Grand Prix de Bahreïn résultat, essais, course. ( 1 Vettel 2 Raikkonen 3 Grosjean)
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Grand Prix de Bahreïn résultat, essais, course. ( 1 Vettel 2 Raikkonen 3 Grosjean)
Circuit international de Bahreïn RSS
Sakhir, Bahreïn
Circuit : Race
Longueur 6.299kms
Nombre de virages 23
Circulation horaire
Capacité 50,000
Achevé en 2004
Designer Hermann Tilke
Dernière édition par modena49 le Dim 21 Avr - 16:44, édité 1 fois
Les deux zones DRS de Sakhir
Les deux zones DRS de Sakhir
Deux lignes droites séparées
16 avril 2013 - 17h45, par Olivier Ferret
Comme pour les trois premières courses de la saison, la FIA a prévu deux zones pour le DRS sur le circuit de Sakhir, pour le Grand Prix de Bahreïn qui se déroulera ce week-end.
La première zone sera logiquement située sur la ligne droite de départ / arrivée, avec point de détection de l’écart d’une seconde pour l’activation avant le dernier virage.
La deuxième zone ne sera pas installée sur la longue ligne droite du retour, celle avant le dernier virage, mais sur la ligne droite derrière le paddock, entre les virages 10 et 11. Le point de détection de l’écart d’une seconde pour l’activation se fera au niveau du virage n°9.
Rappelons que cette année les pilotes ne peuvent utiliser le DRS que dans les zones prévues à cet effet, que ce soit en essais libres, en qualifications ou en course.
http://motorsport.nextgen-auto.com/Les-deux-zones-DRS-de-Sakhir,59469.html
Deux lignes droites séparées
16 avril 2013 - 17h45, par Olivier Ferret
Comme pour les trois premières courses de la saison, la FIA a prévu deux zones pour le DRS sur le circuit de Sakhir, pour le Grand Prix de Bahreïn qui se déroulera ce week-end.
La première zone sera logiquement située sur la ligne droite de départ / arrivée, avec point de détection de l’écart d’une seconde pour l’activation avant le dernier virage.
La deuxième zone ne sera pas installée sur la longue ligne droite du retour, celle avant le dernier virage, mais sur la ligne droite derrière le paddock, entre les virages 10 et 11. Le point de détection de l’écart d’une seconde pour l’activation se fera au niveau du virage n°9.
Rappelons que cette année les pilotes ne peuvent utiliser le DRS que dans les zones prévues à cet effet, que ce soit en essais libres, en qualifications ou en course.
http://motorsport.nextgen-auto.com/Les-deux-zones-DRS-de-Sakhir,59469.html
Bahreïn, les équipes prudentes
Des incidents dans une manifestation près de Manama, lundi
© Getty Images
Tandis que la représentation nationale britannique déconseille la tenue de la course, les équipes se préparent pour le Grand Prix de Bahreïn, quatrième manche de la saison, sur fond de manifestations à Manama.
Cela ressemble à du déjà-vu, mardi, des parlementaires britanniques ont appelé Bernie Ecclestone, le président de la FOM (Formula One Management), à annuler le Grand Prix de Bahreïn, en raison de menaces qui pèsent sur la sécurité des équipes en grande partie britanniques.
Gaz lacrymogènes
Lundi, la police a fait usage de gaz lacrymogènes contre des lycéens à Manama, qui protestaient contre l'arrestation de l'un des leurs, Hassan Humidan, 17 ans. D'autres incidents ont eu lieu dans la ville de Manama.
"Il y a une relation entre la course et la répression pratiquée par le régime", ont indiqué les parlementaires. "Ce dernier tente d'utiliser la course pour justifier un retour à la normale."
Les équipes se veulent "vigilantes", à l'image de Red Bull. "Toutes les précautions seront prises mais mises à part cela, nous abordons cette course comme toutes les autres", a indiqué l'équipe championne du monde.
Pour McLaren, "l'équipe restera très proche du circuit, dans un hôtel très sécurisé, nous n'avons pas le sentiment que des mesures supplémentaires de sécurité sont nécessaires pour nous."
Chez Mercedes, "la sécurité des employés tient la priorité la plus haute. Nous suivrons les directives données par le ministère des Affaires étrangères en ce qui concerne les voyages dans la région."
© ESPN EMEA Ltd.
http://fr.espnf1.com/bahrain/motorsport/story/105781.html
Pirelli revoit ses pneus
Alors qu'il devait proposer à Bahreïn des gommes de type tendres et dures, Pirelli a modifié à la dernière minute son choix, optant pour des médiums et des durs ce week-end à Sakhir.
Après les trois premières courses de la saison, plusieurs équipes se sont plaint de la forte dégradation des pneumatiques. Ce changement de dernière minute de Pirelli peut donc être perçu comme une réponse à ces inquiétudes.
Durée de vie
En revanche, Pirelli a confirmé qu'elle attendra la fin du Grand Prix de Bahreïn pour prendre une décision concernant la composition même de ses gommes. Selon Niki Lauda, le conseiller de Mercedes, la marque italienne a déjà engagé des changements sur cet aspect qui devraient être en vigueur pour le Grand Prix d'Espagne, à Barcelone, le mois prochain. Hembery a démenti.
"C'est l'une des pistes les plus exigeantes de l'année au plan des pneumatiques, en grande partie en raison des températures ambiantes élevées", a déclaré le patron de Pirelli Motorsport, Paul Hembery. "Nous nous attendons à trois arrêts par voiture au cours de la course, même si cette prévision sera à affiner après les essais de vendredi."
"L'un des défis les plus importants de la course à Bahreïn c'est l'évolution de la piste. Elle est très difficile à prédire, elle dépend de la quantité de sable qui se dépose sur le circuit en raison du vent. Sur la base de ce que nous avons pu voir l'année dernière, cependant, différentes stratégies seront possibles, ce qui peut permettre à des pilotes qui ne se sont pas très bien qualifiés de remonter durant la course."
Toujours selon la marque italienne, "la durée de vie du pneumatique dur devrait être fixée entre 15 et 17 tours alors que le pneumatique médium devrait durer entre 13 et 15 tours".
© ESPN EMEA Ltd.
http://fr.espnf1.com/bahrain/motorsport/story/105741.html
Les points essentiels du Grand Prix de Bahreïn
La F1 disputera ce week-end la 9e édition du Grand Prix de Bahreïn. Retour sur quelques points à connaître sur cette épreuve qui fait débat dans le paddock et en dehors.
Le Grand Prix de Bahreïn disputé ce dimanche sera la dernière épreuve du Championnat avant le début de la saison européenne qui débutera le 12 mai avec le GP d'Espagne. Cette course est certainement la plus controversée du calendrier en raison des tensions qui opposent les manifestants chiites au royaume depuis maintenant plus de deux ans. En 2011, la course avait même due être annulée.
Sur le plan sportif, on pourra retenir que Fernando Alonso, victorieux le week-end dernier en Chine, est le plus en réussite sur le circuit de Sakhir avec trois victoires (deux conquises en 2005 et 2006 avec Renault F1 et une en 2010 remportée avec la Scuderia). Cependant, l'Asturien n'est pas monté sur le podium lors des autres éditions, terminant notamment à la septième place l'an passé où Sebastian Vettel avait décroché son premier succès de la saison. Ferrari reste cependant l'écurie la plus en réussite à Bahreïn avec quatre victoires, Michael Schumacher s'étant imposé en 2004 et Felipe Massa en 2007 et 2008.
