Grand Prix d'Italie toute la chronique avant la course (1 Vettel 2 Alonso 3 Webber)

Circuit de Monza RSS


Monza, Italie

  Circuit : Race
  Longueur 5.793kms
  Nombre de virages 11
  Circulation horaire
  Capacité 115,000
  Achevé en 1922

Records et statistiques
3 septembre 1950 Circuit de Monza | Longueur : 6.300 km

Saison 1950
Pts n° Pilote Châssis Moteur Pneus Tours Temps Écart Qualifications Meilleur tour
1 8 10 Nino Farina (ITA) Alfa Romeo 159 Alfa Romeo 159 Pirelli 80 2:51'17.4   3 2'00.2    
2 3
3 48 Dorino Serafini (ITA)
Alberto Ascari (ITA) Ferrari 375 Ferrari 375 80 (47)
(33) 2:52'36.0 +1'18.6 6
 2'05.2
3 4 36 Luigi Fagioli (ITA) Alfa Romeo 158 Alfa Romeo 158 Pirelli 80 2:52'53.0 +1'35.6 5 2'04.0    
4 3 58 Louis Rosier (FRA) Talbot-Lago T26C Talbot 23CV 75 2:52'33.2 +5 tours 13 2'13.4 15 2'13.1 (61)
5 2 24 Philippe Etancelin (FRA) Talbot-Lago T26C Talbot 23CV 75 2:53'00.0 +5 tours 16 2'14.4 16 2'13.3 (65)
6   38 Toulo de Graffenried (SUI) Maserati 4CLT-48 Maserati 4CL 72 2:51'53.2 +8 tours 17 2'14.4    
7   8 Peter Whitehead (GBR) Ferrari 125 Ferrari 125 72 2:53'02.8 +8 tours 18 2'16.2    
Abandon(s)
boîte de vitesses 50 David Murray (GBR) Maserati 4CL Maserati 4CL 56     24 2'22.0    
radiateur 32 Cuth Harrison (GBR) ERA B ERA 51     21 2'18.4    
boîte de vitesses 12 Raymond Sommer (FRA) Talbot-Lago T26C Talbot 23CV 48     8 2'08.6 11 2'10.2 (37)
conduit d'huile 40 Guy Mairesse (FRA) Talbot-Lago T26C Talbot 23CV 42     11 2'13.2 25 2'22.0 (37)
--   4 Franco Rol (ITA) Maserati 4CLT-48 Maserati 4CL 39     9 2'10.0    
moteur 60 Piero Taruffi (ITA)
Juan Manuel Fangio (ARG) Alfa Romeo 158 Alfa Romeo 158 Pirelli 34 (25)
(9)     7
 2'05.8

boîte de vitesses 56 Pierre Levegh (FRA) Talbot-Lago T26C Talbot 23CV 29     20 2'17.2 21 2'15.3 (7)
boîte de vitesses 1 18 Juan Manuel Fangio (ARG) Alfa Romeo 159 Alfa Romeo 159 Pirelli 23     1 1'58.6 1 2'00.0 (7)
surchauffe 2 Johnny Claes (BEL) Talbot-Lago T26C Talbot 23CV 22     22 2'18.6 23 2'19.0 (20)
moteur 16 Alberto Ascari (ITA) Ferrari 375 Ferrari 375 21     2 1'58.8    
moteur 22 Clemente Biondetti (ITA) Ferrari 166T Jaguar XK 17     25 2'30.6    
freins 64 Henri Louveau (FRA) Talbot-Lago T26C-GS Talbot 23CV 16     14 2'13.8 20 2'15.0 (5)
--   62 Franco Comotti (ITA) Maserati 4CLT-50 Milano 15     26 2'33.6    
conduite d'eau 42 Maurice Trintignant (FRA) Simca-Gordini T15 Simca-Gordini 15C 13     12 2'13.4 11 2'10.2
pression d'huile 6 Louis Chiron (MON) Maserati 4CLT-48 Maserati 4CL 13     19 2'17.2    
moteur 46 Consalvo Sanesi (ITA) Alfa Romeo 158 Alfa Romeo 158 Pirelli 11     4 2'00.4    
transmission 44 Robert Manzon (FRA) Simca-Gordini T15 Simca-Gordini 15C 7     10 2'12.4    
moteur 30 Prince Bira (THA) Maserati 4CLT-50 Maserati 4CL 1 2'22.0   15 2'14.0 25 2'22.0 (1)
moteur 28 Paul Pietsch (GER) Maserati 4CLT-48 Maserati 4CL 0     27 -    
Pas démarré
--   52 Felice Bonetto (ITA) Milano Milano       23 2'19.8  


Grand Prix d'Italie 2012

7-9 septembre 2012 Circuit de Monza | Tours : 53 | Longueur : 5.793 km | Distance de la course : 307.029 km

Direct | Compte rendu | News (74) | Photos (102) | Galeries (3) | Championnat | Saison 2012
Pts n° Pilote Châssis Moteur Pneus Tours Temps Écart Qualifications Meilleur tour
1 25 4 Lewis Hamilton (GBR) McLaren MP4-27 Mercedes FO108Z Pirelli 53 1:19'41.221   1 1'24.010    
2 18 15 Sergio Pérez (MEX) Sauber C31 Ferrari 056 Pirelli 53 1:19'45.577 +4.356 12 1'24.901    
3 15 5 Fernando Alonso (ESP) Ferrari F2012 Ferrari 056 Pirelli 53 1:20'01.815 +20.594 10 1'25.678    
4 12 6 Felipe Massa (BRA) Ferrari F2012 Ferrari 056 Pirelli 53 1:20'10.888 +29.667 3 1'24.247    
5 10 9 Kimi Räikkönen (FIN) Lotus E20 Renault RS27-2012 Pirelli 53 1:20'12.102 +30.881 7 1'24.855    
6 8 7 Michael Schumacher (GER) Mercedes WO3 Mercedes FO108Z Pirelli 53 1:20'12.480 +31.259 4 1'24.540    
7 6 8 Nico Rosberg (GER) Mercedes WO3 Mercedes FO108Z Pirelli 53 1:20'14.771 +33.550 6 1'24.833 1 1'27.239 (53)
8 4 11 Paul di Resta (GBR) Force India VJM05 Mercedes FO108Z Pirelli 53 1:20'22.278 +41.057 9 1'24.304    
9 2 14 Kamui Kobayashi (JPN) Sauber C31 Ferrari 056 Pirelli 53 1:20'25.119 +43.898 8 1'25.109    
10 1 19 Bruno Senna (BRA) Williams FW34 Renault RS27-2012 Pirelli 53 1:20'29.365 +48.144 13 1'25.042    
11   18 Pastor Maldonado (VEN) Williams FW34 Renault RS27-2012 Pirelli 53 1:20'29.903 +48.682 22 1'24.820    
12   16 Daniel Ricciardo (AUS) Toro Rosso STR7 Ferrari 056 Pirelli 53 1:20'31.537 +50.316 14 1'25.312    
13   10 Jérôme d'Ambrosio (BEL) Lotus E20 Renault RS27-2012 Pirelli 53 1:20'57.082 +1'15.861 15 1'25.408    
14   20 Heikki Kovalainen (FIN) Caterham CT01 Renault RS27-2012 Pirelli 52   +1 tour 17 1'26.382    
15   21 Vitaly Petrov (RUS) Caterham CT01 Renault RS27-2012 Pirelli 52   +1 tour 18 1'26.887    
16   25 Charles Pic (FRA) Marussia MR01 Cosworth CA2012 Pirelli 52   +1 tour 20 1'27.073    
17   24 Timo Glock (GER) Marussia MR01 Cosworth CA2012 Pirelli 52   +1 tour 19 1'27.039    
18   22 Pedro de la Rosa (ESP) HRT F112 Cosworth CA2012 Pirelli 52   +1 tour 23 1'27.629    
19   23 Narain Karthikeyan (IND) HRT F112 Cosworth CA2012 Pirelli 52   +1 tour 21 1'27.441    
20   2 Mark Webber (AUS) Red Bull RB8 Renault RS27-2012 Pirelli 51   +2 tours 11 1'24.809    
21   12 Nico Hülkenberg (GER) Force India VJM05 Mercedes FO108Z Pirelli 50   +3 tours 24 -    
22   1 Sebastian Vettel (GER) Red Bull RB8 Renault RS27-2012 Pirelli 47   +6 tours 5 1'24.802    
Abandon(s)
la pompe à carburant 3 Jenson Button (GBR) McLaren MP4-27 Mercedes FO108Z Pirelli 32     2 1'24.133    
suspension 17 Jean-Éric Vergne (FRA) Toro Rosso STR7 Ferrari 056 Pirelli 8     16 1'25.441    
Essais libres
--   23 Qing Hua Ma (CHN) HRT F112 Cosworth CA2012 Pirelli              
--   125 Jules Bianchi (FRA) Force India VJM05 Mercedes FO108Z Pirelli              
--   127 Valtteri Bottas (FIN) Williams FW34 Renault RS27-2012 Pirelli  

