Caricature de pilote. Photos de sport auto.

DIDIER PIRONI

Après sa victoire au volant Elf 1973, Didier Pironi connaîtra
une ascension rapide dans les formules de promotion qui
l'amèneront à la F2 en 1977. Mais c'est dans une F3, cette
même année, qu'il obtiendra son sésame pour la F1 en
remportant brillamment le GP de Monaco de la discipline.
Deux saisons chez Tyrrell, une autre chez Ligier avant de
rejoindre Ferrari en 1981 aux côtés de Gilles Villeneuve.
Le 7 Août 1982 sur le circuit d'Hockenheim, la trajectoire
de Didier Pironi s'interrompt brutalement alors qu'il est
en passe de devenir le premier Français champion du
monde de Formule 1. Absent des cinq dernières courses,
il se classera second du championnat à égalité avec John
Watson et à cinq points de Keke Rosberg. Après une lon-
gue rééducation et quelques tests en F1, il se tourne vers
les courses de bateaux "offshore". Le 23 août 1987, le des-
tin de Didier Pironi se brise définitivement sur les vagues,
au large de l'île de de Wight.

Ce 24 Avril 2005, sur le circuit d'Imola, Fernando
Alonso, au volant de sa Renault R25, remporte
son troisième GP de la saison, résistant aux at-
taques de la Ferrari de Michael Schumacher. Il
deviendra au mois de Septembre le plus jeune
champion du monde de l'histoire de la Formule 1
et le premier pilote espagnol couronné dans la
discipline reine du sport automobile.
http://www.pilotesdelegende.net/alonso.html

Chris Amon " l'éternel malchanceux ". Considéré comme
l'un des meilleurs pilotes de son époque, le " Kiwi " ne
remporta jamais un GP du championnat du monde. Ce 2
Juillet 1972, sur le circuit de Charade, on crut que le néo-
zélandais allait enfin vaincre le signe indien et, par la mê-
me occasion, apporter enfin sa première victoire au 12
cylindres français. Auteur de la pole-position, rien ne
semblait pouvoir empêcher Chris et sa Matra de vaincre
ce jour-là... Rien, hormis une crevaison qui le vit repartir
8ème pour entamer une vaine remontée au cours de la-
quelle il signera le record du tour. Maigre consolation...
Cette défaite, une de trop, sonna le glas de Matra en F1.
http://www.pilotesdelegende.net/amon.html

rente ans au plus haut niveau, et durant toutes ces années Ma-
rio Andretti a tout conduit ! Sur le continent américain ou europé-
en, des midgets de ses débuts à la Formule 1, des " Nascar " aux
sports-prototypes et avec la même réussite ! En 1969, au volant
de cette Brawner Hawk, il s'imposera au firmament du sport au-
tomobile américain, remportant les 500 miles d'Indianapolis. Neuf
ans plus tard, il sera sacré champion du monde de F1, avant de
repartir glaner d'autres succès dans son pays. Plus qu'un pilote,
une icône ...
http://www.pilotesdelegende.net/andretti.html

Jean-Claude Andruet fut certainement un des pilotes
préférés du public. Pilote au gros coeur, spectaculaire
à outrance, il laissa à tous les spectateurs ainsi qu'à ses
copilotes des souvenirs impérissables ! Ce n'est pas
Jean Todt et la fidèle "Biche" qui diront le contraire... Sa
victoire au Monte Carlo 1973 où il réalisa l'impossible au
volant de l'Alpine A110, fut certainement une des plus
belles remportées par le "jockey". Andruet s'illustra sur
toutes sortes de voitures et pas seulement en rallye.
Pilote-né, il aurait certainement pu réussir dans n'impor-
te quelle discipline du sport automobile.
http://www.pilotesdelegende.net/andruet.html

Lauréat du volant Shell 1972, René Arnoux s'imposa
dès l'année suivante en remportant le championnat
de France de Formule Renault 1973. En 1975, il s'impo-
se en Formule Renault Europe et gagne en 1977 le
championnat d'Europe de F2. Tico Martini lui construit
une F1 pour la saison 1978, mais ce sera un échec et
Arnoux terminera la saison chez Surtees. Il est néan-
moins remarqué par Renault qui l'engage dans son
écurie F1 pour 1979. Le grenoblois y restera quatre
années, y signant quatorze poles positions et quatre
victoires, la dernière ici à Monza. Ensuite ce sera l'a-
venture Ferrari avec trois nouvelles victoires, qua-
tre nouvelles poles positions et une fin de carrière en
demi-teinte chez Ligier. René Arnoux laissera le sou-
venir d'un pilote instinctif et terriblement rapide, dont
le palmarès ne fut pas à la hauteur du talent.
http://www.pilotesdelegende.net/arnoux.html

