Caricature de pilote. Photos de sport auto.

Rudi" Caracciola fut le premier pilote à être couronné
champion d’ europe des conducteurs, le titre mondial
n’ existant pas encore, en 1935, puis 1937 et 1938. Il resta
fidèle durant pratiquement toute sa carrière à Mercedes
et à son emblèmatique patron Alfred Neubauer. On le
voit ici à Pescara, en 1938 au volant de la Mercedes W154 .
Comme ce fut le cas pour Nuvolari, le conflit mondial in-
terrompit la trajectoire de celui qu’ on avait surnommé
" Regenmeister " le maître de la pluie ...
http://www.pilotesdelegende.net/caracciola.html

A l'arrivée du Grand Prix d'Allemagne sur l'impitoyable
circuit du Nürburgring, Jackie Stewart alla voir Ken Tyrrell
et lui déclara : " François aurait pû me doubler n'importe
où, il était plus rapide que moi ". Bel aveu de la part du pi-
lote écossais, qui démontre le niveau de compétitivité
atteint par François Cevert durant cette saison 1973 au
cours de laquelle il se classera six fois second au volant
de sa Tyrrell 006. Stewart ayant programmé sa retraite,
Cevert devenait naturellement le leader du team Tyrrell
pour 1974. Hélàs, la belle aventure du pilote français pren-
dra fin le 6 octobre 1973 sur le circuit de Watkins Glen, là
même où il avait triomphé deux ans plus tôt ... ...
http://www.pilotesdelegende.net/cevert.html

En 1965, Jim Clark remporta six des neuf Grand Prix auquels
il participa, au volant de sa Lotus 33. Faisant l'impasse sur le
GP de Monaco, il s'aligna au 500 Miles d'Indianapolis qu'il rem-
porta sur sa Lotus 38, devenant le premier européen à s'im-
poser depuis la victoire de René Thomas en 1914. Clark gagna
également cette année-là cinq courses de F2 sur sa Lotus 35
et pilota aussi avec succès sa Ford Cortina Lotus dans les
courses de saloon car
http://www.pilotesdelegende.net/clark65.htm

Peter Collins le flamboyant ! En 1956, il disputa sa première
saison complète en formule 1 au sein de l’ écurie Ferrari,
et triompha à Spa et ici sur le circuit de Reims. Lorsqu’ il cé-
da sa voiture à son équipier Fangio, au Grand Prix d’ Italie à
Monza, permettant ainsi au pilote argentin de devenir cham-
pion du monde, Collins déclara qu’ il avait tout le temps de-
vant lui ... Il termina cette année là, à la 3ème place du cham-
pionnat à 5 points de Fangio ! 1957 fut une mauvaise année
pour Ferrari, et en 1958, Collins se battit de nouveau aux a-
vant-postes et remporta le GP d’ Angleterre à Silverstone.
Lors de la course suivante, sur le circuit du Nürburgring, il
se battait pour la victoire lorsque sa voiture quitta la piste.
Peter Colins avait 27 ans ...
http://www.pilotesdelegende.net/collins.html

Fils d'une famille aisée, pianiste de talent, Elio de Angelis
débuta en compétition par le karting. Champion d'Italie
puis deuxième au championnat du monde, il débute en F3
en 1977 et décroche le titre national. Une année de F2 sans
grand succès en 1978, mais une victoire au GP de Monaco
F3, même acquise sans la manière, ouvre au romain les
portes de la F1 l'année suivante. Des débuts convaincants
chez Shadow lui permettent d'être engagé chez Lotus en
1980. Il y restera six années, remportant deux victoires
dont celle-ci en 1982, à la suite d'un final haletant avec Keke
Rosberg. Elio était un pilote très fin et très rapide, son
équipier d'alors, Mansell s'en souvient. Il se classera à la
troisième place du championnat du monde en 1984. En 1985,
la cohabitation avec Senna, doublée d'un sentiment d'injus-
tice à son égard, le pousseront à rejoindre l'écurie Brabham
l'année suivante. Très novatrice, la nouvelle BT55 est un
échec. En menant des tests au mois de mai sur le circuit
Paul Ricard, victime d'une rupture de l'aileron arrière, sa
voiture quittera la piste dans les très rapides Esses de la
Verrerie. Elio de Angelis ne survivra pas à ses blessures.
http://www.pilotesdelegende.net/angelis.html