Total des courses 65*
Prochaine course Grand Prix d'Italie 8 septembre 2013

http://fr.espnf1.com/f1/motorsport/circuit/1266.html

Pirelli, l'unique manufacturier de pneumatiques de la Formule 1, prévient les équipes que la dégradation et la durabilité des gommes sera un facteur essentiel pour réussir, à l'occasion du Grand Prix d'Italie, ce week-end à Monza.

"Monza est évidemment notre course à domicile", a déclaré le patron de Pirelli Motorsport, Paul Hembery. "Nous ne sommes qu'à 30 minutes de notre siège à Milan. On comprend tout de suite pourquoi ce circuit a été surnommé le Temple de la vitesse : c'est le plus rapide de toute l'année, avec des lignes droites, des virages rapides et beaucoup d'énergie dissipée par l'intermédiaire des pneumatiques."

Surchauffe et grainage

"Cela veut dire que la surchauffe et le grainage peuvent être des problèmes s'ils ne sont pas contrôlés. C'est pourquoi la gestion correcte des pneumatiques est très importante ; cela a un effet sur la course et sur la stratégie. C'est quelque chose que les équipes vont devoir prendre en compte lors des essais de vendredi. Elles vont devoir s'assurer non seulement de la performance des pneumatiques qui vont être testés ici, mais également de leur durabilité car il y a énormément de vibreurs qui sont pris à haute vitesse. Cela représente un aspect important de la course."

"Monza est l'une des courses les plus populaires de l'année, il y a beaucoup de tifosi, et nous sommes très pressés de nous y retrouver." Pour le sec, gommes dures et mediums seront proposées aux équipes lors de cette 12e manche du championnat 2013.
© ESPN Sports Media Ltd.
http://fr.espnf1.com/italy/motorsport/story/123005.html

Le directeur des opérations piste de Lotus Alan Permane prépare l'E21 pour l'adapter aux caractéristiques de Monza, prochaine course, le week-end prochain.

Monza et la Lotus E21 : "Il n'y a certainement rien qui puisse nous causer de grande inquiétude. La voiture doit être efficace aérodynamiquement - et elle l'est - et le moteur doit être puissant, ce que Renault nous fournit. La voiture doit aussi se montrer agile dans les changements de direction pour les interruptions des lignes droites. Certaines difficultés de Monza se sont adoucies avec le temps. Par exemple les vibreurs qui ne sont plus aussi agressifs qu'auparavant. Il est toujours nécessaire d'avoir une suspension suffisamment souple pour les passages sur les vibreurs, mais ce n'est plus aussi crucial qu'avant."

Évolutions : "Nous pourrions voir apparaitre une configuration avec un empattement plus long à Monza. Monza est précisément le genre de circuit où il n'offrirait pas de réel avantage parce que l'aileron arrière est en configuration appui faible/trainée minimum. La différence que pourrait faire le 'système' à différentes vitesses ne serait pas très grande. Pour la même raison, l'impact du DRS ici n'est pas important."

Le circuit : "C'est un circuit où les équipes et les pilotes ont plaisir à venir. Chacun peut en voir le caractère et les difficultés. Concernant la voiture, Monza exige une approche unique, visant une trainée minimale pour bien profiter des longues lignes droites. Cela implique que nous ayons des ailerons arrière spécifiques tout en utilisant les ailerons avant dans une configuration complémentaire. En plus de ce que vous pouvez voir extérieurement sur la voiture, il y a aussi la difficulté de trouver la bonne démultiplication pour tirer le maximum de l'essence unique de ce circuit."

"Même si les longues lignes droites peuvent tendre à créer une aspiration, dépasser à Monza n'est pas si facile, d'autant moins avec un DRS à effet réduit. Alors les pilotes doivent se battre pour saisir la première opportunité."

La météo : "Pour l'équipe, le but est de construire une voiture qui marche bien par tous les temps, mais ce n'est pas un secret que nous préférerions des conditions chaudes et sèches."

Bilan à Spa : "Le week-end a été frustrant et nous n'étions simplement pas assez rapides en qualifications et en course. Aucune des deux voitures n'était en bonne position à la fin du premier tour et nous étions engagés dans une bataille compliquée pour les faire remonter. Pour Romain, nous avons basculé sur une stratégie à un seul arrêt qui demandait une bonne gestion des pneus. C'était la meilleure possibilité d'essayer de gagner du terrain, mais la voiture n'était pas assez performante. Kimi faisait une course comme à son habitude, avec de beaux dépassements, avant de devoir abandonner."

L'abandon de Räikkönen : "Les freins chauffaient beaucoup mais tout indiquait qu'ils tiendraient suffisamment longtemps pour amener Kimi à la fin de la course, une fois que nous avons maitrisé le problème. Nous n'avions pas réalisé de prime abord qu'un tear-off de visière s'était logé dans une durit de refroidissement de frein, dans sa roue avant gauche. Cela a impliqué que le disque n'a jamais pu refroidir suffisamment et cela s'est terminé par une rupture d'un composant. Cela a été un coup dur pour notre championnat et celui de Kimi, mais nous allons continuer à nous battre."
© ESPN Sports Media Ltd.
http://fr.espnf1.com/lotusf1/motorsport/story/122819.html

Le dernier Grand Prix européen de la saison se dispute ce week-end à Monza. Le circuit italien comporte peu de virages (11) et de longues lignes droites, très rapides donc très éprouvantes pour les moteurs. Rémi Taffin, directeur des opérations piste chez Renault Sport F1, nous détaille les particularités de l'Autodromo.