Alberto Ascari fut un des plus grands pilotes de son époque.
Il domina les saisons 1952 et 1953, où il totalisa 11 victoires et
autant de pôles positions et records du tour ! Il dut s’effacer
les deux années suivantes devant les Mercedes de Fangio et
Moss. Il remporta néanmoins deux autres victoires, avant de
trouver la mort dans des circonstances mystérieuses sur le
circuit de Monza en essayant la Ferrari " sport " de son ami
Castelotti. Quatre jours avant, il était pourtant sorti indemne
d’un plongeon spectaculaire dans le port du circuit de Mona-
co, au volant de sa Lancia Ferrari de Formule 1 ...
http://www.pilotesdelegende.net/ascari.html

Le tragique destin de Lorenzo Bandini ... Après avoir débuté
en 1961 chez Cooper, il courut épisodiquement pour Ferrari
qui l’avait déjà remarqué. Cet Italien racé disputa sa première saison complète en F1 chez Ferrari en 1964, et remporta cette
année-là sa première et unique victoire en Grand Prix. Bandini
brillait aussi dans les épreuves d’endurance et remporta les
24 heures du Mans et de Daytona au volant d’une Ferrari P4.
Le difficile circuit de Monaco semblait être son terrain de prédi-
lection. Il termina second du Grand Prix en 1965 et 1966. En 1967,
second derrière la Brabham du leader Denny Hulme, mais épui-
sé par deux heures de course, il percuta les bottes de paille à
la chicane du port. Prisonnier de sa Ferrari enflammée, Lorenzo
Bandini décèdera trois jours plus tard.
http://www.pilotesdelegende.net/bandini.html

Aprés des débuts en moto, Jean Behra pilota pendant trois
années les voitures d’ Amédée Gordini, ce qui lui laissait
peu de chance de vaincre. Il s’ imposa néanmoins à Reims
en 1952, mais cette épreuve ne comptait pas pour le cham-
pionnat du monde. En 1955, il entra chez Maserati, où il mon-
ta plusieurs fois sur le podium. En 1959, il rejoignit Ferrari
et mena le premier Grand Prix de la saison, à Monaco pen-
dant 23 tours avant d’ abandonner. Behra " bon coeur et mau-
vais caractère " quitta brusquement l’ écurie en cours de sai-
son. Il trouvera la mort cette même année sur l’ insipide cir-
cuit de l’ Avus prés de Berlin, au volant d'une Porsche dans
une épreuve pour voitures de sport, discipline où il s' était si
souvent illustré ... ...
http://www.pilotesdelegende.net/behra.html

Lors de la saison 1990, Jean Alesi se mit à plusieurs
reprises en évidence au volant de sa modeste Tyrrell
019, notamment à Phoenix où il mena une grande partie
de la course devant la Mclaren de Senna, et ici à Mona-
co où il finira second derrière le même Senna.
http://www.pilotesdelegende.net/alesi.html

Stefan Bellof restera une étoile filante dans l'univers de la
course automobile. Après des résultats probants dans les
formules de promotions allemandes, puis en F3 et F2, il est
recruté en 1983 par l'écurie officielle Porsche en endurance.
En 1984 il fait son entrée en F1 dans l'écurie de Ken Tyrrell.
Il continue en même temps à courir pour l'écurie Porsche,
et remportant pas moins de six victoires cette année-là, il
est sacré champion du monde de la discipline. En F1, il se
mets plusieurs fois en évidence au volant de sa Tyrrell Ford
notamment dans un GP de Monaco resté dans les annales.
L'avenir s'annonce prometteur pour le jeune pilote allemand.
En 1985, il mène toujours de front F1 et endurance. Le 1er
septembre, il dispute les 1000 km de Spa. La grande Faux
l'attendait en bas du raidillon de l'eau rouge. Stefan Bellof
restera aussi l'homme le plus rapide sur le mythique circuit
du Nürburgring (Nordschleife) au volant d'une Porsche 956.
http://www.pilotesdelegende.net/bellof.html

