Renault : "Nous n'avons pas le couteau sous la gorge"
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Renault : "Nous n'avons pas le couteau sous la gorge"
Renault : "Nous n'avons pas le couteau sous la gorge"
Par Grégory Demoen le 15 janvier 2015 à 15:39
Renault admet être partagé sur la stratégie à adopter suite à la décision de l'autorité sportive de la Formule 1, la FIA, de lever le gel du développement des groupes propulseurs en cours de saison pour 2015.
Deux choix s’offrent au motoriste français : débuter d’emblée la saison avec la version 2015 de son V6 turbo ou attendre le Grand Prix d’Espagne pour l’introduire en piste afin de gagner deux mois de développement.
"Nous n’avons pas le couteau sous la gorge pour présenter notre version 2015 du moteur", déclare le directeur général adjoint (technique) de Renault Sport F1, Rob White, à L’Equipe.
"Le règlement nous permet d’apporter un certain nombre de nouveaux composants plus tard. Nous pourrions tester jusqu’à l’apparition du deuxième bloc, par exemple."
"Mais il n’est pas évident qu’il nous faille retarder l’introduction de notre nouveau bloc en termes de compétitivité, poursuit l’Anglais. Peut-être vaut-il mieux entamer la saison avec du nouveau pour ne pas prendre trop de retard sur la concurrence. C’est souvent en début d’année que se gagne le titre…"
White rappelle par ailleurs que Mercedes, ultra-dominateur l’an passé avec son PU106A, dispose des mêmes libertés que Renault pour 2015.
"Ils ont les mêmes avantages que nous, souligne-t-il. C’est notre travail plus que cette ouverture calendaire qui nous permettra de revenir sur Mercedes. Mais cela nous aidera à revenir plus vite !"
http://www.f1i.com/infos/renault-nous-navons-pas-le-couteau-sous-la-gorge/
Par Grégory Demoen le 15 janvier 2015 à 15:39
Renault admet être partagé sur la stratégie à adopter suite à la décision de l'autorité sportive de la Formule 1, la FIA, de lever le gel du développement des groupes propulseurs en cours de saison pour 2015.
Deux choix s’offrent au motoriste français : débuter d’emblée la saison avec la version 2015 de son V6 turbo ou attendre le Grand Prix d’Espagne pour l’introduire en piste afin de gagner deux mois de développement.
"Nous n’avons pas le couteau sous la gorge pour présenter notre version 2015 du moteur", déclare le directeur général adjoint (technique) de Renault Sport F1, Rob White, à L’Equipe.
"Le règlement nous permet d’apporter un certain nombre de nouveaux composants plus tard. Nous pourrions tester jusqu’à l’apparition du deuxième bloc, par exemple."
- L'intégration des moteurs de F1 en images : Mercedes
"Mais il n’est pas évident qu’il nous faille retarder l’introduction de notre nouveau bloc en termes de compétitivité, poursuit l’Anglais. Peut-être vaut-il mieux entamer la saison avec du nouveau pour ne pas prendre trop de retard sur la concurrence. C’est souvent en début d’année que se gagne le titre…"
White rappelle par ailleurs que Mercedes, ultra-dominateur l’an passé avec son PU106A, dispose des mêmes libertés que Renault pour 2015.
"Ils ont les mêmes avantages que nous, souligne-t-il. C’est notre travail plus que cette ouverture calendaire qui nous permettra de revenir sur Mercedes. Mais cela nous aidera à revenir plus vite !"
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