"Monza représente le test ultime pour les performances et la fiabilité d'un moteur. Plus des trois quarts du tour sont passés à pleine charge et la vitesse dépasse les 320 km/h à quatre reprises", confie-t-il. "Le RS27 sera utilisé à plein régime pendant près de 20 secondes sur deux sections du circuit. Il n'y a que les appuis générés par les ailerons qui empêchent la monoplace de décoller."

Moteur mis à contribution mais faible consommation

"Les F1 évolueront également à leur plus haute vitesse moyenne de l'année, à près de 240 km/h. Les trois chicanes cassent le rythme du circuit et les pilotes essaient de tendre au maximum leurs trajectoires. Lorsque les monoplaces sautent les vibreurs, les composants internes sont alors déchargés un court instant. Ces phases de gros freinages et d'accélérations soudaines placent chaque pièce sous d'énormes contraintes. C'est pourquoi nous préférons utiliser si possible des moteurs neufs."

"Bien que le V8 tourne à plein régime pendant 75% du tour, la consommation d'essence est une des plus basses de la saison et les voitures prennent donc le départ avec une masse de carburant relativement faible. Ce circuit est effectivement le plus économique de la saison, dans la mesure où le moteur fonctionne à niveau constant durant de longues plages de temps avec des appuis aérodynamiques réduits."
© ESPN Sports Media Ltd.
http://fr.espnf1.com/f1/motorsport/story/123217.html

Le soleil sera plus que jamais au rendez-vous pour le dernier Grand Prix européen de la saison, disputé dans le temple de la vitesse de Monza, près de Milan, en Italie.

Pas moins de 28°C de température ambiante sont attendus pour les deux journées de vendredi et de samedi. Des conditions estivales qui devraient mieux convenir à la E21 de l’écurie Lotus que la fraîcheur rencontrée lors du récent Grand Prix de Belgique à Spa-Francorchamps.

Les prévisions sont en revanche un peu plus incertaines pour le jour de course. Le mercure devrait grimper aux alentours des 25°C avec de possibles précipitations.
http://www.f1i.com/infos/meteo-estivale-pour-le-grand-prix-ditalie/

L’Autodromo Nazionale di Monza est l’un des circuits les plus chargés d’histoire encore inscrits au calendrier de la Formule 1. Fief des fervents Tifosis, cette piste italienne située au nord de Milan est restée la plus rapide du championnat malgré l’ajout progressif de trois chicanes dans les années 70. C’est sur ce tracé que le Champion du monde de Formule 1 à titre posthume, Jochen Rindt, perdit la vie, provoquant enfin une prise de responsabilités en matière de sécurité pour ce Grand Prix. L’Autrichien est pourtant loin d’être la seule victime : la folie de Monza aura coûté la vie à 52 pilotes et 35 spectateurs. La dernière tragédie est survenue en 2000 lorsqu’un commissaire fut tué par un débris projeté par un impressionnant accident survenu à hauteur de la première chicane (T1-T2).

Étant donné la forme particulière de cette Variante del Rettifilo (T1-T2), il n’est en effet pas rare d’y voir des pilotes tirer tout droit après le départ. Le risque d’accrochages est bien réel au premier tour, mais le rôle de cette chicane est cependant primordial, car la ligne droite de départ et d’arrivée permet aux monoplaces d’atteindre l’impressionnante vitesse de 346 km/h. Une remise à zéro s’impose donc pour éviter les sorties de piste à vive allure dans la Curva Biassono (T3).

Les pièges sont nombreux à Monza et il n’est pas difficile de se faire surprendre à pareille vitesse. La célèbre Parabolique (T11) qui constitue le dernier virage en est un exemple parlant. "L’accélération dans la Parabolica est une question d’équilibre, explique Sebastian Vettel, deux fois vainqueur en Italie. Si vous commettez la moindre erreur, vous vous retrouvez immédiatement dans les graviers avant même de vous en rendre compte."

Au-delà de l’adrénaline en piste, l’ambiance a quelque chose d’unique sur ce tracé lombard et Mark Webber la décrit à merveille : "Les Tifosis créent vraiment l’atmosphère du week-end car ce sont des gens passionnés par une certaine écurie rouge. Ils grimperont sur tout et n’importe quoi pour avoir une belle vue : ils s’assoient sur des arbres, sur des panneaux publicitaires ou même sur le vieux banking, situé dans la deuxième partie de Lesmo (T7, ndlr), où ils laissent pendre leurs pieds par-dessus la barrière. Dans l’ensemble, Monza est donc l'une des courses que je recommande au public."

http://www.f1i.com/f1i-features/grand-prix-ditalie-le-circuit-a-la-loupe/

La FIA a décidé de conserver deux zones de DRS pour le Grand Prix d’Italie, organisé ce week-end sur le circuit de Monza.

La première zone se situe entre les virages 7 et 8, et le point de détection a été placé juste avant le virage 7.

Tout pilote pourra utiliser une seconde fois son aileron arrière ajustable, s’il concède moins d’une seconde à son poursuivant, le long de la ligne droite de départ et d’arrivée. Le point de détection a été placé avant la Parabolica.
http://www.f1i.com/infos/deux-zones-de-drs-pour-monza/

Aucun circuit ne peut vraiment ressembler à Monza : l'Histoire, la passion, la vitesse, tout y est. Et cette année, le Grand Prix d'Italie pourrait jouer un rôle crucial dans la lutte que se livrent les prétendants à la couronne 2013.

Pour que Sebastian Vettel aie des craintes concernant son potentiel quatrième titre, au cours de ces trois derniers mois de la saison, il faudra qu'un de ses adversaires s'assure de réduire l'écart ce week-end. Une victoire de Ferrari ferait le grand bonheur des nombreux tifosi bien entendu, et si l'on se fie aux performances de la Scuderia en Belgique, il est vrai que l'équipe pourrait être bien placée pour se battre contre Red Bull. Cela dit, la nature ultra-rapide de Monza pourrait aussi favoriser Mercedes, une habituée des pole positions, surtout si la voiture peut maintenir un tel rythme pendant la course. Et qui sait ce que prépare Lotus...

En hausse
Il est évident que Sebastian Vettel, qui profite d'une avance de 46 points en ce moment, est le favori au niveau du championnat. Le pilote Red Bull a remporté trois des cinq dernières courses, mais cela aurait pu être quatre victoires si son moteur avait tenu le coup à Silverstone. La RB9 est vraiment très compétitive et Vettel sait comment exploiter le potentiel de sa monture. Notons toutefois que Monza a souvent été un circuit problématique pour Red Bull (malgré une victoire en 2011), mais la dominance de Vettel en Belgique, il y a deux semaines, est de bon augure pour l'Allemand ce week-end. S'il réalise une autre victoire dimanche, il faudra voir quel effet cela aura sur le moral de ses rivaux dans la course au titre.

En baisse
Piloter une Ferrari à Monza lors du Grand Prix d'Italie, voilà un grand moment pour tout pilote de F1. Mais pour Felipe Massa, cela pourrait être la dernière fois que le Brésilien a l'opportunité de courir devant les tifosi aux commandes d'une monoplace rouge. Pour le moment, ses résultats ne lui méritent pas une autre saison chez Ferrari, même s'il affirme avoir le rythme nécessaire pour conserver son volant. Ce n'est pas la première fois que nous voyons ce scénario. Ferrari dit que Massa demeure son premier choix, mais tout en soulignant qu'il doit faire mieux. Une très bonne performance à Monza pourrait aider Massa à s'assurer une neuvième saison avec Ferrari, si les patrons de l'équipe se montrent à nouveau généreux comme l'an dernier.