Rien ne fut facile pour Patrick Depailler. Le clermontois
passa de nombreuses années dans l'antichambre de la
Formule1 avant d'avoir la chance d'y accéder et d'y dé-
montrer son talent. L'ancien motard ( encore un ! ) n'eut
jamais à rougir de la comparaison avec des équipiers
comme Scheckter et Peterson. Il signa sa première vic-
toire ici à Monaco en 1978 au volant de sa Tyrrell 008. La
saison 1979 s'annonçait triomphante pour Depailler au
sein de sa nouvelle écurie, les Ligier J.S11 semblant, en
début de saison, dominatrices. Après les deux victoires
de son équipier Laffite, Patrick s'imposa en Espagne.
Hélas, à la veille du GP de France, il se brisa les deux jam-
bes dans un accident de deltaplane ... Il fît son retour en
1980 au volant d'une Alfa-Roméo qu'il ne cessa de faire
progresser jusqu'à son accident mortel sur le circuit
d'Hockenheim. Pilote brillant, Patrick Depailler a aussi lais-
sé le souvenir d'un homme honnête et réservé.
http://www.pilotesdelegende.net/depailler.html

Mark Donohue fit partie de cette poignée de pilotes américains ca-
pables de rivaliser avec les meilleurs pilotes européens. En 1971 il
termine 3ème de son 1er GP disputé sous une pluie diluvienne sur
le circuit de Mosport. Cette même année il est le seul à s'opposer
aux redoutables Porsche 917 dans le championnat du monde des
marques, au volant de sa Ferrari 512M du team Sunoco. En 1972, il
s'impose aux 500 miles d'indianapolis au volant de cette McLaren M
16C. En 1973, il dominera le championnat CanAm au volant de sa
Porsche 917/30. Pilote brillant et ingénieur de formation, c' est alors
qu' il s' engageait sérieusement en F1, toujours sous la houlette de
Roger Penske, qu' il fut victime d' un accident lors des essais du GP
d' Autriche. Mark décéda quelques jours plus tard ..
http://www.pilotesdelegende.net/donohue.html

Dale Earnhardt débute en Nascar en 1979. Sacré "Rookie of the
year", il s'impose dès l'année suivante en remportant sa pre-
mière Winston Cup. "The Intimidator" rajoutera entre 1986 et
1994, six autres couronnes à son palmares, lui permettant d'é-
galer "The King" Richard Petty, légende incontestée de la disci-
pline. En 1998, il s'impose enfin dans le Daytona 500 au volant
de sa Chevrolet Monte Carlo. Vainqueur de 76 courses, Il rem-
porte sa dernière victoire en octobre 2000 sur le circuit de
Talladega. Dale Earnhardt trouvera la mort en février 2001 dans
le dernier tour des 500 miles de Daytona.
http://www.pilotesdelegende.net/earnhardt.html

Vic Elford fait partie de ces pilotes qui furent capables de s' illustrer
avec bonheur dans toutes les disciplines du sport automobile. En Jan-
vier 1968, il remporta au volant d'une Porsche 911 le rallye de Monte-
Carlo. Quinze jours plus tard, Elford s'imposait aux 24 heures de Dayto-
na, puis au mois de Mai, la célèbre Targa Florio s' ajoutait à son tableau
de chasse ! En Juillet, il fit ses débuts en F1 sur le circuit de Rouen-les-
Essarts et termina 4ème au volant de sa Cooper-BRM ...Vic Elford fut un
des rois du mythique circuit du Nürburgring , où il se montra aussi à
l' aise au volant d'un sport prototype qu' à celui d' une formule 1. Asso-
cié à Gérard Larrousse, il signa au volant de cette porsche 917, une de
ses dernières grandes victoires internationales, lors des 12 heures de
Sebring. Elford, un remarquable pilote d' endurance doublé d' un redou-
table sprinter ! ...
http://www.pilotesdelegende.net/elford.html

Qui ne connaît pas Fangio ? Ce nom propre est devenu un
nom commun. Cinq titres de champion du monde, tous
obtenus aprés 40 ans et sur quatre marques différentes,
Alfa-Roméo en 1951, Mercedes en 1954 et 1955, Ferrari en
1956 et Maserati en 1957. Juan Manuel Fangio remporta 24
victoires sur les 51 GP qu'il disputa. Il mit fin à sa carrière
en 1958.
http://www.pilotesdelegende.net/fangio.html