Le Grand Prix de Bahreïn n'a jamais été remporté par un pilote s'élançant au-delà des deux premières lignes de la grille de départ, mais la victoire n'a été remportée qu'une fois sur deux depuis le pilote en pole. De plus, Pirelli estime que les écuries pourront multiplier les stratégies avec son choix de gommes retenu pour ce week-end.
Parmi les rookies présents cette année, seul Valtteri Bottas a déjà roulé sur le circuit de Sakhir au volant d'une F1 puisque le pilote Williams avait disputé la première séance d'essais libres l'an dernier. Jules Bianchi, Giedo van der Garde, Esteban Gutiérrez et Max Chilton connaissent néanmoins la piste pour l'avoir parcouru à plusieurs reprises en GP2.
http://www.autohebdo.fr/f1/f1/article-25-25-17109/160413-les-points-essentiels-du-grand-prix-de-bahre%C3%AFn
Bahreïn, moteurs sous fortes chaleurs
Le responsable de Renault Sport F1, Rémi Taffin, est revenu sur les spécificités du Grand Prix de Bahreïn pour ses moteurs.
Sur le tracé de Sakhir, les pilotes sont à pleine charge entre 55 et 60% du tour. Avec une grande variété de virages, des lignes droites de longueur moyenne et des périodes de pleine charge relativement longues, ce sont plus les facteurs externes qui influent.
"La température ambiante élevée joue évidemment un rôle dans le refroidissement, dans la mesure où la chaleur du moteur ne peut pas se dissiper efficacement", a signalé Taffin alors qu'une température moyenne de 29 degrés dans l'air est attendue tout au long du week-end. "Nous essayons dans la mesure du possible de ne pas pratiquer d'ouvertures dans la carrosserie, car cela a un effet néfaste sur la performance aérodynamique de la voiture."
"Pour cela nous faisons fonctionner le moteur avec de hautes températures d'eau et d'huile, mais cela signifie aussi que les composants internes doivent fonctionner avec des contraintes de températures plus élevées et il faut surveiller tout cela très attentivement", a-t-il ajouté.
"Le manque d'humidité dans cette atmosphère désertique est également complexe pour le moteur. On peut même devoir faire face à un moteur qui 'détonne' si on ne le règle pas correctement. Ce phénomène très destructeur est dû à une combustion anormale de l'air et de l'essence, ce qui provoque des contraintes massives sur les pistons. Pour éviter ce phénomène, nous réglons l'allumage spécifiquement aux bancs d'essais où nous savons y simuler les conditions climatiques", a conclu le spécialiste moteur.
Renault Sport F1 motorise les écuries Red Bull, Lotus, Williams et Caterham.
© ESPN EMEA Ltd.
http://fr.espnf1.com/f1/motorsport/story/105844.html
Présentation du GP de Bahreïn par Renault Sport F1
Sakhir : trois sections en détail
Virages 1 et 2
Le premier virage est très serré, puisque le pilote freine à 330 km/h pour tomber à environ 60km/h. L’objectif sera alors de délivrer une dose de frein moteur satisfaisante pour caler l’arrière de la monoplace sans trop la ‘pousser’ dans la mesure où le pilote a besoin d’une voiture stable dans la phase de freinage puis capable de virer correctement. Les ingénieurs s’y emploieront en optimisant la cartographie moteur.
Virages 11 et 12
Après une sortie assez lente du virage 11, la piste grimpe jusqu’au virage 12. En plus de changer rapidement de direction, la voiture est donc en montée. Cela met le circuit d’huile sous pression, puisque l’huile passe d’un côté à l’autre du réservoir très rapidement, tout en étant plaqué contre le fond dans la côte. Pour éviter un défaut d’alimentation, qui provoquerait un déjaugeage des pompes, les ingénieurs devront vérifier les niveaux minimaux à embarquer lors des essais.
Virages 14 et 15
Le pilote doit sortir du virage 14 bien à droite pour éviter le dévers à l’entrée du virage 15. En sortant large, il compromettrait son accélération dans la ligne droite qui suit. Avoir les bons rapports de boîte est particulièrement utile dans ce cas, mais trouver le bon compromis n’est jamais facile sur un circuit présentant une telle variété de virages abordés à différentes vitesses. Il en va de même pour les réglages du moteur, plus particulièrement en ce qui concerne les niveaux de carburant et l’utilisation de KERS et de DRS.
Rémi Taffin, Directeur des prestations piste de Renault Sport F1
"Sakhir est en milieu de tableau en ce qui concerne les exigences liées au moteur, puisque les pilotes sont à pleine charge entre 55 et 60% du tour. Avec une grande variété de virages, des lignes droites de longueur moyenne et des périodes de pleine charge relativement longues, ce sont plus les facteurs externes qui influent sur notre préparation que le tracé en lui-même.
La température ambiante élevée joue évidemment un rôle dans le refroidissement, dans la mesure où la chaleur du moteur ne peut pas se dissiper efficacement. Nous essayons dans la mesure du possible de ne pas pratiquer d’ouvertures dans la carrosserie, car cela a un effet néfaste sur la performance aérodynamique de la voiture. Nous essayons plutôt d’avoir le moins de chaleur possible à évacuer par le système de refroidissement. Pour cela nous faisons fonctionner le moteur avec de hautes températures d’eau et d’huile, mais cela signifie aussi que les composants internes doivent fonctionner avec des contraintes de températures plus élevées et il faut surveiller tout cela très attentivement.
De plus, quand la température augmente, la mise au point moteur est particulière dans la mesure où la vitesse de propagation du son augmente proportionnellement. En effet, les ondes de pression sonore créées par le moteur atteignent les soupapes d’admission plus rapidement. La longueur des trompettes (qui régulent l’entrée d’air dans le moteur à partir de la boîte à air) doit par conséquent être augmentée pour le bon fonctionnement du moteur. C’est assez similaire au réglage d’un instrument de musique. A Bahreïn, nous utilisons les trompettes les plus longues, ce qui permet de retrouver une courbe de puissance équivalente aux conditions « normales ».
Le manque d’humidité dans cette atmosphère désertique est également complexe pour le moteur. On peut même devoir faire face à un moteur qui « détonne » si on ne le règle pas correctement. Ce phénomène très destructeur est dû à une combustion anormale de l’air et de l’essence, ce qui provoque des contraintes massives sur les pistons. Pour éviter ce phénomène, nous réglons l’allumage spécifiquement aux bancs d’essais où nous savons y simuler les conditions climatiques."
http://motorsport.nextgen-auto.com/Presentation-du-GP-de-Bahrein-par-Renault-Sport-F1,59521.html
Le chaud ou le show ?
Présentation, Grand Prix de Bahreïn
Le chaud ou le show ?
Au moment de retrouver les hautes températures de Bahreïn, dans un environnement chauffé à blanc autour du circuit pour la deuxième année d'affilée, le paddock de la Formule 1 a déjà connu trois vainqueurs différents en trois courses. La série pourrait se poursuivre sur la piste de Sakhir. Les soucis rencontrés par Red Bull, la montée en puissance de Lotus et de Ferrari, les promesses de Mercedes et le retour en grâce de McLaren constituent les ingrédients qui pourraient donner naissance à du bon spectacle sur la piste du petit royaume du Golfe. Même Pirelli a fait un effort en changeant ses dotations pneumatiques quasiment à la dernière minute.