Piloter une Ferrari à Monza lors du Grand Prix d'Italie, voilà un grand moment pour tout pilote de F1. Mais pour Felipe Massa, cela pourrait être la dernière fois que le Brésilien a l'opportunité de courir devant les tifosi aux commandes d'une monoplace rouge. Pour le moment, ses résultats ne lui méritent pas une autre saison chez Ferrari, même s'il affirme avoir le rythme nécessaire pour conserver son volant. Ce n'est pas la première fois que nous voyons ce scénario. Ferrari dit que Massa demeure son premier choix, mais tout en soulignant qu'il doit faire mieux. Une très bonne performance à Monza pourrait aider Massa à s'assurer une neuvième saison avec Ferrari, si les patrons de l'équipe se montrent à nouveau généreux comme l'an dernier.
À surveiller

Daniel Ricciardo, confirmé comme titulaire chez Red Bull à partir de l'année prochaine, sera au centre de l'attention ce week-end. Le pilote australien sait que les attentes et la pression vont décupler en 2014, mais il va déjà avoir un aperçu de cela au cours des prochains Grands Prix alors que ses performances seront scrutées à la loupe. Le très souriant Ricciardo se montre habituellement rapide en qualification, mais il n'a pas encore réussi à atteindre le top 6 d'une course cette saison. Sachant que la monoplace Toro Rosso manque d'appuis, mais que les appuis sont justement minimes à Monza, Ricciardo pourrait bien faire ce week-end.

Points chauds

Le marché des pilotes : Maintenant que Daniel Ricciardo est confirmé chez Red Bull, l'intérêt va se tourner vers les autres options possibles sur le marché des pilotes. Si Felipe Massa ne conserve pas son volant, Ferrari devient la plus intéressante des destinations pour tout pilote cherchant à quitter le milieu du peloton. Cependant, sachant que Fernando Alonso sera toujours favorisé, le poste de coéquipier chez Ferrari est octroyé avec certaines conditions. Chez Lotus, il semble de plus en plus probable que Kimi Räikkönen va continuer avec cette équipe. Les patrons tiennent à lui, c'est très clair, mais ils devront lui fournir quelques garanties au niveau du développement technique de l'écurie. Ailleurs, Nico Hülkenberg répète qu'il est prêt pour la prochaine étape et dit avoir des options pour 2014, donc il pourrait y avoir d'autres changements à l'avant du peloton. Comme toujours, le marché a tendance à se résoudre lorsque les écuries de pointe prennent leurs décisions. C'est maintenant réglé chez Red Bull, et lorsque Ferrari fera son annonce, le reste devrait tomber en place.

La FIA et la politique : Maintenant que David Ward a annoncé sa candidature pour les élections présidentielles de la FIA, Jean Todt devra faire face à un adversaire. Cela signifie que les jeux politiques vont monter d'un cran au sein du paddock pour le reste de la saison. Ward a déjà travaillé de près avec Bernie Ecclestone, alors le grand patron de la F1 va probablement l'appuyer. L'ex-président Max Mosley, un autre allié de Ward, a déjà critiqué Todt pour son manque de leadership. Et dire que la campagne ne fait que commencer. Notons que Todt n'a pas encore confirmé qu'il sera candidat à sa propre succession.

Les pneus de 2014 : Les incertitudes concernant la fourniture de pneumatiques en 2014 pourraient être aspirées dans le débat politique mentionné ci-dessus. Pirelli veut clairement continuer ; l'entreprise profite du soutien de Bernie Ecclestone et de la très grande majorité des équipes. Pendant ce temps, Michelin travaille en coulisses sur un retour et semble avoir l'intérêt, sinon l'appui, de la FIA. Plusieurs observateurs jugeront la situation injuste si Michelin obtient le contrat avec les conditions que Pirelli demande depuis un certains temps. Mais Michelin a aussi une liste de conditions, et ces exigences forceraient les équipes à apporter des modifications à leurs voitures de l'année prochaine, qui sont en plein développement. Soulignons l'importance, peu importe le fournisseur choisi, de s'assurer que la F1 puisse compter sur des pneus sécuritaires et entièrement développés. Plus la FIA retarde sa décision - et il commence déjà à se faire tard pour 2014 - plus les risques seront grands.

Le 50e anniversaire de McLaren : Il s'agit d'une des pires saisons de l'équipe, mais 2013 est néanmoins l'année du 50e anniversaire de McLaren et il faut le souligner. C'est le 2 septembre 1963 que Bruce McLaren a fondé son écurie, donc quelques bouteilles de champagne ont déjà été consommées à l'usine de Woking en Angleterre. La fête va se poursuivre ce week-end à Monza, où l'équipe organise une "célébration" pour bien souligner ce 50e. Dans le paddock de Monza, le motorhome de McLaren est recouvert d'une illustration sur laquelle on peut contempler voitures et champions. Parallèlement, l'équipe prépare son week-end en piste et fera le maximum pour signer un résultat digne de l'anniversaire.

Autour du Grand Prix

Le circuit est situé dans un parc, à 25km au nord-est de Milan. Ce tracé n'est que le troisième à avoir été construit spécifiquement pour la course automobile, après ceux de Brooklands (Angleterre) et d'Indianapolis (États-Unis)
Des 97 pilotes italiens ayant couru en F1, seuls trois ont remporté le GP d'Italie : Nino Farina (1950), Alberto Ascari (1951/1952) et Ludovico Scarfiotti (1966)
Sebastian Vettel est devenu le plus jeune vainqueur de la F1 en 2008, lorsqu'il a remporté le GP d'Italie avec Toro Rosso
Rubens Barrichello a réalisé la plus rapide pole position à Monza : 260,42 km/h en moyenne aux commandes d'une Ferrari en 2004

Attaque de stats

Michael Schumacher a gagné le Grand Prix d'Italie à Monza à cinq reprises, plus que tout autre pilote
77 % du tour à Monza est complété à pleine puissance
Les qualifications sont importantes à Monza : sept des dix derniers polemen ont remporté la course
L'an dernier, 32 dépassements ont été réalisés 'à la régulière', tandis que 23 autres ont été assistés par le DRS

Le circuit
Construit en 1922, Monza a accueilli plus de manches du championnat F1 que tout autre circuit. Les caractéristiques ultra-rapides du tracé signifient qu'il est unique en son genre sur le calendrier ; par conséquent, il requiert un ensemble aérodynamique spécifique utilisé nulle part ailleurs. Ce circuit est empreint d'Histoire et plusieurs modifications ont été apportées au cours de son existence, mais le circuit actuel reprend celui du tracé originel. La configuration utilisée pour les Grands Prix de 1955-56 et 1960-61 était la plus inhabituelle car elle ajoutait une grande courbe en dévers aux autres portions déjà très rapides ; le tour comptait 10 km et nécessitait un compromis particulièrement dangereux au niveau des réglages. De nos jours, les réglages sont équilibrés entre l'adhérence pour les zones de freinage intense et un minimum d'appuis pour les longues lignes droites, ce qui demeure toujours un compromis difficile. Si on ajoute plus d'appuis à une voiture dans le but d'avoir une meilleure stabilité dans les virages, elle sera une cible facile sur les lignes droites. La meilleure opportunité de dépassement se situe dans la première chicane. La première zone DRS est sur la ligne droite des stands, la deuxième sur la ligne droite entre Lesmo et Ascari, mais puisque les niveaux d'appuis sont moins importants qu'ailleurs, l'apport du DRS est moindre.