Giuseppe Farina ( de la famille Pininfarina ) fut sacré champion
d’ italie en 1938 et 1939, juste avant que la guerre éclate. La paix
revenue, il mit à profit son expérience et devint un adversaire re-
doutable. Lorsque le 1er championnat du monde est créé en 1950,
" Nino " Farina devient le fer de lance de la redoutable écurie Alfa-
Roméo. Il remporte cette année­ là, au volant de la type 158, trois
courses sur six, et devient ainsi le premier champion du monde
de l’ histoire. Il trouva la mort dans un accident de la route en 1966.
http://www.pilotesdelegende.net/farina.html

Voilà un des plus beaux palmarès du sport automobile !
Triple vainqueur des 12 heures de Sebring, de la Targa
Florio et du tour de France Auto, double vainqueur des 12
heures de Reims, il s'imposa également aux 1000 km du
Nürburgring, autant de courses mythiques que Olivier
Gendebien ajouta à un palmarès déjà bien garni. Mais le
pilote belge restera celui qui fit triompher Ferrari aux 24
heures du Mans, à quatre reprises, entre 1958 et 1962 ! Ici
il s'impose au volant de cette Ferrari 250TR associé à Phil
Hill au terme d' une course disputée dans des conditions
climatiques épouvantables. Gendebien s'illustra égale-
ment en F1, terminant 6ème du championnat du monde en
1960. L'année suivante il aura eu la joie de mener son GP
national au volant de sa Ferrari jaune devant la meute des
Ferrari officielles ...
http://www.pilotesdelegende.net/gendebien.html

Richie Ginther restera un des meilleurs pilotes
américains vus en GP. Sur 52 courses, le pilote
natif d' Hollywood montera 14 fois sur le podium.
Vice-champion du monde en 1963 au volant d'une
BRM, il restera l'homme qui a donné à Honda sa
première victoire en F1, au GP du Mexique 1965.
http://www.pilotesdelegende.net/ginther.html

En 1967 Daniel Sexton Gurney imposa son Eagle Weslake sur
le circuit de Spa, la première victoire d'un pilote américain au
volant d'une F1 cent pour cent américaine en Grand Prix. Un
succès qui intervenait quelques jours après sa victoire au 24
heures du Mans au volant d'une autre américaine, la Ford MK.IV.
Gurney fut aussi celui qui apporta à Porsche son premier et
unique succès en F1 sur le circuit de Rouen les Essarts en 1962.
Il offrit également à l'écurie Brabham sa première victoire, sur
ce même circuit en 1964. Le grand Dan s'illustra avec un égal
succès dans toutes les disciplines du sport automobile, aussi
bien américaines qu'européennes.
http://www.pilotesdelegende.net/gurney.html

Neuf titres de champion du monde entre 1961 et 1967 au gui-
don de MV Agusta, et surtout de Honda et de sa fameuse six
cylindres. C'est aussi 14 victoires dans la course la plus dif-
ficile qui soit, le célèbre Tourist Trophy disputé sur l'île de
Man. Après une belle reconversion sur quatre roues ponc-
tuée par un titre de champion d'Europe de F2 en 1972, hélas
interrompue en 1974 par un grave accident sur le circuit du
Nürburgring, il effectue un impressionnant " come back " au
TT en 1978 , remportant la catégorie reine sur une Ducati !
Ses dons n'avaient d'égal que sa modestie et son sens de
l'humour. Oui, Mike Hailwood mérite une place en or au pan-
théon des pilotes de légende !
http://www.pilotesdelegende.net/hailwood.html

A dix ans, Mika Häkkinen remporte son premier championnat de
Karting. Titré plusieurs fois dans cette discipline, il enchaîne les
titres dans les formules de promotion. Après sa nette victoire au
championnat britanique de F3, Häkkinen rejoint l'écurie Lotus en
F1. Deux saison qui lui permettront de s'attirer les faveurs de Ron
Dennis qui en fait le troisième pilote McLaren en 1993. Il devient
titulaire en fin de saison après l'éviction de Michael Andretti.
Pour son premier GP, Hakkinen se fait remarquer en battant son
équipier Senna aux essais. La fiabilité des McLaren ne lui permet
pas d'espérer autre chose que des places d'honneur, il signe sa
première victoire en 1997. Cette fois, ça y est, les conditions sont
réunies et en 1998 le finlandais remporte le titre devant Michael
Schumacher. Il récidive en 1999 et est vice-champion en 2000. Il
se retire à la fin de la saison suivante avec 20 victoires en GP.
Il participe de 2005 à 2007 au championnat allemand DTM. A 39 ans,
Mika Häkkinen raccroche définitivement son casque.
http://www.pilotesdelegende.net/hakkinen.html