Peu de pilotes dominèrent une course comme le fit
Jean-Pierre Beltoise ce jour-là. Le pilote français rem-
porta à Monaco son unique victoire, la dernière d'une
BRM, dans un Grand Prix du championnat du monde.
Celui qui, sept années plus tôt à Reims, avait offert à
Matra son premier succès international, prenant par
la même occasion une belle revanche sur le destin et
faisant effectuer un bond en avant au sport automobi-
le français, n'eut jamais le bonheur de faire triompher
le fameux V12 de la marque de Velizy en F1. Deux ans
plus tôt, sur le circuit de Charade, Beltoise et la Matra
MS120 étaient pourtant passés tout près de l'exploit.
Marqué plusieurs fois dans sa chair, celui qui fut éga-
lement onze fois champion de France moto, met au-
jourd'hui son expérience au service des autres dans
un domaine qui l'a toujours passionné : la sécurité
routière.
http://www.pilotesdelegende.net/beltoise.html

Lucien Bianchi comme Vic Elford, fut un pilote polyvalent par
excellence ! Vainqueur de trois tours de France Automobile,
plusieurs fois champion de Belgique des rallyes au volant
d' une DS 19, il débuta en F1 dans son GP national, sur le cir-
cuit de Spa Francorchamps, terminant au volant d' une Cooper
à une belle 6ème place. Sa plus belle victoire, il la remporta au
volant de cette Ford GT 40 de l' écurie de John Wyer sur le cir-
cuit du Mans associé à Pedro Rodriguez. Il connaitra cette mê-
me année, la satisfaction de terminer à la 3ème place du GP
de Monaco. l' année suivante, lors d' essais sur le circuit du
Mans, son Alfa-Roméo décolle sur la bosse de Mulsanne et
percute les arbres. Lucien Bianchi est tué sur le coup.
http://www.pilotesdelegende.net/bianchi.html

"Jo" Bonnier débuta dans son pays par des courses de côte
et également des compétitions sur glace. En 1956, il se lance
dans le grand bain à bord d' une Maserati 250F. Le tournant de
sa carrière est son engagement chez BRM. En 1959, il a la joie
d' être le premier à faire triompher la marque anglaise dans
un Grand Prix du championnat du monde. Malheureusement,
le futur n' apportera plus autant de satisfactions au suédois
barbu. Pilotant pour des écuries privées ou sous sa propre
bannière, les résultats ne furent plus guère à la hauteur de
ses espérances. Sa dernière grande victoire , il la connut ici
sur le difficile circuit du Nürburgring où, associé à son ami Phil
Hill, il triompha au volant de la puissante Chaparral 2D à moteur
chevrolet. Il se tua lors des 24 heures du Mans 1972 après avoir
un moment, mené la course. Jo Bonnier, la fin d' une époque ...
http://www.pilotesdelegende.net/bonnier.html

Champion de France de F3 en 1999 avec huit victoires, titré en
F3000 en 2002, Sébastien Bourdais est très près d'accéder à la
F1 en 2003 avec l'écurie Arrows avant que celle-ci ne dépose
son bilan. Devant l'absence de débouchés en Europe, Bourdais
se tourne alors vers les USA et rejoint l'écurie Newman/Haas.
Exil gagnant pour le manceau qui accumulera quatre titres con-
sécutifs dans la série ChampCar entre 2004 et 2007 avec un total de trente et une victoires et autant de poles positions durant ses
cinq années passées outre-atlantique.
http://www.pilotesdelegende.net/bourdais.html

Fait unique, Jack Brabham est le seul pilote à ce jour, à avoir
été titré en F1 au volant d'une voiture de sa fabrication. Ce fils
d’ un marchand de légumes avait appris la mécanique sur les
camions de son père. Il fit ses premières armes dans son pays
et se tourna ensuite vers l’ angleterre, où il se lia d’ amitié avec
le constructeur John Cooper. Ce fut le vrai commencement et
en 1958, les choses sérieuses commencèrent. En 1959, " Black
Jack " remporta deux victoires et le titre ! Il récidiva en 1960 avec
cinq victoires ! En 1962, il décida de construire sa propre voiture.
En 1964 à Rouen c’ est Dan Gurney qui la fit triompher. Jack dut
attendre 1966 pour s’ imposer ici à Reims . trois autres victoires
suivirent, ainsi qu’ un troisième titre mondial au volant d'une
Brabham cette fois ! Il se retira à la fin de la saison 1970.
http://www.pilotesdelegende.net/brabham.html

