F1 - Schumacher : Au départ, ce n’était qu’un simple plaisir...
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F1 - Schumacher : Au départ, ce n’était qu’un simple plaisir...
F1 - Schumacher : Au départ, ce n’était qu’un simple plaisir...
26 décembre 2014 - 12h38, par Olivier Ferret
Les parents Schumacher ne roulent pas sur l’or. La qualité du matériel devient une question épineuse. Techniquement, les karts de Schumacher ont du mal à rivaliser. Il faut souvent récupérer de vieilles pièces, que son père remonte sur le véhicule, ou des pneus qu’un concurrent a jetés après les avoir usés.
La situation devient encore plus critique le jour où il faut débourser plus de 400 euros pour acquérir un nouveau moteur. La carrière en kart de la future superstar de Formule 1 est à nouveau en suspens. Rolf déclare forfait. « Je suis désolé, mon grand, c’est beaucoup trop cher. Je ne peux pas te l’acheter. »
Mais l’aventure continuera. Michael peut en effet compter sur ses premiers soutiens, des personnes aux moyens plus aisés que ses parents. Elles ont su reconnaître le talent du pilote en herbe. Il y a, pour commencer, Gerd Noack, un ami de son père, qui s’est assuré une bonne situation avec un magasin de tapisserie et de tapis. Il y a également Jürgen Dilk, qui a gagné beaucoup d’argent en tenant un stand de machines à sous. Passionné de sport automobile, Dilk continuera de suivre Schumacher plusieurs années, dirigeant notamment son fan club officiel.
En 1984, Michael devient champion du monde juniors pour la première fois. Il n’envisage pas encore de faire carrière en sport automobile. « Au départ, ce n’était qu’un simple plaisir, un hobby. Rien de plus. Quand on est jeune, on touche un peu à tout. J’ai touché au football, au tennis. »
http://www.nextgen-auto.com/Schumacher-Au-depart-ce-n-etait-qu-un-simple-plaisir,85384.html
Quand Michael ne se voyait pas faire carrière en sport auto
26 décembre 2014 - 12h38, par Olivier Ferret
Les parents Schumacher ne roulent pas sur l’or. La qualité du matériel devient une question épineuse. Techniquement, les karts de Schumacher ont du mal à rivaliser. Il faut souvent récupérer de vieilles pièces, que son père remonte sur le véhicule, ou des pneus qu’un concurrent a jetés après les avoir usés.
La situation devient encore plus critique le jour où il faut débourser plus de 400 euros pour acquérir un nouveau moteur. La carrière en kart de la future superstar de Formule 1 est à nouveau en suspens. Rolf déclare forfait. « Je suis désolé, mon grand, c’est beaucoup trop cher. Je ne peux pas te l’acheter. »
Mais l’aventure continuera. Michael peut en effet compter sur ses premiers soutiens, des personnes aux moyens plus aisés que ses parents. Elles ont su reconnaître le talent du pilote en herbe. Il y a, pour commencer, Gerd Noack, un ami de son père, qui s’est assuré une bonne situation avec un magasin de tapisserie et de tapis. Il y a également Jürgen Dilk, qui a gagné beaucoup d’argent en tenant un stand de machines à sous. Passionné de sport automobile, Dilk continuera de suivre Schumacher plusieurs années, dirigeant notamment son fan club officiel.
En 1984, Michael devient champion du monde juniors pour la première fois. Il n’envisage pas encore de faire carrière en sport automobile. « Au départ, ce n’était qu’un simple plaisir, un hobby. Rien de plus. Quand on est jeune, on touche un peu à tout. J’ai touché au football, au tennis. »
http://www.nextgen-auto.com/Schumacher-Au-depart-ce-n-etait-qu-un-simple-plaisir,85384.html
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