Champion GP2 en 2006, Lewis Hamilton est annoncé comme
la future grande Star de la F1. Il fait ses débuts en 2007 dans
l'écurie de son mentor Ron dennis, aux côtés de Fernando
Alonso. Hamilton manque de peu le titre pour sa première
saison. En 2008, le pilote anglais devient au volant de sa
McLaren et à l'issue d'un final à suspense, le plus jeune
champion du monde de l'histoire de la F1.
http://www.pilotesdelegende.net/hamilton.html

Mike Hawthorn, le pilote au noeud papillon ! Tout une époque ...
Tout commença en 1952, quand au volant de sa Cooper de for-
mule 2, il battit Fangio, ce qui lui valut d’ être remarqué par Fer-
rari, avec qui il débuta l' année suivante, remportant le GP de
France à Reims. Il gagna encore l’ année suivante en Espagne.
En 1958, sa régularité lui permit de battre son compatriote Stir-
ling Moss avec une victoire seulement, ici à Reims, qui lui per-
mit de devenir le premier britannique sacré champion du mon-
de des conducteurs. Trés affecté par la mort de son ami Peter
Collins, il se retira de la compétition. Il trouvera la mort dans
un accident de la route l' année suivante ...
http://www.pilotesdelegende.net/hawthorn.html

Damon Hill débute en compétition en Angleterre par les
courses de moto, y remportant de nombreux succès. Puis
ce sera la formule Ford et la F3 où il se fera remarquer avant
d'être choisi en 1991 par l'écurie Williams pour devenir leur
pilote essayeur. En 1992, il continue son travail de l'ombre
chez Williams tout en faisant ses débuts en F1 dans une écu-
rie Brabham moribonde. Très apprécié pour ses qualités de
metteur au point, Williams le titularise aux côtés de Prost
en 1993. Hill ne déçoit pas, remportant notamment trois vic-
toires consécutives cette même saison. Devenu leader de
l'écurie en 1994 après la mort de Senna, il se battra jusqu'à
la dernière course pour le titre mondial, échouant à un point
de Schumacher. L'année suivante il termine encore second
derrière un Schumacher cette fois-ci intouchable. 1996 sera
son année. Il remporte huit victoires et devient, vingt-huit
ans après son père Graham, champion du monde à son tour.
Passé chez Arrows et Jordan, il remportera encore une
victoire, la première pour Jordan, à Spa en 1998. Il se retire
à la fin de la saison suivante à 39 ans. Hill continue à piloter
des F1, souvent les anciennes voitures de son père, et des
motos dans les réunions historiques. Il n'hésite pas non
plus à monter sur scène muni de sa guitare électrique pour
y assouvir son autre grande passion, la musique.
http://www.pilotesdelegende.net/dhill.html

Vocation tardive pour Graham Hill. A 24ans, cet ancien officier de
marine passionné d'aviron, ne possédait même pas son permis
de conduire. Un de ses amis lui propose un jour d'essayer une
F3. C'est le déclic, Graham deviendra pilote ! Il fait un jour la con-
naissance de Colin Chapman qui vient de créer Lotus et qui l'en-
gage comme mécanicien. De l'atelier à la piste, il n'y a pas loin . Le
mécanicien Hill montre des dons certains. Il quitte Chapman pour
courir en F2 chez Cooper. Devant ses bons résultats, Chapman lui
offre un contrat dans la nouvelle écurie Lotus de F1. Hill disputera
les saisons 58 et 59 puis devant l'absence de résultats mais fort
de son expérience, il part chez BRM où il commence à faire parler
de lui. En 1962, il signe quatre victoires et deux secondes places
sur neuf courses et devient champion du monde. Il sera vice-
champion les trois années suivantes. En 1967 il retrouve Lotus et
s'octroie un nouveau titre en 1968. En 1969, il remporte ici à Monaco
sa cinquième victoire dans la principauté. Ce sera la dernière vic-
toire en F1 pour ce pilote légendaire, vainqueur également des 500
miles d'Indianapolis en 1966 et des 24 heures du mans en 1972 en
compagnie d'Henri Pescarolo. Devenu constructeur, Graham Hill
trouve la mort Le 29 novembre 1975 dans le crash de son Piper
Aztec avec quatre membres de son équipe, parmi lesquels figu-
re le jeune espoir britannique Tony Brise. Vingt ans plus tard, son
fils Damon portera haut les célèbres couleurs du London Rowing
Club chères à son père.
http://www.pilotesdelegende.net/ghill.html