En hausse
Contraint à l'abandon en début de course à Sepang, Fernando Alonso est revenu au premier plan à Shanghai, il y a moins d'une semaine en remportant le Grand Prix de Chine de main de maître. Le pilote espagnol n'a cessé de le répéter depuis le début de la saison, il se trouve au volant d'une voiture plus compétitive que celle de l'année dernière a pareille époque, ce qui pourrait faire la différence sur l'ensemble de la saison. À Bahreïn, Alonso avait remporté la première course qu'il disputa pour Ferrari, c'était en 2010. Il a toujours été relativement à l'aise au milieu des sables de Manama.
En baisse
L'étau se resserre déjà autour de Sergio Pérez, le nouveau pilote McLaren, à qui il a déjà été demandé de s'endurcir par son patron, Martin Whitmarsh. Jenson Button, par ses performances, a démontré que la McLaren commençait à revenir au niveau de ses adversaires. Il a terminé à la cinquième place en Chine alors que Pérez a coupé la ligne de l'arrivée hors des points. Les pilotes Caterham sont également sur la sellette. Cette semaine, l'équipe a décidé de faire appel à Heikki Kovalainen en tant que pilote de réserve et d'essais. Le Finlandais sera en piste vendredi matin, de quoi aiguillonner Charles Pic et surtout Giedo Van der Garde alors que leur écurie annonce l'arrivée d'évolutions importantes sur la CT03.
À surveiller
L'année dernière à Bahreïn, Daniel Ricciardo a impressionné à l'occasion de la qualification, le samedi. Il avait placé sa Toro Rosso sur la troisième ligne, cependant, la course ne s'était pas déroulée comme il le souhaitait. Il avait terminé à la 15e place à un tour du vainqueur, Sebastian Vettel. Il y a une semaine en Chine, le pilote australien s'est qualifié à la septième place et il est parvenu à conserver cette position au baisser du drapeau à damier. C'est le meilleur résultat de sa jeune carrière. Ils lui permettent de faire un pas de plus en direction d'un volant chez Red Bull l'année prochaine, à la place de Mark Webber, donner plus que jamais partant. Le coéquipier de Jean-Éric Vergne arrivera en pleine confiance à Bahreïn.
Points chauds
Manifestations antigouvernementales
Les années passent mais l'ambiance délétère persiste dans le petit royaume du Golfe où les violences sont montées d'un cran à l'approche du Grand Prix qui sert de caisse de résonance aux revendications des protestataires. Ces derniers demandent que la famille royale partage son pouvoir avec le peuple. Pour des raisons de sécurité, la course a été annulée en 2011 et elle s'est déroulée dans une atmosphère de guerre civile en 2012. Des véhicules appartenant à plusieurs équipes avaient été pris pour cible par les manifestants qui avaient rencontré Bernie Ecclestone, le président de la FOM (Formula One Management)
Red Bull
Déchirée à Sepang par l'affaire du Multi21, l'équipe championne du monde, Red Bull, n'a pas fini de panser ses plaies. En Chine, lors du dernier Grand Prix disputé, le stand était clairement coupé en deux. D'un côté Mark Webber et de l'autre Sebastian Vettel. Le champion du monde, avant cette course, a déclaré qu'il ne regrettait pas d'avoir remporté la victoire en Malaisie, au mépris des consignes d'équipe qui lui avait été données de rester derrière son coéquipier. Ce dernier, qui est en contact avec Porsche, pour piloter l'année prochaine en Endurance, a connu un week-end cauchemardesque à Shanghai. Une panne d'essence samedi, un accrochage avec Jean-Éric Vergne dimanche et trois places de pénalité sur la grille de Bahreïn font partie de ses pénitences. Pour son 200e départ en Grand Prix, Webber affirme pourtant qu'il arrive avec un moral à toute épreuve, prêt à se battre jusqu'à la fin de la saison.
Jean Todt
Le président de la FIA (Fédération internationale de l'automobile), Jean Todt, fait l'objet des critiques acerbes de la presse britannique pour son absence à Bahreïn. En Grande-Bretagne, on estime que le Français n'est pas suffisamment présent au premier rang pour prendre la parole dans le climat difficile de ce Grand Prix.
Pneumatiques
La lutte entre ceux qui souhaitent une modification des pneumatiques et ceux qui espèrent la continuité s'est poursuivie à Shanghai. Il n'y a pas de raison qu'elle cesse à Bahreïn. Dans ce contexte, Pirelli a sans doute trouvé plus sage de modifier ses choix de pneumatiques en laissant tomber la gomme la plus tendre qu'elle avait annoncée il y a quelques semaines pour la remplacer par la gomme médium qui sera associée à la gomme dure. C'est le gage d'une durabilité accrue et peut-être de moins de plaintes de la part des équipes qui estiment ne pas pouvoir pousser leur mécanique à ses limites en raison de la trop forte dégradation des pneus.
Autour du Grand Prix
Nico Rosberg a effectué ses débuts à Bahreïn en 2006 au volant d'une Williams. Il devenait alors le plus jeune auteur d'un meilleur tour en course.
Il y a deux bâtiments pour la direction de course et six tracés possibles sur le site de Sakhir.
12 000 t de gravats ont été déplacés pour construire la piste qui est sortie de terre en 18 mois.
L'année dernière
1 Sebastian Vettel (GER) Red Bull RB8 1:35'10.990
2 Kimi Räikkönen (FIN) Lotus E20 +3.333
3 Romain Grosjean (FRA) Lotus E20 +10.194
4 Mark Webber (AUS) Red Bull RB8 +38.788
5 Nico Rosberg (GER) Mercedes WO3 +55.460
...
Attaque de stats
Premier Grand Prix au Moyen-Orient en 2004, l'édition 2013 sera la 9e du GP de Bahreïn (course annulée en 2011 suite au Printemps arabe).
L'année dernière, il y a eu 44 dépassements "normaux" lors de la course et quatorze de plus effectués grâce au DRS (Drag reduction System, Système de réduction de la traînée ou aileron ajustable).
Des dégagements gigantesques et l'absence d'herbe autour de la piste favorisent peu l'apparition de la Voiture de Sécurité. Cette dernière a été vue en piste une seule fois en huit courses.
La plus lointaine position de départ pour un vainqueur est la 4e place (Fernando Alonso en 2006, Jenson Button en 2009). Seules quatre courses ont été remportées de la pole position à Bahreïn.
Circuit
Pour cette quatrième course de l'année, il s'agit du troisième circuit consécutif dessiné par l'architecte Hermann Tilke. Le Circuit international de Bahreïn à Sakhir a été construit en 18 mois et sa configuration est très variée. Une version longue a été utilisée en 2010 pour le 60e anniversaire de la F1. Toutefois, puisque ce changement a en fait diminué le spectacle, les dépassements étant devenus difficiles, la configuration habituelle de 5,412 km est de retour. Seul le virage 12 est très rapide ; les autres se prennent à basse ou moyenne vitesse, ce qui met l'emphase sur une bonne motricité.
Commissaire
Mika Salo a été nommé commissaire-pilote à l'occasion du Grand Prix de Bahreïn (19 au 21 avril). Il s'agira de sa deuxième apparition dans ce rôle après le Grand Prix d'Europe à Valence la saison passée.
