à leur introduction.
13h40 - Ross Brawn finit par acquiescer...
13h39 - Mark Howard veut savoir si effectuer 1.000 kilomètres d'essais privés, pour Pirelli, avec une voiture de 2013, pourrait être perçu comme un avantage déloyal par les autres équipes.
13h36 - "Mais pouvez-vous répondre à ma question !" lance Mark Howard, l'avocat de la FIA, à Ross Brawn, qui vient encore de changer de sujet.
13h32 - L'avocat de la FIA veut en venir à la conclusion qu'il est impossible que Mercedes n'ait rien appris lors des 1.000 kilomètres d'essais privés avec Pirelli, notamment concernant la fiabilité de sa W04.
13h30 - L'avocat de la FIA interrompt Ross Brawn pour lui demander de ne pas changer de sujet.
13h30 - Ross Brawn lui répond en évoquant les essais menés l'an dernier par Pirelli avec la Renault...
13h25 - Il s'ensuit une discussion entre l'avocat de la FIA et Ross Brawn au sujet des essais réalisés par Pirelli avec la Mercedes de 2013 en Espagne.
13h22 - Intervention de l'avocat de la FIA. Il défend Lotus, estimant que l'écurie était incapable d'utiliser les données de télémétrie collectées lors des essais privés menés la saison dernière, par Pirelli, avec une Renault vieille de deux ans. Celle-ci avait été prêtée par Lotus au manufacturier avec le consentement des autres écuries.
13h20 - Dans ce document, l'Association des Pilotes de Grand Prix fait part au président de la FIA de son inquiétude pour la sécurité des pilotes suite aux problèmes de délamination rencontrés par Pirelli.
13h19 - Mercedes sort un document de l'Association des Pilotes de Grand Prix (GPDA) adressé au président de la FIA, Jean Todt.
13h18 - Mercedes montre aux juges des photos de délaminations...
13h17 - Ross Brawn évoque à présent les conséquences lorsqu'un pneu perd sa bande de roulement.
13h16 - Paul Harris aborde maintenant avec Ross Brawn les essais privés effectués par Pirelli la saison dernière avec une Renault vieille de deux ans, prêtée par Lotus, insinuant que l'équipe dirigée par Eric Boullier avait également accès aux données de télémétrie.
13h14 - Les "nouvelles preuves" avancées par l'avocat de Mercedes n'ont toujours pas été évoquées.
13h12 - Paul Harris demande à Ross Brawn si les données de télémétrie récoltées lors des trois journées d'essais pour le compte de Pirelli pourraient servir à Mercedes. La réponse du patron de l'équipe allemande est directe : "Non, je ne vois pas comment".
13h08 - Ross Brawn rappelle que Charlie Whiting est le plus haut représentant de la FIA sur les Grands Prix.
13h06 - Ross Brawn définit la position de Charlie Whiting sur les Grands Prix.
13h05 - Mercedes affirme disposer de "nouvelles preuves" depuis ce matin.
13h05 - Paul Harris appelle Ross Brawn à témoigner.
13h03 - Le Président de l'affaire rappelle à l'avocat de Mercedes que le tribunal n'est pas compétent pour juger de la légalité des essais effectués par Ferrari pour le compte de Pirelli.
13h00 - "La FIA a aussi vu cet échange de mails et a décidé de ne pas poursuivre Ferrari, c'est là où je veux en venir !" lance Paul Harris en fermant de manière assez violente le classeur qui se trouve devant lui.
12h57 - Mercedes dispose d'un échange de mails entre Ferrari et Pirelli dans lequel la Scuderia demande "spécifiquement" au manufacturier de lui fournir "plus de données" sur les essais. Et Pirelli "a fourni plus de données" à Ferrari, affirme Paul Harris, l'avocat de Mercedes.
12h54 - "Ferrari a dépassé la limite de 1.000 kilomètres durant ses essais avec Pirelli", ajoute Paul Harris. "L'implication de Ferrari était même plus importante que celle de Mercedes puisque c'est Ferrari qui a payé la location du circuit, mais Ferrari n'a pas été critiquée."