Drôle de parcours pour le cadet des frères Brambilla !
fils du concessionnaire Moto-Guzzi de Monza, il entame
une carrière motocycliste qui le mène au titre de cham-
pion d'Italie au guidon d'une Parilla en 1958. En 1963, il
est champion du monde de karting 200cc. Retour vers
la moto avec deux titres nationaux 250cc en 1968, année
de ses débuts en course automobile, et 1969. Vittorio
collectionne les succès en F3. Ses deux victoires en F2
en 1973 lui ouvrent les portes de la F1 pour 1974. Deux
saisons chez March avec comme sommet l'année 1975
et sa pole (contestée il est vrai) en Suède, et sa victoire
au GP d'Autriche (incontestable celle-là) acquise sous
le déluge, signant le record du tour avant l'interruption
de la course. Blessé à la tête lors de l'accident ayant coû-
té la vie à Peterson lors du départ du GP d'Italie 1978, il
n'effectuera plus que de rares apparitions en GP pour
Alfa-Roméo en 1979 et 1980. Celui que l'on surnommait
"le gorille de Monza" se retire après le GP d'Italie 1980.
http://www.pilotesdelegende.net/brambilla.html

Auteur de performances honnêtes dans les disciplines
inférieures, Keke Rosberg entra en F1 en 1978 par la petite
porte. Théodore, ATS, Wolf et Fittipaldi (un podium) lui permi-
rent de se mettre suffisamment en évidence pour être re-
cruté par l'écurie Williams en 1982. Sa régularité et les mau-
vaises fortunes de ses concurrents lui offrirent cette année
le titre de champion du monde des conducteurs, le dernier
titre du célèbre moteur Ford Cosworth en F1. L'année sui-
vante il s'impose avec brio au GP de Monaco et en 1984, il
impose sa Williams ici à Dallas. En 1985, il ajoutera deux nou-
veaux succès à son palmarés avant de rejoindre Prost chez
McLaren en 1986. Vite confiné au rôle de second du français,
le finlandais se retire à la fin de la saison, à presque 38 ans.
En 1990/91 il effectue un retour remarqué chez Peugeot dans
le championnat du monde de voitures de sport. Il raccroche
définitivement son casque après une saison de DTM en 1992
http://www.pilotesdelegende.net/rosberg.html

Nelson Piquet débuta chez lui au Brésil par le karting avant de
remporter le titre national de formule Vee. Direction l'Angleterre
et le championnat de formule 3 britannique qu'il domine en 1978.
Les portes de la F1 lui sont désormais ouvertes et il débute cette
même année sur une Ensign en Allemagne, puis ce sera trois
courses pour McLaren avant de finir la saison chez Brabham. Il y
restera jusqu'en 1985. Sept saisons au cours desquelles il rempor-
tera deux titres mondiaux. Le premier en 1981, où il s'impose à
Reutemann lors de la dernière course de la saison, et le second
en 1983 ou il récidive face à Prost, cette fois-ci. En 1986, il rejoint
l'écurie Williams et une cohabitation difficile avec le véloce Mansell.
Il réussit pourtant à coiffer sa troisième couronne l'année suivante.
Suivent deux saisons infructueuses chez Lotus avant de retrouver
le succès chez Benetton, deux victoires en 1990 et une dernière en
1991. Il tente sa chance à Indianapolis en 1992, avec un grave acci-
accident à la clé, et en 1993. On le verra également au 24 h du Mans
en 1996 et 1997.
http://www.pilotesdelegende.net/piquet.html

Quinze titres de champion du monde moto et 122 victoires,
qui dit mieux ? Giacomo Agostini n'est pas près d'être détrôné.
En 1963 il débute dans le " Continental circus " sur une Morini.
Il est vite remarqué par MV Agusta qui l'engage en 1965 com-
me second de Mike Hailwood. Il finira 2ème du championnat
en 350 et 500 cc. L'année suivante le verra couronné pour la
première fois en 500 cc . Il récidive en 1967. A la fin de l'année,
Honda se retire, et avec elle son pilote phare Mike Hailwood.
La voie est libre pour celui qui va devenir le roi Ago ! Il va en-
chaîner 11 titres mondiaux. En 1974, Agostini quitte MV Agusta
pour Yamaha où il glane deux titres supplémentaires. Après
une tentative de reconversion sur quatre roues , il abandonne
la compétition en 1980.
http://www.pilotesdelegende.net/agostini.html