Le Finlandais a pris le départ de 109 courses de F1 durant sa carrière entre 1994 et 2002. Après trois saisons chez Tyrrell, il décide de rejoindre Arrows en 1998 mais l'aventure tournera court et il effectue alors un passage chez BAR puis Ferrari en 1999. La saison suivante le Finnois se retrouve chez Sauber avant de disputer ses dernières courses dans la catégorie reine du sport automobile pour Toyota.
Météo
Rarissime : il y a 10 % de chances de pluie vendredi à l'occasion de ce Grand Prix. La température devrait toutefois rester à 30°C dans l'air, ce qui promet une piste particulièrement chaude, si le soleil est de la partie comme c'est le cas habituellement. Le vent sera également un élément très important, il peut déposer d'importantes quantités de sable sur la piste, ce qui peut influer sur l'adhérence.
Pronostic ESPNF1
L'écurie Lotus avait réussi de podium l'année dernière à Bahreïn, elle est très bien partie cette année, nous mettons notre petit billet sur Enstone. Kimi Räikkönen sera notre favori, mais attention à Romain Grosjean. Son équipe a promis de lui donner enfin une voiture à la mesure de son talent et de son pilotage.
© ESPN EMEA Ltd.
http://fr.espnf1.com/bahrain/motorsport/story/105870.html
Massa et Alonso ouvrent le week-end bahreïni
Felipe Massa et Fernando Alonso, séparés par 77 millièmes, ont dominé la première séance libre du Grand Prix de Bahreïn.
Le pilote brésilien n'a pas beaucoup roulé (11 tours) mais a fait preuve d'efficacité pour signer le meilleur chrono en 1'34''487. Son coéquipier chez Ferrari a pris la deuxième place devant Nico Rosberg, loin devant Lewis Hamilton (13e à 1''3 de Massa). Sebastian Vettel, le leader du championnat, a réussi la quatrième marque de la matinée, il a été relégué à trois dixièmes du plus rapide.
Le début de journée a été calme, la piste était sale, poussiéreuse, le vent ramenait du sable sur le circuit. Et tout le monde devait économiser les gommes Pirelli. Après une première salve de tours d'installation, Sergio Pérez (11e temps) puis Nico Hülkenberg (17e) lançaient le week-end bahreïni.
Problèmes de SREC pour Grosjean
Les top teams se sont ensuite battues pour terminer devant. Force India s'est immiscé parmi les meilleures, grâce à Paul di Resta, 5e, et Adrian Sutil, 8e. Les deux VJM06 ont encadré Jenson Button et Mark Webber. Elles ont aussi devancé les deux Lotus de Kimi Räikkönen et Romain Grosjean. Avec son nouveau châssis, il a fini dixième, mais il a connu des problèmes de SREC (Système de Récupération de l'Énergie Cinétique) pendant la séance.
Les autres Français en piste ce matin ont terminé en dehors du top 10. Jean-Éric Vergne a pris la quatorzième place, Charles Pic la dix-neuvième. Le pilote Caterham a réussi à devancer le revenant Heikki Kovalainen, à le réléguer à six dixièmes. En fond de classement, Caterham a pris le dessus sur Marussia, privée de Jules Bianchi ce matin.
Le Niçois était remplacé par le Vénézuélien Rodolfo Gonzalez, il sera de retour cet après-midi. Gonzalez n'a couvert que sept tours de circuit lors des libres 1, la monoplace a connu ensuite un problème de boîte de vitesses, a annoncé l'écurie. Si elle devait être changée, Bianchi écoperait d'une pénalité sur la grille.
© ESPN EMEA Ltd
Grand Prix de Bahreïn 2013
Essais libres 1
Pilote Équipes Chrono
1 F Massa (BRA) Ferrari 1'34.487
2 F Alonso (ESP) Ferrari 1'34.564
3 N Rosberg (GER) Mercedes 1'34.621
4 S Vettel (GER) Red Bull 1'34.790
5 di Resta (GBR) Force India 1'34.949
6 J Button (GBR) McLaren 1'35.069
7 M Webber (AUS) Red Bull 1'35.101
8 A Sutil (GER) Force India 1'35.119
9 KM Räikkönen (FIN) Lotus 1'35.345
10 R Grosjean (FRA) Lotus 1'35.611
11 S Pérez (MEX) McLaren 1'35.640
12 Bottas (FIN) Williams 1'35.783
13 LC Hamilton (GBR) Mercedes 1'35.792
14 J.-É. Vergne (FRA) Toro Rosso 1'36.014
15 D Ricciardo (AUS) Toro Rosso 1'36.485
16 P Maldonado (VEN) Williams 1'36.498
17 N Hülkenberg (GER) Sauber 1'36.755
18 E Gutiérrez (MEX) Sauber 1'37.214
19 C Pic (FRA) Caterham 1'37.850
20 H Kovalainen (FIN) Caterham 1'38.401
21 M Chilton (GBR) Marussia 1'39.445
22 R Gonzalez (VEN) Marussia 1'40.215
http://fr.espnf1.com/f1/motorsport/story/106021.html
Grand Prix de Bahreïn : le circuit à la loupe
Bernie Ecclestone voulait fuir l’Europe, mondialiser la Formule 1, poser ses valises dans une nouvelle région du globe. Le Moyen-Orient et ses pétrodollars se devaient de constituer une nouvelle escale pour la catégorie reine du sport automobile. En 1999, le destin frappe à la porte : Hamad ben Issa al-Khalifa monte sur le trône du Royaume de Bahreïn suite au décès de son père. Le jeune Émir assiste au Grand Prix d’Italie la même année et un accord est immédiatement trouvé pour organiser une course sur son territoire. Trois ans plus tard, le ministre des sports bahreïni et la FOM signent : le premier Grand Prix aura lieu en 2004.
L’architecte allemand Hermann Tilke conçoit le tracé et la première pierre est posée en octobre sur le site de Sakhir, directement choisi par les autorités. L’endroit n’est en effet qu’à une trentaine de kilomètres de la capitale Manama, en plein désert. La construction prendra du retard malgré les 3.000 ouvriers venus d’Inde, du Pakistan et de Malaisie et les organisateurs demanderont à ce que la première édition soit reportée à 2005. Fidèle à lui-même, Bernie refuse, le premier Grand Prix aura bien lieu à la date prévue, sur un circuit suffisamment achevé aux yeux de l’homme d’affaires britannique pour y courir décemment.
Aujourd’hui, après un investissement de 300 millions de dollars, le complexe comprend six tracés dédiés aux différents sports mécaniques, mais tous sont victimes du même fléau : le sable. Avec le vent (relativement fort sur cette petite île de Bahreïn), celui-ci risque en effet de venir lécher la piste et de tourbillonner au point de la rendre dangereusement glissante. Heureusement, un produit adhésif est pulvérisé sur les pourtours de la piste de manière à ce que les grains de sable collent les uns aux autres. Le phénomène est donc réduit au maximum, mais la surface évolue malgré tout.
"Les conditions peuvent énormément changer durant le week-end, particulièrement avec le sable qui est soufflé sur la piste, explique Pastor Maldonado. Les équipes devront donc être prêtes à réagir aux différentes conditions. Les températures dans le cockpit seront aussi très élevées, il faut être préparé aussi bien physiquement que mentalement. Je m’attends à perdre 2 à 3 kg durant la course."