12h40 - Mercedes révèle que Ferrari avait déjà effectué plus de 1.000 kilomètres d'essais privés, avec Felipe Massa, pour le compte de Pirelli avant le Grand Prix d'Espagne la saison dernière !
12h37 - Paul Harris poursuit : "On nous reproche un manque de transparence alors que Ferrari a également manqué de transparence. En outre, comme vous le savez, la transparence n'est pas la qualité première des équipes en Formule 1."
12h35 - "Ces données nous sont totalement inutiles ! Nous serions ravis de les partager... mais nous ne pouvons pas le faire puisqu'elles appartiennent à Pirelli", ajoute l'avocat de Mercedes.
12h34 - Paul Harris, l'avocat de Mercedes : "Pourquoi n'avons-nous rien appris ? Premièrement, nous ne connaissions pas les pneus. Deuxièmement, nous ne faisions que suivre les instructions de Pirelli. Troisièmement, nous n'avons apporté aucune nouveauté sur notre voiture durant ces essais.  Quatrièmement, les données de télémétrie récoltées ne nous sont d'aucune utilité puisque nous ne connaissions pas les pneus utilisés."
12h32 - Mercedes estime que si la FIA juge que Ferrari n'a pu gagner aucun avantage des essais qu'elle a effectués pour le compte de Pirelli avant le Grand Prix d'Espagne, il doit en être de même pour Mercedes, les monoplaces de 2011 et 2013 étant très similaires.
12h28 - Mercedes s'interroge sur les raisons qui ont poussé la FIA à blanchir si vite Ferrari. Selon Paul Harris, si Mercedes a gagné un "avantage antisportif, ce que nous réfutons", alors Ferrari en a aussi gagné un, or, "Ferrari n'est nullement inquiétée" par la FIA.
12h27 - Rappelons que la FIA a décidé de ne pas poursuivre Ferrari, utiliser une voiture vieille d'il y a deux ans étant autorisé par le règlement.
12h17 - Pour Mercedes, si l'équipe allemande a pu tirer un avantage des trois journées d'essais avec Pirelli, alors Ferrari est dans le même bateau. Il souligne que les monoplaces de 2011 et de 2013 sont très similaires.
12h16 - Mercedes indique que les données récoltées lors des essais sont "confidentielles" et la seule "propriété" de Pirelli.
12h02 - L'avocat de Mercedes, qui paraît très présomptueux, joue sur la formulation de l'article du règlement sportif interdisant les essais privés en cours de saison. Il souligne que l'article interdit à un "compétiteur" d'effectuer des essais privés en cours de saison. Or, estime-t-il, les essais de Barcelone ont été effectués par Pirelli, qui n'est en rien un "compétiteur".
11h58 - Pour Mercedes, il s'agit d'une "non affaire" puisque ces essais n'ont pas été menés par Mercedes mais par Pirelli.
11h53 - Mercedes affirme que Pirelli était responsable de l'entièreté des essais. Mercedes ne faisait que suivre les directives de Pirelli.
11h50 - Pour Mercedes, il n'y avait aucune raison de mener ces essais sans récolter de données de télémétrie avec sa W04. Les données ont été récoltées pour le compte de Pirelli.
11h46 - Mercedes évoque le sujet des données de télémétrie.
11h44 - Pour Mercedes, le but des essais privés réalisés en Espagne est "totalement non pertinent".
11h42 - Pour rappel, l'avocat de Mercedes est Paul Harris, celui qui avait défendu avec succès Brawn GP dans l'affaire des doubles diffuseurs.
11h41 - Mercedes appellera son team principal Ross Brawn à témoigner en raison de nouvelles "informations" qu'il a en sa possession depuis ce matin.
11h41 - Début de la plaidoirie de Mercedes.
11h21 - A retenir de la plaidoirie de Mark Howard, l'avocat de la FIA : Mercedes et Pirelli n'ont jamais reçu l'autorisation de mener ces essais. En outre, la fédération a également clairement pris ses distances avec Charlie Whiting, dont le contrat n'aurait par ailleurs toujours pas été reconduit...
11h18 - Le Président de l'affaire interrompt l'audience pendant quelques instants avant le début de la plaidoirie de Mercedes.