Pilote-commissaire
Danny Sullivan, pilote Tyrrell au cours de la saison 1983, se joindra aux trois autres commissaires de course. Après sa saison en F1, l'Américain est rentré chez lui et a connu une bonne carrière en IndyCar. On se souvient encore de sa victoire aux 500 Milles d'Indianapolis en 1985, lorsqu'il a doublé le leader Mario Andretti, effectué un tête-à-queue, et doublé Andretti à nouveau avant de triompher. Sullivan a déjà été commissaire en 2010 (Allemagne, Singapour), en 2012 (Hongrie) et cette année (Australie).

Météo
Les prédictions météorologiques indiquent du temps ensoleillé ce week-end, mais il y a des possibilités d'orages dans la région dimanche. Avec des températures s'approchant des 30 degrés Celsius, les équipes devront surveiller la dégradation des pneus arrière à la sortie des chicanes, qui sont plutôt lentes, surtout si on les compare aux vitesses très élevées des lignes droites.

La conclusion d'ESPNF1
Vu la configuration aéro très spécifique que nécessite le tracé de Monza, cela change un peu la donne entre les voitures. Dans de telles conditions, les Mercedes de Lewis Hamilton et Nico Rosberg pourraient s'avérer encore très rapides lors des qualifications, mais qu'en sera-t-il de la dégradation des pneus pendant la course ? Sebastian Vettel visera la victoire bien entendu, et s'il parvient à s'éloigner comme il l'a fait en Belgique, il sera intouchable. Mais n'oublions pas Fernando Alonso et Ferrari, qui feront tout pour gagner à domicile sous les applaudissements de la foule. Chez Lotus, les températures chaudes pourraient jouer en leur faveur. Donc il y a plusieurs possibilités, et chaque candidat au titre espérera qu'à défaut de s'imposer lui-même, un autre prétendant pourra prendre des points à Vettel dimanche.

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http://fr.espnf1.com/italy/motorsport/story/123281.html

La première journée d'essais à Monza s'est déroulée... comme un vendredi, à savoir avec des écuries passant en revue les deux types de pneus et multipliant les relais plus ou moins longs avec plus ou moins d'essence. A ce petit jeu, il ne faut donc pas tirer des plans sur la comète, sachant que certains ont parfois tendance à cacher leur jeu et à ne tester leur voiture en configuration de qualification que le samedi matin. Mercedes, par exemple, est coutumier du fait : pas au sommet le vendredi, et puis hop ! Hamilton jaillit en Q3 pour un "giro de la Madonna", comme on dit ici.

Il faut néanmoins remarquer que sur ce tracé très typé, où les monoplaces sont équipées d'un package aérodynamique spécifique et où les vitesses de pointe atteignent 350 km/h, une hiérarchie assez limpide s'est dégagée : Red Bull devant, avec Vettel une demi-seconde devant Webber, puis les deux Lotus dans le même millième (Räikkönen sur la version longue et Grosjean avec l'E21 standard), puis Alonso et les deux Mercedes. On constate donc, comme prévu, que les Lotus apprécient la chaleur et que la Ferrari respire mieux l'air du pays... McLaren, aussi, confirme les progrès entrevus à Spa avec Button et Pérez qui complètent le top 10.

Ces protagonistes habituels en découdront pour la pole position demain, avec Sebastian Vettel en favori logique à moins qu'une Mercedes n'émerge comme ce fut souvent le cas cette saison. L'ordre de la grille de départ sera capital dans la mesure où, sur ce circuit, les dépassements sont hasardeux en raison des grandes vitesses et des courtes zones de freinage. Même avec le DRS et le KERS, on sait que chaque mètre de gagné au départ est difficile à combler par la suite.

Dans le milieu du peloton, on verra si Force India peut se hisser en Q3 et si Sauber remonte la pente, en luttant avec Toro Rosso et Williams, tandis que le match Marussia-Caterham semble relativement ouvert, Chilton ayant cette fois précédé les deux monoplaces vertes (mais il faut rappeler que Jules Bianchi a été privé de la séance matinale, au profit du célèbre "slowly" Gonzalez).

http://www.f1i.com/f1i-features/synthese-du-vendredi-hierarchie-limpidem/

Faux suspens ?

“L’espoir fait vivre”, dit le proverbe. Il fait en tout cas courir le Cheval cabré derrière le Taureau ailé, qui semble décidément irrattrapable. La domination magistrale de Sebastian Vettel en Belgique il y a quinze jours et au Canada il y a deux mois– sur deux tracés exigeant peu d’appuis et donc en théorie défavorables à la RB9 – laisse peu d’espoirs de voir les challengers contester la suprématie du triple Champion du monde. Car si Monza n’est pas le terrain de jeu favori des Red Bull, les chiffres montrent pourtant que Vettel n’y a pas démérité : 1er en 2008 (sur une Toro Rosso clone de sa grande-sœur de Milton Keynes à l’époque), 6ème en 2009, 4ème en 2010, 1er en 2011 et abandon l’an passé (alternateur). Pas déshonorant pour un circuit censément “défavorable”… Certes, nous ne sommes pas en 2001, 2002 ni 2004 (campagnes lors desquelles la Scuderia était arrivée à Monza avec un Michael Schumacher déjà titré), mais l’avance de 46 points de Vettel n’est pas mince et risque au mieux pour ses concurrents de s’effriter à peine…

Cheval courbé, Flèches émoussées

La Scuderia aura beau être à domicile, galvanisée par les tifosis, seule une F138 revigorée pourra permettre à Fernando Alonso de viser la victoire. Sa monture disposera donc de nouveautés, ainsi qu’à Singapour… exactement comme la Red Bull, sauf que l’écurie anglaise n’en fait pas autant la publicité. Chaque week-end, le Cavallino clame qu’il a besoin d’une victoire pour se remettre en selle et qu’il dispose d’évolutions. En vain : Alonso n’a plus gagné depuis mai…

a méthode Coué atteint donc ses limites : vu le résultat de Spa, on doute que la Rossa soit métamorphosée, même si Monza impose une configuration aérodynamique très spécifique (et même unique dans la saison, bien que l’on coure avec plus d’appui qu’auparavant, DRS oblige). Pour arbitrer le calcio – hypothétique mais souhaité – entre Alonso et Vettel, qui viseront chacun un troisième succès en Italie, Lewis Hamilton devra disposer d’une Mercedes W04 plus en verve qu’il y a quinze jours, pénalisée par un package “faible appui” peu performant (il a été revu pour l’épreuve italienne).

Le grain de sable de la stratégie ?