La chaleur est aussi au rendez-vous : tous les ingrédients d’un Grand Prix en plein désert sont donc réunis. Le spectacle devrait aussi faire partie de la recette tant ce tracé combine virages à haute et basse vitesse.
"Avec deux zones DRS (entre les virages T10 et T11 et sur la ligne droite de départ et d’arrivée, ndlr), je pense que nous devrions voir une bonne course, commente Sergio Pérez. Les deux meilleures opportunités de dépassement se trouvent dans les premier et quatrième virages en épingle (T1 et T4, ndlr). Ce sont deux bons endroits pour attaquer : vous pouvez pousser un autre pilote vers la ligne intérieure et puis attaquer à la sortie, quand ils sont plus vulnérables."
Mark Webber va jusqu’à décrire ce premier virage comme "le meilleur endroit pour dépasser de tout le calendrier". On y arrive en effet à plus de 300 km/h pour freiner aux alentours de 60 km/h. La différence est énorme et on peut y prendre facilement l’avantage sur un rival.
Le circuit de Sakhir est aussi le premier de l’année qui pourrait donner quelques maux de tête aux écuries en ce qui concerne le freinage. Les longues lignes droites et les importants ralentissements ne signifient qu’une chose : la moindre erreur de calcul se paye cash au niveau des freins.
"Il y a ces quelques longues lignes droites desquelles nous arrivons à pleine vitesse et nous devons freiner vraiment fort dans les virages, indique Nico Hülkenberg. Ce sera donc le casse-tête habituel entre appui et vitesse de pointe."
D’autres virages sont aussi à mettre en évidence comme le rapide enchaînement T6 et T7 ou encore le gauche T11 en montée. "Pour faire au mieux dans ces virages, vous avez besoin d’un aileron avant très efficace et de beaucoup d’adhérence", précise Jenson Button.
Malgré l’apparente difficulté du tracé et des conditions peu idéales, il est bon de noter que Sakhir est le premier circuit au monde à avoir reçu le prix de la FIA Institute Centre of Excellence Award pour la sécurité optimale qu’il offre aux pilotes. Les infrastructures d’accueil ont également été récompensées, notamment grâce à son centre médical.
Consultez la vidéo ci-dessous pour embarquer pour un tour du circuit de Sakhir avec les explications en français de Sébastien Buemi, pilote réserve de l’équipe Red Bull, depuis le simulateur de Milton Keynes
http://www.f1i.com/f1i-features/grand-prix-de-bahrein-le-circuit-a-la-loupe/
Räikkönen reprend la main
Kimi Räikkönen a réussi le meilleur temps des essais libres 2 vendredi après-midi sur le circuit de Sakhir. Il devance les deux pilotes Red Bull et Fernando Alonso.
En début de séance, il y avait seulement Red Bull et Ferrari aux avants-postes. Les Lotus étaient empêtrées dans le peloton. Le passage aux gommes mediums, beaucoup utilisées pendant cette séance, a tout changé. Là où les top teams ont gagné aux alentours d'une demi-seconde, Lotus a récupéré deux secondes pleines. Kimi Räikkönen avait tourné en 1'36''2 avec les pneus durs, il claquait un tour en 1'34''154 avec les mediums. Suffisant pour devancer de justesse Mark Webber et Sebastian Vettel, respectivement à 30 et 128 millièmes.
Son coéquipier Romain Grosjean, 7e temps, a lui gagné une seconde et demie. La différence est flagrante notamment avec un Fernando Alonso qui améliorait son chrono de sept millièmes. La bonne nouvelle pour Ferrari, c'est le rythme de la F138 en durs. Ce matin, Alonso et Massa étaient les plus rapides. Cet après-midi, c'était encore le cas pour Alonso avant l'apparition des mediums en piste.
Superbe journée pour Force India
Paul di Resta a confirmé l'excellent début de week-end réussi par Force India. L'Écossais a terminé cinquième, devant Felipe Massa, comme vendredi matin à l'occasion de la première séance libre. Adrian Sutil intègre lui aussi le top 10, avec une huitième position. Cinq équipes trustent les places dans ce top 10, la cinquième étant Mercedes. Mais les deux W04 de Nico Rosberg, 8e, et de Lewis Hamilton, 10e, ne semblent pas dans le rythme des meilleures.
C'est toujours mieux que McLaren, exclu de ce club, qui va devoir batailler pour placer au moins une voiture en Q3 samedi pendant les qualifications. Jean-Éric Vergne a pris la 12e place, Charles Pic la 19e devant les Marussia, notamment devant celle de son compatriote Jules Bianchi, 21e.
Déjà pénalisé de cinq places sur la grille pour avoir causé l'abandon d'Adrian Sutil en Chine, Esteban Gutierrez était tout proche de refaire la même erreur. Charles Pic signalait à son stand qu'il ''avait peut-être freiné un peu trop tard''. Le Mexicain s'était vu ouvrir la porte dans le virage 8, mais il avait manqué son freinage avant de toucher l'aileron arrière du pilote Caterham, de crever son pneu avant-gauche et de rentrer au stand.
Grand Prix de Bahreïn 2013
Essais libres 2
Pilote Équipes Chrono
1 KM Räikkönen (FIN) Lotus 1'34.154
2 M Webber (AUS) Red Bull 1'34.184
3 S Vettel (GER) Red Bull 1'34.282
4 F Alonso (ESP) Ferrari 1'34.310
5 di Resta (GBR) Force India 1'34.543
6 F Massa (BRA) Ferrari 1'34.552
7 R Grosjean (FRA) Lotus 1'34.631
8 N Rosberg (GER) Mercedes 1'34.666
9 A Sutil (GER) Force India 1'34.932
10 LC Hamilton (GBR) Mercedes 1'34.976
11 J Button (GBR) McLaren 1'35.356
12 J.-É. Vergne (FRA) Toro Rosso 1'35.506
13 S Pérez (MEX) McLaren 1'35.589
14 D Ricciardo (AUS) Toro Rosso 1'35.761
15 N Hülkenberg (GER) Sauber 1'36.133
16 P Maldonado (VEN) Williams 1'36.279
17 V Bottas (FIN) Williams 1'36.579
18 E Gutiérrez (MEX) Sauber 1'36.616
19 C Pic (FRA) Caterham 1'37.061
20 M Chilton (GBR) Marussia 1'37.313
21 J Bianchi (FRA) Marussia 1'37.363
22 G van der Garde (NED) Caterham 1'37.970
© ESPN EMEA Ltd
http://fr.espnf1.com/bahrain/motorsport/story/106047.html
EL3 : Alonso termine les essais en tête
Fernando Alonso a réalisé le meilleur temps de la troisième et dernière séance d’essais libres à Bahreïn.
Le pilote espagnol, qui a été victime d’un tête-à-queue à moyenne vitesse durant la session, a devancé d’un dixième le triple Champion du monde Sebastian Vettel et son équipier Mark Webber.
Quatrième à deux dixièmes de la Ferrari, Kimi Räikkönen confirme qu’il faudra également compter sur Lotus ce week-end à Sakhir, une piste qui avait déjà très bien réussi aux noir et or la saison dernière.
Lewis Hamilton et Romain Grosjean suivent, respectivement aux cinquième et sixième rangs, à seulement quelques millièmes chacun de Räikkönen. Après un Grand Prix de Chine difficile, le Français semble voir le bout du tunnel.