Phil Hill, ( aucun lien avec Graham ) courait déjà sur des Ferrari
dans son pays natal. C’ est comme ça qu’ il fut remarqué par l’
importateur de la marque au cheval cabré. Il débarqua donc en
europe où il était plutôt considéré comme un pilote de voitures
de sport, mais sut démontrer ses qualités au volant d’ une Ma-
serati privée. Il débuta en Grand Prix chez Ferrari et s’ imposa à
Monza en 1960. L' année suivante, il remportera au volant de cet-
te Ferrari " sharknose " une bien amère victoire sur ce même
circuit, son coéquipier et adversaire pour le titre de champion
du monde, Wolfgang von trips trouvant la mort au cours de l' é-
preuve. Phil Hill signa également trois victoires d' affilée aux 24
heures du Mans, associé à Olvier Gendebien.
http://www.pilotesdelegende.net/hillp.html

Comme Bruce McLaren deux années plus tôt, le jeune
Denny hulme est envoyé par son pays en Europe dans le
cadre du programme "New Zealand Driver to Europe" .
Nous sommes en 1960. Denny y fera vite la connaissance
de Jack Brabham avec lequel il formera bientôt un tandem
redoutable en F2. C'est tout naturellement dans cette écu-
rie qu'il débute en F1 en 1965. Hulme fait ses classes. On-
zième cette année-là, quatrième en 1966, il remporte le
titre en 1967 avec deux victoires, battant son illustre chef
de file. En 1968, il rejoint son compatriote Bruce. Il restera
fidèle à l'écurie McLaren jusqu'à la fin de sa carrière, rem-
portant encore six Grand-Prix. Hulme fut aussi l'homme
des courses CanAm avec 22 victoires, deux titres et qua-
tre places de vice-champion obtenus entre 1967 et 1972
au volant des puissantes McLaren Chevrolet. Le 4 octobre
1992 sur le circuit de Bathurst, une BMW M3 arrête sa cour-
se folle le long du rail de sécurité. A son volant, Denny
"The Bear" vient de mourir. Il avait cinquante six ans.
http://www.pilotesdelegende.net/hulme.html

Un personnage à part ! Trop grand pour conduire les bus de
Londres, il se consolera au volant d’ une F1 ! Ce fils d'agent de
change a tout sacrifié pour en arriver là. Il écuma les formules
de promotion et y glana le sobriquet de "Hunt the Shunt" ( Hunt
le choc ! ) Sa rencontre avec un Lord fortuné de 22 ans, sera un
tournant décisif pour sa carrière. En F2 d’ abord, puis en F1 en
1973 où Hunt, sur la March blanche de l’ écurie de Lord Hesketh
montera deux fois sur le podium. En 1975 James Hunt rempor-
tera brillamment le Grand Prix de Hollande sur une Hesketh.
L'année suivante, James Hunt se verra proposer la place de Fit-
tipaldi chez McLaren. Il se battra toute la saison contre la Fer-
rari de Niki Lauda. L ’ accident de l’ autrichien ouvrira à Hunt
les portes du titre. Il gagnera encore quelques courses, mais la
motivation n’ y était plus, et il se retirera au début de la saison
1980. Hunt " le fantasque " celui qui n’ hésitait pas à recevoir un
prix en smoking et... baskets, fut retrouvé mort chez lui en 1993.
http://www.pilotesdelegende.net/hunt.html

Difficile de résumer en quelques lignes la carrière
exceptionelle de ce pilote !
Champion de Belgique de trial en 1963 et 1965.
Champion d'Europe de Formule 2 en 1967.
Vice-champion du monde de F1 en 1969 et 1970.
Huit victoires en Grand Prix et treize poles-positions.
Vainqueur des 24 heures du Mans en 1969, 1975, 1976,
1977,1981 et 1982.
Champion du monde d'endurance en 1982 et 1983
Champion CanAm 1979
Vainqueur du rallye Paris Dakar en 1983
http://www.pilotesdelegende.net/ickx.html