L’an dernier, Sergio Pérez avait réussi un joli coup au volant de la Sauber en remontant de la 12ème place de grille à la deuxième marche du podium. Parti en gommes dures, il avait accompli un premier relais très long et doublé des concurrents en délicatesse avec leurs pneus alors qu’il était chaussé, lui, d’enveloppes intermédiaires plus fraîches. La limitation de la vitesse dans les stands (80 km/h) et la longueur de la pitlane (417 mètres, il faut environ 23 secondes pour un arrêt) pourraient inciter certains à tenter le même pari. Pour les autres, qui partiront en médiums (blancs), il s’agira de tenir jusqu’au 20-24ème tour, avant de monter les durs (orange). La combinaison, identique à celle emmenée dans les Ardennes belges, est assez conservatrice, et ne devrait pas permettre à Lotus d’exploiter son faible appétit pneumatique, qui faisait merveille en début de campagne. Sauf si les hommes d’Éric Boullier osent une stratégie à un seul arrêt. La tactique n’avait guère sourit à Romain Grosjean à Francorchamps, mais qui ne tente rien…

http://www.f1i.com/f1i-features/les-enjeux-du-grand-prix-ditalie/

Et si Monza n'était pas le paradis de la Scuderia Ferrari mais bel et bien le théâtre des exploits de Sebastian Vettel... Après avoir décroché sa première victoire en 2008 (avec Toro Rosso), l'Allemand s'est emparé de sa quarantième pole position en Formule 1 au terme d'une séance à sens unique.

Le triple-champion du monde s'élancera en pole position aux côtés de son équipier Mark Webber, le seul capable de le titiller sur un tour ce samedi après-midi en Lombardie, et encore. Meilleur temps dès son premier passage sur la ligne en Q3, personne n'a pu rivaliser avec Vettel qui s'est offert le luxe d'améliorer sa propre marque pour signer un chrono définitif de 1.23.755.

Le miracle n'a pas eu lieu pour Fernando Alonso poussé par les tifosi mais finalement devancé sur la grille par Nico Hülkenberg, surprenant troisième mais surtout Felipe Massa, regonflé en Italie et qui s'élancera en deuxième ligne. L'Asturien devra pour sa part, partager la troisième avec Nico Rosberg, seul rescapé Mercedes en Q3.

Lotus éliminé en Q2
Car la deuxième partie de cette qualification transalpine aura livré son lot de surprises ! Deux champions du monde sortis : Kimi Räikkönen et Lewis Hamilton et un Romain Grosjean en difficulté sur l'ancienne version de la Lotus E21 aux empattements plus courts. Rien ne s'est passé comme prévu pour les hommes d'Enstone qui s'élanceront au beau milieu du trafic dimanche à l'extinction des feux rouges

Tout comme l'écurie Force India, en grande difficulté pour trouver la bonne pointe de vitesse au Temple. Sutil quatorzième et Di Resta, seizième, sont au niveau des Williams depuis le début du week-end ce qui ne devrait pas ravir Vijay Mallya, le grand patron et qui devront composer avec des conditions météorologiques annoncées pluvieuses demain au départ.

Le meilleur français sur la grille se nomme Jean-Eric Vergne. Qualifié pour la Q3, JEV n'a cependant pas réussi à faire mieux lors des dix dernières minutes contrairement à son équipier Daniel Ricciardo, septième, devant les deux McLaren. En cas de pluie, la course pourrait se retrouver totalement chambouler et tous pourraient tirer leur épingle du jeu, à commencer par l'hôte du GP, Ferrari, qui espère la pluie pour voir les monoplaces se niveler. A moins que Vettel ne soit le nouveau maître des lieux et décroche sa deuxième victoire au Temple avec RBR.
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http://fr.espnf1.com/italy/motorsport/story/123889.html

Grand Prix d'Italie 2013
Qualification
Pilote Équipes Chrono
1 S Vettel (GER) Red Bull 1'23.755
2 M Webber (AUS) Red Bull 1'23.968
3 N Hülkenberg (GER) Sauber 1'24.065
4 F Massa (BRA) Ferrari 1'24.132
5 F Alonso (ESP) Ferrari 1'24.142
6 N Rosberg (GER) Mercedes 1'24.192
7 D Ricciardo (AUS) Toro Rosso 1'24.209
8 S Pérez (MEX) McLaren 1'24.502
9 J Button (GBR) McLaren 1'24.515
10 J.-É. Vergne (FRA) Toro Rosso 1'28.050
11 KM Räikkönen (FIN) Lotus 1'24.610
12 LC Hamilton (GBR) Mercedes 1'24.803
13 R Grosjean (FRA) Lotus 1'24.848
14 A Sutil (GER) Force India 1'24.932
15 P Maldonado (VEN) Williams 1'25.011
16 di Resta (GBR) Force India 1'25.077
17 E Gutiérrez (MEX) Sauber 1'25.226
18 V Bottas (FIN) Williams 1'25.291
19 G van der Garde (NED) Caterham 1'26.406
20 C Pic (FRA) Caterham 1'26.563
21 J Bianchi (FRA) Marussia 1'27.085
22 M Chilton (GBR) Marussia 1'27.480

https://www.youtube.com/watch?v=LqSEG6flBw0

https://www.google.ch/search?q=monza+circuit+f1&source=lnms&tbm=isch&sa=X&ei=cAIsUpDLIILWtAaXqYGIAw&ved=0CAcQ_AUoAQ&biw=1248&bih=630#facrc=_&imgdii=_&imgrc=LANawJtS-7cXJM%3A%3Bzuhbcj6SP-mV4M%3Bhttp%253A%252F%252Fa.sidepodcast.com%252Fcontent%252F2011%252F09%252Fitaly_circuit_map.png%3Bhttp%253A%252F%252Fsidepodcast.com%252Fpost%252Fitaly-2011-race-information%3B600%3B420

Sebastian Vettel écœure les tifosi pour décrocher sa troisième victoire dans le Temple de Monza devant Fernando Alonso, qui n'a rien pu faire, et Mark Webber, troisième.

Week-end parfait pour le leader au classement qui étend son avance à 53 points avant le début de la tournée asiatique. Pour la quarantième fois de sa carrière en pole et avec ses trois couronnes mondiales, l'Allemand possède déjà l'expérience pour maintenir Ferrari et toute l'Italie derrière lui au départ.

En tête au premier virage, autoritaire dès la fin du premier tour, Vettel commence alors son festival, abaissant boucle après boucle le meilleur tour en course pour très vite augmenter son avance et effectuer un arrêt tranquille. Une fois en tête, le pilote Red Bull se confirme redoutable et ne laisse que les miettes à ses adversaires. Une domination totale !

Alonso perd une bataille
Quatrième après s'être débarrassé de Nico Hülkenberg au premier virage, Nando passe trois tour plus tard l'Australien de RBR au terme d'une superbe manœuvre dans la chicane Ascari. Lance à la poursuite de son équipier, qui lui facilitera la tâcher, l'Espagnol ne parviendra ensuite jamais à combler son retard. La F138, tout simplement moins rapide que la RB9, la mission se révèle impossible au plus grand désarroi des fans, tous acquis à la cause de la Scuderia.

Ferrari devra maintenant se poser la question concernant la suite du Championnat. Continuer le travail et l'évolution de la monoplace actuelle ou se focaliser et placer la majeure partie de ses ressources sur l'arrivée du V6-turbo ? La question se pose avec sept courses restantes. Concernant le second baquet 2014, Felipe Massa, auteur d'un excellent envol mais finalement quatrième, a marqué des points ce dimanche.