Le top 10 est complété par Adrian Sutil, Paul di Resta, Nico Rosberg et Nico Hülkenberg. En plaçant une nouvelle fois ses deux pilotes dans les dix premiers, Force India fait plus que jamais figure d’outsider.
Enfin, notez que Jean-Eric Vergne (16ème) a terminé à un dixième de Daniel Ricciardo. Charles Pic (18ème) a devancé son compatriote Jules Bianchi (19ème) de près d’une seconde. Caterham dispose de son premier package de nouveautés de la saison ce week-end à Sakhir.
Retrouvez ci-dessous le classement complet de cette troisième séance d'essais libres du Grand Prix de Bahreïn :
Pos Pilotes Equipes Temps Ecart Tours
01 F. Alonso Ferrari 1:33.247 12
02 S. Vettel Red Bull Racing 1:33.348 + 0.101 15
03 M. Webber Red Bull Racing 1:33.380 + 0.133 19
04 K. Räikkönen Lotus 1:33.446 + 0.199 21
05 L. Hamilton Mercedes 1:33.455 + 0.208 19
06 R. Grosjean Lotus 1:33.464 + 0.217 19
07 A. Sutil Force India 1:33.596 + 0.349 17
08 P. di Resta Force India 1:33.700 + 0.453 15
09 N. Rosberg Mercedes 1:33.764 + 0.517 19
10 N. Hulkenberg Sauber 1:33.922 + 0.675 17
11 F. Massa Ferrari 1:33.949 + 0.702 20
12 J. Button McLaren 1:34.117 + 0.870 17
13 S. Perez McLaren 1:34.282 + 1.035 18
14 D. Ricciardo Toro Rosso 1:34.577 + 1.330 16
15 V. Bottas Williams 1:34.611 + 1.364 17
16 J. Vergne Toro Rosso 1:34.678 + 1.431 16
17 P. Maldonado Williams 1:34.833 + 1.586 17
18 C. Pic Caterham 1:35.816 + 2.569 16
19 J. Bianchi Marussia 1:36.731 + 3.484 17
20 G. van der Garde Caterham 1:36.939 + 3.692 16
21 M. Chilton Marussia 1:37.630 + 4.383 7
22 E. Gutierrez Sauber 1:39.592 + 6.345 29
http://www.f1i.com/infos/el3-alonso-termine-les-essais-en-tete/
F1 - Bahreïn : Rosberg s’invite en pole position
Suivent Vettel, Alonso et Hamilton
20 avril 2013 - 14h00, par D. Thys
La température ambiante est de 34° et celle de la piste est de 42 à quelques instants de la séance qualificative du Grand Prix de Bahreïn, quatrième manche du championnat 2013 de F1.
Rappelons que Lewis Hamilton et Esteban Gutiérrez vont recevoir une pénalité de cinq places sur la grille de départ alors que Mark Webber recevra une pénalité de trois places seulement. Pour Hamilton il s’agit d’un changement anticipé de boîte de vitesses alors que les deux autres sont pénalisés pour des incidents survenus dimanche passé en Chine.
Q1 – 20 minutes
Les pilotes ne se précipitent pas en piste, car on le sait, au plus le temps passera et au plus les conditions de piste s’amélioreront, car le vent dépose toujours autant de sable sur le bitume.
Le premier chrono de référence est signé par Nico Hulkenberg en 1’34"409. Plusieurs pilotes se succèdent ensuite en tête du classement : Jean-Eric Vergne (1’34"314), Nico Rosberg (1’33"364) et Fernando Alonso (1’32"878).
A noter que les Red Bull n’ont utilisé que des pneus tendres durant cette Q1, ce qui semble montrer que cette équipe a une stratégie particulière pour la course de demain. Alonso a signé le meilleur temps en pneus durs. Les Lotus et les Mercedes étaient aussi en pneus durs.
Les six pilotes éliminés sont : Giedo van der Garde, Max Chilton, Jules Bianchi, Charles Pic, Esteban Gutiérrez et Pastor Maldonado qui a signé le même chrono que son équipier Valterri Bottas, mais après lui...
Q2 – 15 minutes
Ils ne sont plus que 16 à espérer participer à la Q3. Mark Webber est le premier à signer un chrono de référence en 1’33"907.
Sebastian Vettel le déloge aussitôt de la première place en 1’33"471 avant d’être lui-même remplacé en tête du classement par : Paul di Resta (1’33"335), Fernando Alonso (1’33"316) et Nico Rosberg (1’32"867).
A l’exception de Rosberg, Alonso, Di Resta et Hamilton, tout le monde est de retour en piste pour profiter des derniers instants de cette Q2 et seul Sebastian Vettel réussi à faire mieux que Rosberg en bouclant un tour en 1’32"746.
Les six pilotes éliminés sont : Jean-Eric Vergne, Valtteri Bottas, Nico Hulkenberg, Daniel Ricciardo, Sergio Perez et Romain Grosjean.
Q3 – 10 minutes
Ils ne sont donc plus que dix à avoir une chance de signer la pole position. Alonso, Rosberg, Hamilton et Di Resta sont les premiers à s’élancer. Sutil suit de près ses camarades.
Nico Rosberg prend immédiatement la tête en 1’32"543. Suivent Alonso, Hamilton et Di Resta. Quant à Sutil, il est rentré avant de signer un chrono.
Il reste moins de trois minutes et tout le monde se relance. Felipe Massa est le seul à avoir choisi des pneus durs. Personne ne parvient à faire mieux que Rosberg d’autant plus que ce dernier améliore en 1’32"330. C’est la deuxième pole position du pilote allemand après celle qu’il avait signé l’année passée en Chine.
Sebastian Vettel prend la deuxième place et relègue Fernando Alonso sur la deuxième ligne en compagnie de Lewis Hamilton.
Pos. Pilote Equipe Temps Q1 Temps Q2 Temps Q3
01 Nico Rosberg Mercedes AMG 1:33.364 1:32.867 1:32.330
02 Sebastian Vettel Red Bull Renault 1:33.327 1:32.746 1:32.584
03 Fernando Alonso Ferrari 1:32.878 1:33.316 1:32.667
04 Lewis Hamilton Mercedes AMG 1:33.498 1:33.346 1:32.762
05 Mark Webber Red Bull Renault 1:33.966 1:33.098 1:33.078
06 Felipe Massa Ferrari 1:33.780 1:33.358 1:33.207
07 Paul di Resta Force India Mercedes 1:33.762 1:33.335 1:33.235
08 Adrian Sutil Force India Mercedes 1:34.048 1:33.378 1:33.246
09 Kimi Raikkonen Lotus Renault 1:33.827 1:33.146 1:33.327
10 Jenson Button McLaren Mercedes 1:34.071 1:33.702 - :—.---
— ---------------- --------------- ---------- ---------- ----------
11 Romain Grosjean Lotus Renault 1:33.498 1:33.762
12 Sergio Perez McLaren Mercedes 1:34.310 1:33.914
13 Daniel Ricciardo Toro Rosso Ferrari 1:34.120 1:33.974
14 Nico Hulkenberg Sauber Ferrari 1:34.409 1:33.976
15 Valtteri Bottas Williams Renault 1:34.425 1:34.105
16 Jean-Eric Vergne Toro Rosso Ferrari 1:34.314 1:34.284
— ---------------- --------------- ---------- ---------- ----------
17 Pastor Maldonado Williams Renault 1:34.425
18 Esteban Gutierrez Sauber Ferrari 1:34.730
19 Charles Pic Caterham Renault 1:35.283
20 Jules Bianchi Marussia Cosworth 1:36.178
21 Max Chilton Marussia Cosworth 1:36.304
22 Giedo Van der Garde Caterham Renault 1:36.476
http://motorsport.nextgen-auto.com/Bahrein-Rosberg-s-invite-en-pole-position,59701.html
GP de Bahreïn – Grille de départ complète
Après une nouvelle qualification très serrée, c’est la surprise Nico Rosberg qui partira en tête lors du départ du GP de Bahreïn avec un meilleur temps en 1.32.330, suivi à plus de deux dixièmes de seconde par Sebastian Vettel et Fernando Alonso. Le pilote Ferrari a fait une petite erreur sur son dernier run, et n’a donc pas pu améliorer sa performance.
