Ferrari, la quête de reconnaissance de Sebastian Vettel
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Ferrari, la quête de reconnaissance de Sebastian Vettel
Ferrari, la quête de reconnaissance de Sebastian Vettel
Il y a un presque un an jour pour jour, Eddie Irvine s’exprimait au sujet du manque de reconnaissance publique de Sebastian Vettel, Quadruple Champion du Monde plus souvent sifflé qu’à son tour sur les podiums du monde entier.
L’Irlandais estimait que Vettel ne reçoit pas la même reconnaissance du monde de la F1 et de ses spectateurs en raison du fait qu’il ne se met pas en danger à la manière d’un Michael Schumacher, ayant lui aussi dominé dans la discipline, mais en changeant d’équipe après ses deux premiers titres mondiaux pour relever un nouveau challenge.
Souvent assimilés à la domination technique sans partage de Red Bull, les succès de l’Allemand ne pèsent parfois pas aussi lourd que certaines des réalisations d’autres de ses rivaux en piste.
Contesté dans sa domination cette année par Daniel Ricciardo, son nouvel équipier, Vettel a finalement fait le choix de se lancer un défi personnel en quittant Red Bull pour remarcher sur les traces de son idole Michael Schumacher, qui avait redressé la Scuderia avec toute une équipe autour de lui.
Dans le nouveau contexte, les propos d’Irvine sont intéressants à remettre en lumière aujourd’hui.
“Le record de Vettel est incroyable, en dépit du fait qu’il a gardé la meilleure voiture plus ou moins chaque année ; ce que Michael n’a pas eu”, décrivait-il en décembre 2013. “Le truc avec Michael, c’est qu’une fois qu’il a gagné ses deux premiers championnats, il a pensé ‘C’est ennuyeux, je vais partir chez Ferrari et reconstruire Ferrari’, et c’était très admirable. Il a souffert là-bas pendant trois ou quatre ans avant de remporter un autre championnat”.
Parti de chez Benetton après deux titres en direction d’une équipe Ferrari où tout était à construire, Schumacher s’est attiré une réputation de travailleur et de catalyseur d’énergies hors-pairs tout en gagnant avec autorité. Un shéma que Vettel, en quête de reconnaissance, souhaite aujourd’hui reproduire avec l’équipe la plus aimée au monde.
“Vettel reste juste chez Red Bull à remporter des trophées et c’est ennuyeux. Je ne vois pas ce qu’il essaie de prouver. OK, il va récolter beaucoup de championnats. Mais vous savez quoi ? On s’en fiche” !
http://www.toilef1.com/Irvine-admirerait-Vettel-s-il.html
Il y a un presque un an jour pour jour, Eddie Irvine s’exprimait au sujet du manque de reconnaissance publique de Sebastian Vettel, Quadruple Champion du Monde plus souvent sifflé qu’à son tour sur les podiums du monde entier.
L’Irlandais estimait que Vettel ne reçoit pas la même reconnaissance du monde de la F1 et de ses spectateurs en raison du fait qu’il ne se met pas en danger à la manière d’un Michael Schumacher, ayant lui aussi dominé dans la discipline, mais en changeant d’équipe après ses deux premiers titres mondiaux pour relever un nouveau challenge.
Souvent assimilés à la domination technique sans partage de Red Bull, les succès de l’Allemand ne pèsent parfois pas aussi lourd que certaines des réalisations d’autres de ses rivaux en piste.
Contesté dans sa domination cette année par Daniel Ricciardo, son nouvel équipier, Vettel a finalement fait le choix de se lancer un défi personnel en quittant Red Bull pour remarcher sur les traces de son idole Michael Schumacher, qui avait redressé la Scuderia avec toute une équipe autour de lui.
Dans le nouveau contexte, les propos d’Irvine sont intéressants à remettre en lumière aujourd’hui.
“Le record de Vettel est incroyable, en dépit du fait qu’il a gardé la meilleure voiture plus ou moins chaque année ; ce que Michael n’a pas eu”, décrivait-il en décembre 2013. “Le truc avec Michael, c’est qu’une fois qu’il a gagné ses deux premiers championnats, il a pensé ‘C’est ennuyeux, je vais partir chez Ferrari et reconstruire Ferrari’, et c’était très admirable. Il a souffert là-bas pendant trois ou quatre ans avant de remporter un autre championnat”.
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