11h11 - La FIA conclut sa plaidoirie en indiquant que Mercedes a gagné un "avantage antisportif en testant pendant trois journées avec Pirelli avec ses pilotes titulaires et ses ingénieurs de son équipe de course".
10h55 - La FIA réitère son sentiment que Mercedes a gagné un avantage en effectuant trois journées d'essais avec Pirelli, surtout en alignant ses "pilotes titulaires".
10h53 - La FIA s'interroge sur les raisons qui ont poussé Mercedes à aligner ses pilotes titulaires et non un pilote essayeur.
10h52 - La FIA compare ce qu'il s'est passé en 2012 et ce qu'il s'est passé à Barcelone en 2013, et souligne, entre autres, que les autres écuries n'ont pas été invitées à envoyer un représentant.
10h46 - La FIA aborde les procédures qui ont été suivies lors des essais privés de développement menés par Pirelli la saison dernière avec une ancienne Renault.
10h40 - Rappelons que l'élément central de la défense de Mercedes serait justement d'avoir reçu le consentement de Charlie Whiting. Un consentement qui, selon la FIA, n'a aucune valeur juridique, d'autant plus qu'il s'avère que Whiting avait informé Mercedes de la position juridique de la FIA, qui était que Pirelli devait offrir à toutes les équipes la possibilité de mener 1.000 kilomètres d'essais privés pour que cette session avec Mercedes puisse avoir lieu. L'écurie allemande doit-elle s'inquiéter ?
10h39 - Par ailleurs, la FIA a précisé qu'elle ne reprochait pas à Pirelli d'avoir enfreint les termes de son contrat.
10h35 - Pour la FIA, si "Mercedes et Pirelli avaient été transparents et ouverts, et avaient informé les autres équipes" de leur intention de mener ces essais, personne ne se retrouverait aujourd'hui devant le Tribunal International de la FIA.
10h29 - La FIA souligne des incohérences dans les déclarations qui lui ont été rendues par Mercedes et Pirelli. Pour le manufacturier italien, la raison première des essais effectués était de tester des pneumatiques de développement pour 2014, alors que pour Mercedes, le but premier de ces tests était de venir à bout des problèmes de délamination survenus en début de saison.
10h28 - Charlie Whiting est présent au procès.
10h27 - La FIA semble clairement se distancer de ce que Charlie Whiting, son plus haut représentant sur les Grands Prix, aurait pu dire à Mercedes.
10h25 - Pour la FIA, l'opinion de Charlie Whiting ou de toute autre personne sur la tenue de tels essais "n'a aucune valeur juridique" et reste une simple "opinion".
10h22 - Pour la FIA, que Charlie Whiting "ait ou n'ait pas" donné son accord à Mercedes n'est "pas pertinent" car la règlementation doit être respectée en tout temps.
10h20 - La FIA réaffirme que Pirelli avait "l'obligation" d'offrir à toutes les équipes la possibilité de mener 1.000 kilomètres d'essais privés et devait veiller à avoir l'approbation de la fédération pour effectuer de tels essais.
10h20 - La FIA rappelle que les équipes doivent être traitées équitablement.
10h17 - La FIA rappelle que Pirelli n'a pas demandé à Mercedes d'utiliser sa W04 et s'interroge sur les raisons qui ont mené l'équipe allemande à ne pas utiliser une monoplace vieille d'il y a deux ans.
10h15 - Le contrat passé avec Pirelli autorise bien le manufacturier à effectuer 1.000 kilomètres d'essais privés avec une écurie en cours de saison, mais ne fait nullement mention de la voiture à utiliser.
10h13 - La FIA aborde le contrat passé avec Pirelli.
10h10 - La FIA veut en venir à la conclusion qu'il est "très peu probable" que Mercedes n'ait strictement rien appris durant les trois journées d'essais privés avec Pirelli.
10h09 - La FIA indique qu'une "quantité importante" de données des essais privés ont été fournies par Pirelli à Mercedes.
10h00 - La FIA parcourt actuellement des correspondances de mails entre Pirelli et l'ingénieur de course en chef de Mercedes, Andrew Shovlin.