La deuxième ligne sera complètement rouge car Felipe Massa, qui s’est qualifié 6ème, partira 4ème en raison des pénalités de Mark Webber (qualifié 5ème), et Lewis Hamilton (qualifié 4ème).
La sixième place en qualification de Felipe a été meilleure que ce que la Scuderia attendait, étant donné qu’il était sur les plus durs des deux composés Pirelli, ce qui pourraient être à son avantage demain car tous les autres pilotes de Q3 devront commencer la course avec les pneus Medium.
Alonso a été le plus rapide en Q1, Massa septième, avec les deux voitures qui se sont comportées très bien sur les Hards. En Q2, tout le monde a opté pour Médiums, avec Alonso qui a réalisé qu’un seul run pour prendre la cinquième place solide. Massa a terminé huitième après avoir fait deux relais.
Résultat des qualifications
1 Nico Rosberg Mercedes
2 Sebastian Vettel Red Bull Racing-Renault
3 Fernando Alonso Ferrari
4 Lewis Hamilton Mercedes
5 Mark Webber Red Bull Racing-Renault
6 Felipe Massa Ferrari
7 Paul di Resta Force India-Mercedes
8 Adrian Sutil Force India-Mercedes
9 Kimi Räikkönen Lotus-Renault
10 Jenson Button McLaren-Mercedes
11 Romain Grosjean Lotus-Renault
12 Sergio Perez McLaren-Mercedes
13 Daniel Ricciardo STR-Ferrari
14 Nico Hulkenberg Sauber-Ferrari
15 Valtteri Bottas Williams-Renault
16 Jean-Eric Vergne STR-Ferrari
17 Pastor Maldonado Williams-Renault
18 Esteban Gutierrez Sauber-Ferrari
19 Charles Pic Caterham-Renault
20 Jules Bianchi Marussia-Cosworth
21 Giedo van der Garde Caterham-Renault
22 Max Chilton Marussia-Cosworth
Grille de départ complète après pénalités
1 Nico Rosberg Mercedes
2 Sebastian Vettel Red Bull Racing-Renault
3 Fernando Alonso Ferrari
4 Felipe Massa Ferrari
5 Paul di Resta Force India-Mercedes
6 Adrian Sutil Force India-Mercedes
7 Mark Webber Red Bull Racing-Renault
8 Kimi Räikkönen Lotus-Renault
9 Lewis Hamilton Mercedes
10 Jenson Button McLaren-Mercedes
11 Romain Grosjean Lotus-Renault
12 Sergio Perez McLaren-Mercedes
13 Daniel Ricciardo STR-Ferrari
14 Nico Hulkenberg Sauber-Ferrari
15 Valtteri Bottas Williams-Renault
16 Jean-Eric Vergne STR-Ferrari
17 Pastor Maldonado Williams-Renault
18 Esteban Gutierrez Sauber-Ferrari
19 Charles Pic Caterham-Renault
20 Jules Bianchi Marussia-Cosworth
21 Giedo van der Garde Caterham-Renault
22 Max Chilton Marussia-Cosworth
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La deuxième ligne sera complètement rouge car Felipe Massa, qui s’est qualifié 6ème, partira 4ème en raison des pénalités de Mark Webber (qualifié 5ème), et Lewis Hamilton (qualifié 4ème).
La sixième place en qualification de Felipe a été meilleure que ce que la Scuderia attendait, étant donné qu’il était sur les plus durs des deux composés Pirelli, ce qui pourraient être à son avantage demain car tous les autres pilotes de Q3 devront commencer la course avec les pneus Medium.
Alonso a été le plus rapide en Q1, Massa septième, avec les deux voitures qui se sont comportées très bien sur les Hards. En Q2, tout le monde a opté pour Médiums, avec Alonso qui a réalisé qu’un seul run pour prendre la cinquième place solide. Massa a terminé huitième après avoir fait deux relais.
Résultat des qualifications
1 Nico Rosberg Mercedes
2 Sebastian Vettel Red Bull Racing-Renault
3 Fernando Alonso Ferrari
4 Lewis Hamilton Mercedes
5 Mark Webber Red Bull Racing-Renault
6 Felipe Massa Ferrari
7 Paul di Resta Force India-Mercedes
8 Adrian Sutil Force India-Mercedes
9 Kimi Räikkönen Lotus-Renault
10 Jenson Button McLaren-Mercedes
11 Romain Grosjean Lotus-Renault
12 Sergio Perez McLaren-Mercedes
13 Daniel Ricciardo STR-Ferrari
14 Nico Hulkenberg Sauber-Ferrari
15 Valtteri Bottas Williams-Renault
16 Jean-Eric Vergne STR-Ferrari
17 Pastor Maldonado Williams-Renault
18 Esteban Gutierrez Sauber-Ferrari
19 Charles Pic Caterham-Renault
20 Jules Bianchi Marussia-Cosworth
21 Giedo van der Garde Caterham-Renault
22 Max Chilton Marussia-Cosworth
Grille de départ complète après pénalités
1 Nico Rosberg Mercedes
2 Sebastian Vettel Red Bull Racing-Renault
3 Fernando Alonso Ferrari
4 Felipe Massa Ferrari
5 Paul di Resta Force India-Mercedes
6 Adrian Sutil Force India-Mercedes
7 Mark Webber Red Bull Racing-Renault
8 Kimi Räikkönen Lotus-Renault
9 Lewis Hamilton Mercedes
10 Jenson Button McLaren-Mercedes
11 Romain Grosjean Lotus-Renault
12 Sergio Perez McLaren-Mercedes
13 Daniel Ricciardo STR-Ferrari
14 Nico Hulkenberg Sauber-Ferrari
15 Valtteri Bottas Williams-Renault
16 Jean-Eric Vergne STR-Ferrari
17 Pastor Maldonado Williams-Renault
18 Esteban Gutierrez Sauber-Ferrari
19 Charles Pic Caterham-Renault
20 Jules Bianchi Marussia-Cosworth
21 Giedo van der Garde Caterham-Renault
22 Max Chilton Marussia-Cosworth
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Grille de départ GP de Bahreïn – Analyse de Ferrari
C’est avec une deuxième ligne toute rouge que le départ du GP de Bahreïn sera donné demain.