Hamilton sans radio
Il fallait se tourner vers les places d'honneur pour assister à du spectacle sur l'Autodrome national de Monza. La lutte a fait rage entre les Mercedes, McLaren et Lotus. Contraint de passer par son stand dès la fin du premier tour en raison de la casse de son aileron avant, Kimi Räikkönen, malgré une belle remontée, échoue aux portes du top 10, coincé entre les MP4-27 de Jenson Button, qui aura tenu le petit point de la dixième place jusqu'au bout et Sergio Pérez, croqué dans les trois derniers tours

Son équipier, Romain Grosjean, se classe huitième. Après avoir passé les deux McLaren dans les derniers tours du GP, le Français semblait revenir sur Daniel Ricciardo, septième, avant d'apercevoir Lewis Hamilton dans ses rétroviseurs. Privé de sa radio la majeure partie de la course et lui aussi obligé de s'arrêter une fois de plus que le reste du plateau, le champion du monde 2008 a tout donné pour accrocher deux points. C'est mieux pour son équipier Nico Rosberg, sixième et jamais inquiété.

Revenu de la trêve estival plus fort que jamais, Sebastian Vettel a un peu plus marqué les esprits pour la clôture du Championnat en Europe. Après la démonstration à Spa et la balade à Monza, le triple-champion du monde en titre se dirige sûr de sa force vers Marina Bay, où il s'est imposé ces deux dernières années.
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http://fr.espnf1.com/italy/motorsport/story/124223.html

Grand Prix d'Italie 2013
Pilotes Équipes Points
1 S Vettel (GER) Red Bull 25
2 F Alonso (ESP) Ferrari 18
3 M Webber (AUS) Red Bull 15
4 F Massa (BRA) Ferrari 12
5 N Hülkenberg (GER) Sauber 10
6 N Rosberg (GER) Mercedes 8
7 D Ricciardo (AUS) Toro Rosso 6
8 R Grosjean (FRA) Lotus 4
9 LC Hamilton (GBR) Mercedes 2
10 J Button (GBR) McLaren 1
11 KM Räikkönen (FIN) Lotus -
12 S Pérez (MEX) McLaren -
13 E Gutiérrez (MEX) Sauber -
14 P Maldonado (VEN) Williams -
15 V Bottas (FIN) Williams -
16 A Sutil (GER) Force India -
17 C Pic (FRA) Caterham -
18 G van der Garde (NED) Caterham -
19 J Bianchi (FRA) Marussia -
20 M Chilton (GBR) Marussia

Championnat F1 2013 - Classement Pilotes


Pos. Pilote Equipe Points
1 Sebastian Vettel Red Bull Racing 222
2 Fernando Alonso Ferrari 169
3 Lewis Hamilton Mercedes AMG F1 141
4 Kimi Raikkonen Lotus F1 Team 134
5 Mark Webber Red Bull Racing 130
6 Nico Rosberg Mercedes AMG F1 104
7 Felipe Massa Ferrari 79
8 Romain Grosjean Lotus F1 Team 57
9 Jenson Button McLaren Mercedes 48
10 Paul di Resta Sahara Force India 36
11 Adrian Sutil Sahara Force India 25
12 Sergio Perez McLaren Mercedes 18
13 Daniel Ricciardo Scuderia Toro Rosso 18
14 Nico Hulkenberg Sauber F1 Team 17
15 Jean-Eric Vergne Scuderia Toro Rosso 13
16 Pastor Maldonado Williams F1 Team 1
17 Valtteri Bottas Williams F1 Team 0
18 Esteban Gutiérrez Sauber F1 Team 0
19 Jules Bianchi Marussia F1 Team 0
20 Charles Pic Caterham F1 Team 0
21 Giedo Van der Garde Caterham F1 Team 0
22 Max Chilton Marussia F1 Team 0


Championnat F1 2013 - Classement Constructeurs


Pos. Equipe Points
1 Red Bull Racing 352
2 Scuderia Ferrari 248
3 Mercedes AMG F1 245
4 Lotus F1 Team 191
5 McLaren Mercedes 66
6 Sahara Force India 61
7 Scuderia Toro Rosso 31
8 Sauber F1 Team 17
9 Williams F1 Team 1
10 Marussia F1 Team 0
11 Caterham F1 Team 0

Respect pour Red Bull
Une autre course, une autre victoire dominante pour Sebastian Vettel, et tout indique que le triple champion allemand se dirige vers un quatrième titre consécutif. Nous pouvons d'ailleurs en dire autant pour Red Bull et la couronne des constructeurs. Bien que la facilité avec laquelle Vettel a creusé l'écart dès les premiers tours de la course a provoqué des soupirs tout autour de l'Autodromo Nazionale di Monza (et probablement dans les salons de millions de téléspectateurs à travers le monde), il ne faut pas sous-estimer l'accomplissement de Red Bull ce week-end.

L'an dernier, Vettel a été facilement battu en Belgique et les deux pilotes Red Bull ne se sont pas rendus jusqu'à l'arrivée en Italie ; Fernando Alonso en avait pleinement profité en se hissant au sommet du classement, ce qui lui permettait alors les plus grands espoirs. Mais il ne faut pas oublier que la monoplace RB9 de cette saison est une évolution de la RB8 de 2012. Cela signifie, et le contraste est évident si l'on compare les résultats des GP de Belgique et d'Italie 2013 à ceux de l'an dernier, que l'équipe technique dirigée par Adrian Newey a accompli un boulot impressionnant sur les fondations de la voiture précédente. Il faut reconnaître cela et féliciter Red Bull car les résultats des dernières courses sont entièrement mérités.

Même si les deux dernières victoires étaient prévisibles, comment en vouloir à une équipe qui fait le meilleur travail ? Bien sûr, la manche italienne n'a pas été des plus excitantes et le résultat final du championnat semble déjà se dessiner clairement, mais les performances de Red Bull à Monza demeurent impressionnantes. Ultimement, c'est aux autres écuries de faire mieux pour rehausser le spectacle à la tête du peloton... et nous leur souhaitons de réussir !
Le vainqueur hué
À la conclusion d'une course, laisser l'immense foule de Monza envahir la piste fait partie des traditions, à tel point que le podium est construit au-dessus de la piste pour permettre aux très nombreux fans de se rapprocher de la cérémonie. La F1 moderne fait en sorte qu'il y a peu d'interaction entre les pilotes et les fans, et sur la piste, le son des moteurs et les visières fermées permettent très peu d'échanges (même si les pilotes sont conscients des réactions de la foule). Mais à Monza, c'est différent. Comme c'était le cas jadis dans le Colisée de Rome, la foule peut communiquer de près avec ces gladiateurs modernes qui viennent de se livrer bataille.

Cependant, et ce n'est pas la première fois cette année, Vettel a été fortement hué par la foule pendant les interviews d'après-course. Il a vite conclu que le fait de ne pas être un pilote Ferrari y était pour quelque chose, mais lorsque son coéquipier Mark Webber a pris le micro (lors de sa première présence sur le podium de Monza), ce dernier a été acclamé par les nombreux tifosi. Il serait facile de dire que la domination de Vettel sur le championnat le rend impopulaire, mais il semble de plus en plus évident que sa désobéissance des consignes d'équipe en Malaisie, ce qui a coûté la victoire à Webber, fait en sorte qu'un grand nombre de fans ont perdu du respect pour lui depuis. Vettel se dirige probablement vers un quatrième titre, mais la foule, et non seulement celle de Monza, ne semble pas encore avoir tourné la page sur la fameuse controverse du 'Multi-21'.