9h48 - La FIA s'exprime actuellement et énonce les faits de l'affaire. Ce sera ensuite au tour de Mercedes puis de Pirelli de prendre la parole. Chaque partie aura un droit de réponse.
9h46 - Ferrari et Red Bull, mais aussi McLaren et Williams, ont envoyé des représentants au procès. Christian Horner, le team principal de Red Bull, a effectué le déplacement en personne, accompagné de l'ingénieur en chef de l'équipe Paul Monaghan et de l'avocat Tanja Patt.
9h41 - Ross Brawn, le team principal de Mercedes, est représenté par Paul Harris, l'avocat qui l'avait défendu avec succès dans l'affaire des doubles diffuseurs. Paul Hembery, le responsable de la compétition de Pirelli, est de son côté représenté par Dominique Dumas, l'avocat qui avait défendu Pat Symonds dans l'affaire de la course arrangée de Singapour.
9h39 - Le président de l'affaire est Edwin Glasgow. Il statuera aux côtés de Laurent Anselmi, Chris Harris, Patrick Raedersdorf et Tony Scott-Andrews.
9h38 - Pour la première fois, les journalistes accrédités, dont F1i, sont autorisés à assister au procès. La prise de photos ou les tweets sont en revanche interdits.
9h30 - Bonjour et bienvenue pour suivre en direct le procès de Mercedes et Pirelli.

http://www.f1i.com/infos/suivez-le-proces-de-mercedes-et-pirelli-en-direct/

F1i a été l'un des rares médias à avoir été autorisés à assister au procès de Mercedes et Pirelli devant le Tribunal International de la FIA, ce jeudi, à Paris.
Nous vous proposons de revivre le déroulé de ce procès, minute par minute, en parcourant notre live ci-dessous.
17h06 - Revivez le procès en images en cliquant ici.
17h00 - Merci d'avoir été aussi nombreux à nous suivre tout au long de la journée. N'hésitez pas à revenir régulièrement sur notre site pour connaître le verdict du procès.
16h57 - Ceci marque la fin de notre live depuis le siège de la FIA, à Paris, où F1i faisait partie des rares médias à avoir été autorisés à assister au procès de Mercedes et Pirelli.
16h53 - Le Président de l'affaire a indiqué qu'ils allaient sans doute délibérer cette nuit. Le verdict tombera "d'ici demain" : cela peut-être vers 2 heures du matin ou dans l'après-midi...
16h44 - Le Président de l'affaire conclut l'audience et indique que le verdict sera rendu "d'ici demain".
16h40 - Paul Harris propose au Tribunal International de la FIA, en cas d'éventuelles sanctions, de priver Mercedes des essais privés pour jeunes pilotes qui auront lieu sur le circuit de Silverstone du 15 au 17 juillet.
16h37 - Paul Harris : "Si nous avons fait quelque chose de mal, nous serons ravis de nous excuser. Nous aimerions attirer votre attention sur le fait que seule l'équipe Mercedes est concernée dans cette affaire, en aucun cas ses pilotes."
16h37 - Paul Harris évoque le sujet d'éventuelles sanctions contre Mercedes.
16h36 - Paul Harris : "Pourquoi sommes-nous ici ? Parce que Charlie Whiting a donné son approbation au nom de la FIA. S'il nous avait dit non, alors nous n'aurions pas pris part à ces essais."
16h34 - Paul Harris : "Nous n'avons pas caché ces essais. Nous reconnaissons qu'il n'était pas avisé de dissimuler l'identité de nos pilotes, mais nous n'avons rien fait de mal."
16h33 - Paul Harris : "Croyez-nous, nous avons agi de bonne foi. Toutefois, si nous venons à être reconnus coupables, alors nous nous excusons auprès des équipes rivales."
16h31 - Paul Harris : "Nous avons fait tout ce qui était en notre pouvoir pour obtenir l'approbation [de la FIA] et nous estimons l'avoir eue."
16h30 - Le procès dure depuis 7 heures.
16h29 - Paul Harris s'en tient à la ligne de défense de Mercedes.