Fait unique, Jack Brabham est le seul pilote à ce jour, à avoir
été titré en F1 au volant d'une voiture de sa fabrication. Ce fils
d’ un marchand de légumes avait appris la mécanique sur les
camions de son père. Il fit ses premières armes dans son pays
et se tourna ensuite vers l’ angleterre, où il se lia d’ amitié avec
le constructeur John Cooper. Ce fut le vrai commencement et
en 1958, les choses sérieuses commencèrent. En 1959, " Black
Jack " remporta deux victoires et le titre ! Il récidiva en 1960 avec
cinq victoires ! En 1962, il décida de construire sa propre voiture.
En 1964 à Rouen c’ est Dan Gurney qui la fit triompher. Jack dut
attendre 1966 pour s’ imposer ici à Reims . trois autres victoires
suivirent, ainsi qu’ un troisième titre mondial au volant d'une
Brabham cette fois ! Il se retira à la fin de la saison 1970.
http://www.pilotesdelegende.net/brabham.html

Drôle de parcours pour le cadet des frères Brambilla !
fils du concessionnaire Moto-Guzzi de Monza, il entame
une carrière motocycliste qui le mène au titre de cham-
pion d'Italie au guidon d'une Parilla en 1958. En 1963, il
est champion du monde de karting 200cc. Retour vers
la moto avec deux titres nationaux 250cc en 1968, année
de ses débuts en course automobile, et 1969. Vittorio
collectionne les succès en F3. Ses deux victoires en F2
en 1973 lui ouvrent les portes de la F1 pour 1974. Deux
saisons chez March avec comme sommet l'année 1975
et sa pole (contestée il est vrai) en Suède, et sa victoire
au GP d'Autriche (incontestable celle-là) acquise sous
le déluge, signant le record du tour avant l'interruption
de la course. Blessé à la tête lors de l'accident ayant coû-
té la vie à Peterson lors du départ du GP d'Italie 1978, il
n'effectuera plus que de rares apparitions en GP pour
Alfa-Roméo en 1979 et 1980. Celui que l'on surnommait
"le gorille de Monza" se retire après le GP d'Italie 1980.
http://www.pilotesdelegende.net/brambilla.html

Un des pilotes les plus discrets, et aussi les plus talentueux.
Tony Brooks restera peut-être le plus sous-estimé des " grands"
de son époque. Menant de front un début de carrière prometteur
et des études de chirurgie dentaire, il réussira vite à se faire re-
marquer par des gens comme John Wyer qui dirige l'écurie Aston
Martin. Il signe en F1 chez BRM en 1956, mais la saison au volant
de la P 25 sera décevante. 1957 le verra débuter chez Vanwall aux
côtés de Stirling Moss. Fidèle à Aston Martin en voitures de sport,
il remportera une superbe victoire avec la DBR 1, ici aux 1000 km
du Nürburgring, et se classera 5ème du championnat du monde
de F1. 1958 le verra remporter trois GP, et se classer à la 3ème pla-
ce finale. En 1959, pilotant pour Ferrari, il sera vice champion der-
rière Jack Brabham avec deux victoires. Il se retirera à la fin de la
saison 1961, laissant le souvenir d'un authentique gentleman.
http://www.pilotesdelegende.net/brooks.html

En 2009 au volant de sa Brawn GP, Jenson Button remporte six
des sept premiers Grand Prix de la saison. La suite de l'année
sera beaucoup plus difficile pour le pilote anglais en prise avec
des adversaires de plus en plus performants. Button réussira
néanmoins à conserver son leasership jusqu'au final, coiffant
ainsi sa première couronne mondiale.
http://www.pilotesdelegende.net/button.html

Donald Campbell avait de qui tenir. Son père Malcolm
fut le recordman de vitesse sur terre et sur l'eau le
plus emblématique de son époque. Donald reprit le
flambeau de belle manière avec les fameux " Bluebird ".
En 1964, il battit les records du monde sur terre et sur
eau. Au mois de janvier 1967, avec l'ultime version, le
K7, il tenta la barre mythique des 300 Miles par heure,
sur le lac de Coniston. L' " oiseau bleu " dépassa cette
vitesse pour s' envoler immédiatement ... On parle de
320 Miles, plus de 500 Km/h. Le terrible looping s' acheva
par un impact terrifiant sur l 'eau qui désintégra l' avant
du Bluebird. Dolnald Campbell avait rejoint la légende.
http://www.pilotesdelegende.net/campbell.html