Alonso et sa radio
Suite aux qualifications, les médias du paddock (et en particulier la presse italienne) portaient énormément d'attention sur un message radio transmis par Fernando Alonso à l'égard de Ferrari. Il semblait qu'Alonso avait traité son équipe de "stupide", ou sur un ton sarcastique, de "génies." Toutefois, la communication n'était pas suffisamment claire pour déterminer de quel mot il s'agissait. Plus tard, l'utilisation du mot 'génies' a été confirmée. Cela a bien sûr semblé souligner davantage l'existence possible de tensions au sein de l'équipe, mais il semble que toute l'affaire n'était qu'une tempête dans un verre d'eau.

Il arrive parfois, lors de situations stressantes dans des disciplines sportives de haut niveau, que des coéquipiers s'engueulent, utilisent des mots durs, ou laissent leur frustration s'exprimer. Dans le cas d'Alonso, un tel échange a été transmis par radio. Une décision stratégique prise par Ferrari lors des qualifications s'est avérée coûteuse, Alonso a fait part de son mécontentement par un propos empreint de sarcasme, et l'affaire a été rapportée par les médias. L'Espagnol et Ferrari ont minimisé l'échange, et ils avaient peut-être raison d'être frustrés par toute l'attention que générait cette histoire. Mais sachant que le président de Ferrari a publiquement rappelé Alonso à l'ordre à la fin juillet, ce que le principal intéressé a mis sur le compte d'un malentendu (trois semaines plus tard), il faut donc s'attendre à ce que chaque petite mauvaise humeur soit scrutée de près, même si parfois inutilement.

Räikkönen de retour en rouge ?
La possibilité de voir Kimi Räikkönen passer de Lotus à Red Bull l'année prochaine n'existe plus, Daniel Ricciardo ayant été confirmé comme futur coéquipier de Sebastian Vettel. C'est donc sans surprise que le possible retour de Räikkönen chez Ferrari était un grand sujet de spéculation ces derniers jours, surtout dans le contexte du Grand Prix d'Italie. Comme d'habitude, plusieurs affirmations et réfutations ont été entendues au début du week-end. C'est alors que Luca di Montezemolo, le président de Ferrari, a déclaré que la décision portant sur la composition de son duo de pilotes pour 2014 sera prise très bientôt, soit dans les jours suivant la course.

Cela n'a pas manqué de générer davantage de spéculation, puisque cela signifie que Felipe Massa n'aura pas d'autres courses pour se prouver : parce que Ferrari a déjà décidé de le garder, ou parce qu'au contraire, les patrons ont déjà décidé qu'il serait remercié, donc plus besoin d'attendre quelques courses pour évaluer son cas ? Dimanche soir, la presse allemande annonçait que Räikkönen remplacerait Massa chez Ferrari l'année prochaine ; si c'est le cas, cela signifierait que Ferrari aura deux pilotes très forts et aucun n°1 et n°2, contrairement à sa tradition. Ce serait clairement très surprenant, mais il ne faut jamais dire jamais.

Si Räikkönen revêt la combinaison rouge, la rumeur dit que Nico Hülkenberg ira le remplacer chez Lotus. À moins que Hülkenberg rejoigne Ferrari, dans ce cas Räikkönen resterait là où il est. Ajoutez d'autres options et nous pourrions débattre du sujet longtemps (au moins jusqu'au jour de l'annonce officielle de Ferrari, cette semaine semble-t-il). Tout ce que nous savons pour le moment, c'est que Lotus sera la dernière des écuries de pointe ayant de potentielles disponibilités à se décider. Red Bull a annoncé son choix, et Lotus attend la décision de Ferrari (et donc de Räikkönen ?) avant de regarder le marché des pilotes plus sérieusement. Un autre morceau du casse-tête devrait être révélé sous peu.

La bataille présidentielle de la FIA
Le résultat final du championnat des pilotes semble facile à prédire pour le moment, mais le combat pour l'un des plus importants postes dans le domaine des sports automobiles ne fait que commencer. David Ward a profité du GP d'Italie pour publier les grandes lignes de sa campagne pour la présidence de la FIA, tandis que le président sortant, Jean Todt, a confirmé qu'il tentera d'obtenir un second mandat. L'élection ne sera pas gagnée dans le paddock, mais le soutien de la communauté F1 est un atout important, et cela rendra la tâche de tout président de la FIA plus facile lorsque le temps sera venu de travailler dans les dossiers. À Monza, Todt a été une présence discrète dans le paddock pendant que Ward invitait certains journalistes triés sur le volet pour un déjeuner. La campagne ne fait que commencer, mais cela devrait être intéressant à suivre car la façon de gérer la Formule 1 fait partie du débat d'idées.

Joyeux 50e anniversaire, McLaren !
Marquer un seul point à la conclusion du GP d'Italie, ce n'est sûrement pas la façon que l'écurie McLaren souhaitait souligner son 50e anniversaire. Mais la monoplace actuelle ne pouvait faire mieux, et ce résultat arrive au moment opportun pour rappeler à tous que la Formule 1 n'est pas une discipline qui vit dans le passé. À Monza, McLaren s'est néanmoins permise une "cérémonie" (le mot "fête" ne faisant apparemment pas partie du vocabulaire de l'équipe), où un grand nombre de personnalités du paddock d'aujourd'hui et d'hier étaient présentes, et ce en provenance de toutes les équipes. La façade du motorhome arborait une grande illustration de voitures et champions du passé.

Dimanche, le personnel de McLaren s'est présenté dans une tenue vestimentaire 'rétro', incluant casquette anglaise et chemise à revers (certains portaient l'ensemble mieux que d'autres). Mais il y a cette impression d'opportunité manquée. Plutôt que s'habiller de la sorte, ou en complément à cela, un meilleur hommage aurait peut-être été de changer la robe chrome de la MP4-28 pour une peinture orange papaye comme celle que portaient jadis les voitures de Bruce McLaren. Mais bien entendu, le plus beau des hommages aurait été une présence sur le podium, mais c'est un cadeau que l'écurie ne peut se permettre... pour le moment.

http://fr.espnf1.com/italy/motorsport/story/124437.html

Points forts et faibles


   Choc : Nico Hülkenberg - Le pilote Sauber a converti sa 3e place sur la grille de départ en une 5e place et un bon nombre de points pour son équipe
   Choquant : Paul di Resta - Il a raté son freinage et arraché une roue de sa Force India en touchant un des pneus de Grosjean (heureusement, la Lotus a bien encaissé le coup). Di Resta a été réprimandé par les commissaires
   Meilleur dépassement : Fernando Alonso - Une manœuvre cruciale sur l'extérieur de Webber, à l'approche de la chicane Roggia, a fait le bonheur du pilote Ferrari mais aussi des tifosi
   Meilleur tour : Nico Hülkenberg - Son tour de qualification, qui lui a permis de s'emparer de la 3e place sur la grille, devant les deux Ferrari, a été très impressionnant
   Pire tour : Paul di Resta - Son pire tour est son seul tour de la course. Il a admis avoir été surpris par le freinage du peloton, la conséquence étant une collision contre Grosjean dès la deuxième chicane
   Performance du jour : Lewis Hamilton - Pas pour la 9e place du pilote Mercedes, mais pour la remontée et les duels suite à sa crevaison lente
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