16h26 - Le Président de l'affaire rappelle à l'avocat de Mercedes que Charlie Whiting n'a jamais donné l'autorisation formelle à l'équipe allemande de prendre part à 1.000 kilomètres d'essais privés pour le compte de Pirelli avec sa voiture de cette année.
16h22 - Pendant ce temps, Paul Harris poursuit la défense de Mercedes, revenant sur des points évoqués ce matin.
16h21 - Pour résumer le procès. La FIA accuse Mercedes. Mercedes rejette la faute sur Pirelli (et fustige au passage Ferrari et Lotus). Enfin, Pirelli estime ne pas être responsable et, même s'il était responsable, la FIA ne pourrait de toute façon rien faire contre lui.
16h20 - Paul Harris, l'avocat de Mercedes, énumère les différents points de la défense de l'équipe allemande.
16h12 - L'avocat de Mercedes reprend la parole.
16h07 - La FIA admet que la seule erreur qui peut être reprochée à Charlie Whiting, c'est de ne pas s'être assuré si Pirelli avait bel et bien proposé à toutes les écuries de prendre part à ces essais avant que le manufacturier entame sa session de tests de trois jours avec Mercedes en Espagne.
16h04 - Mark Howard reprend la parole, rappelant que toutes les équipes doivent respecter en tout temps le règlement sportif et le règlement technique ainsi que le Code Sportif International de la FIA.
16h01 - Reprise du procès.
15h55 - Le procès est momentanément interrompu, le Président de l'affaire ne parvenant plus à remettre la main sur un document.
15h53 - Pour le moment, le procès a l'air de tourner en rond...
15h52 - La FIA réaffirme aussi que Ferrari n'a nullement enfreint la règlementation puisqu'elle a utilisé une monoplace vieille de deux ans.
15h51 - Mark Howard revient sur le sujet des données de télémétrie récoltées durant ces trois journées d'essais.
15h44 - Mark Howard parle toujours de "l'avantage déloyal" gagné par Mercedes...
15h37 - Mark Howard, l'avocat de la FIA, réaffirme que les essais menés en Espagne avec une monoplace de la saison en cours contreviennent au règlement sportif, ajoutant que Pirelli, en menant de tels essais, "a permis à Mercedes de gagner un avantage déloyal".
15h31 - Intervention de l'avocat de la FIA.
15h30 - Fin de la plaidoirie de Pirelli.
15h27 - Pirelli ajoute que la FIA ne lui a jamais stipulé que toutes les équipes devaient participer "au même moment" à une session de 1.000 kilomètres d'essais privés. Le manufacturier estime par ailleurs qu'il n'aurait pas été productif que toutes les écuries rejoignent Mercedes à Barcelone.
15h21 - Pirelli affirme avoir proposé à toutes les équipes la possibilité de prendre part à une session de 1.000 kilomètres d'essais privés en "mars 2012", et que "cette proposition était encore valable pour l'année suivante".
15h19 - L'avocat de Pirelli aborde maintenant le sujet attendu, celui des essais menés avec la Mercedes, après un long discours visant à démontrer que la FIA ne pouvait nullement sanctionner le manufacturier italien en cas de litige.
15h05 - "L'enquête disciplinaire ouverte par la FIA à l'encontre de Pirelli est par conséquent totalement inacceptable !" ajoute Dominique Dumas.
15h04 - "Seule la loi française est applicable nous concernant", indique Dominique Dumas, l'avocat de Pirelli.
15h01 - Pirelli affirme que seul le Tribunal de grande instance de Paris est compétent en cas d'éventuels litiges avec la FIA et que cette dernière ne peut lui infliger aucune sanction disciplinaire.
15h01 - Pirelli estime qu'il n'est pas sous la juridiction de la FIA et ne peut dès lors pas être sanctionné.
14h56 - Pirelli rappelle qu'il n'est pas sous licence de la FIA, à l'inverse de Mercedes. Il n'est qu'un prestataire, dans ce cas-ci un manufacturier de pneus.
14h52 - Reprise du procès.
14h51 - L'avocat de Pirelli interviendra en français
http://www.f1i.com/infos/suivez-le-proces-de-mercedes-et-pirelli-en-direct/