Fernando Alonso : « C’est vraiment de bonnes nouvelles d’avoir encore réussi à bien figuré lors des qualifications, ce qui est notre talon d’Achille! C’est maintenant la troisième fois cette année que nous nous retrouvons dans le top trois et, même si habituellement le dimanche est meilleur grâce à notre rythme de course, je suis vraiment heureux de voir notre potentiel déjà maximisé le samedi. Les données observées avec les longs relais de vendredi signifient que nous pouvons être optimistes pour une course dans laquelle nos principaux adversaires sont représentés par Vettel et Red Bull devant et les lotus qui sont peut être derrière nous sur la grille, mais elles vont certainement être dans le jeu. En raison des sanctions d’Hamilton et Webber, Felipe va commencer de la quatrième position : Je pense que c’est beaucoup mieux que de me retrouver à côté de la Ferrari de mon équipier que de la Mercedes de Lewis! Nous ne découvrons pas quelle est la meilleure stratégie avant demain et il est impossible de faire des prédictions. Mais je pense que le meilleur pneu pour la course sera le dur et cela pourrait jouer en notre faveur, étant donné que c’est celui avec lequel nous avons été plus à l’aise sur tous les week-ends ».
Felipe Massa : « Je suis très heureux de l’issue de cette qualification, car en fin de compte, la décision de prendre un risque en Q3, aller dans une direction différente de celle que nous avions prévu à l’origine, s’est avéré être la meilleure. Sur le composé medium, je ne me sentais pas capable de lutter pour les premières places, la voiture avait peu d’adhérence et a beaucoup souffert à l’arrière. Même avec les pneus durs, les chances de se retrouver plus bas dans la hiérarchie étaient extrêmement élevées, mais j’ai toujours choisi de rester avec les pneus sur lesquels je me sentais plus à l’aise. Les sanctions pour deux des pilotes devant moi, Webber et Hamilton, me permettent d’être maintenant à la quatrième place sur la grille, un point de départ d’où je pourrai courir avec les leaders. Partir avec des Mediums sera certainement un avantage, mais pour avoir une bonne course, il sera vital de trouver la meilleure stratégie et de s’assurer que tout fonctionne parfaitement ».
Pat Fry : « C’était assez simple à interpréter, avec cette séance de qualification et les bonnes positions de départ, nous pouvons maintenant dire que nous sommes optimistes pour la course de demain et cela récompense également toute l’équipe pour tous leurs efforts dans l’amélioration de nos performances lors des qualifications. Parmi les mises à jour amenées ici à Bahreïn, nous avons décidé d’utiliser seulement les plus significatives, alors que nous allons introduire les autres dans les prochaines courses. Nous ne sommes pas encore là où nous voulons être, mais les écarts observés aujourd’hui nous disent que notre travail va dans la bonne direction et nous devons continuer comme ça. Demain, pour la troisième fois consécutive, Fernando partira de la troisième place, qui est sur le côté propre de la piste ici, et nous espérons que cela pourra être un avantage au départ. La quatrième place de Felipe est une bonne base sur laquelle construire une course qu’il sera couru sur une stratégie différente de son coéquipier, car il a choisi d’utiliser les pneus durs en Q3. Une fois de plus, nous pouvons nous attendre à un dimanche où les pilotes devront porter une attention particulière à la dégradation des pneus, tandis que le mur des stands devra faire les bons choix ».
Publié le 20 avril 2013 par +Cyril Grisvard dans Formule 1, News Ferrari
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Bahreïn - Les meilleurs tours en course
Pos Pilotes Equipes Temps Tours Vitesse
01 S. Vettel Red Bull Racing 1:36.961 55 200.938
02 A. Sutil Force India 1:37.070 44 200.712
03 F. Alonso Ferrari 1:37.204 41 200.436
04 N. Rosberg Mercedes 1:37.588 48 199.647
05 R. Grosjean Lotus 1:37.627 52 199.567
06 J. Button McLaren 1:37.743 49 199.330
07 S. Perez McLaren 1:37.913 41 198.984
08 K. Räikkönen Lotus 1:38.164 57 198.476
09 V. Bottas Williams 1:38.192 57 198.419
10 E. Gutierrez Sauber 1:38.202 45 198.399
11 L. Hamilton Mercedes 1:38.204 48 198.395
12 P. di Resta Force India 1:38.336 57 198.128
13 M. Webber Red Bull Racing 1:38.557 52 197.684
14 J. Bianchi Marussia 1:38.756 50 197.286
15 N. Hulkenberg Sauber 1:38.770 43 197.258
16 F. Massa Ferrari 1:38.839 42 197.120
17 P. Maldonado Williams 1:38.962 57 196.875
18 M. Chilton Marussia 1:39.279 50 196.246
19 G. van der Garde Caterham 1:39.334 49 196.138
20 C. Pic Caterham 1:39.546 37 195.720
21 D. Ricciardo Toro Rosso 1:39.579 51 195.655
22 J. Vergne Toro Rosso 1:43.107 4 188.960
http://www.toilef1.com/Bahrein-Les-meilleurs-tours-en,27517.html
01 S. Vettel Red Bull Racing 1:36.961 55 200.938
02 A. Sutil Force India 1:37.070 44 200.712
03 F. Alonso Ferrari 1:37.204 41 200.436
04 N. Rosberg Mercedes 1:37.588 48 199.647
05 R. Grosjean Lotus 1:37.627 52 199.567
06 J. Button McLaren 1:37.743 49 199.330
07 S. Perez McLaren 1:37.913 41 198.984
08 K. Räikkönen Lotus 1:38.164 57 198.476
09 V. Bottas Williams 1:38.192 57 198.419
10 E. Gutierrez Sauber 1:38.202 45 198.399
11 L. Hamilton Mercedes 1:38.204 48 198.395
12 P. di Resta Force India 1:38.336 57 198.128
13 M. Webber Red Bull Racing 1:38.557 52 197.684
14 J. Bianchi Marussia 1:38.756 50 197.286
15 N. Hulkenberg Sauber 1:38.770 43 197.258
16 F. Massa Ferrari 1:38.839 42 197.120
17 P. Maldonado Williams 1:38.962 57 196.875
18 M. Chilton Marussia 1:39.279 50 196.246
19 G. van der Garde Caterham 1:39.334 49 196.138
20 C. Pic Caterham 1:39.546 37 195.720
21 D. Ricciardo Toro Rosso 1:39.579 51 195.655
22 J. Vergne Toro Rosso 1:43.107 4 188.960
http://www.toilef1.com/Bahrein-Les-meilleurs-tours-en,27517.html
Bahreïn - La synthèse des arrêts aux stands
Arrêts Pilotes Equipes Tours Temps Total
1 E. Gutierrez Sauber 1 28.102 28.102
1 A. Sutil Force India 1 26.495 26.495
1 G. van der Garde Caterham 2 28.344 28.344
1 J. Vergne Toro Rosso 2 41.485 41.485
1 F. Alonso Ferrari 7 23.055 23.055
1 M. Webber Red Bull Racing 8 21.798 21.798
1 R. Grosjean Lotus 8 24.605 24.605
2 F. Alonso Ferrari 8 21.436 44.491
1 N. Rosberg Mercedes 9 22.237 22.237
1 J. Button McLaren 9 23.093 23.093
1 D. Ricciardo Toro Rosso 9 22.529 22.529
1 J. Bianchi Marussia 9 24.325 24.325
1 S. Vettel Red Bull Racing 10 21.660 21.660
1 F. Massa Ferrari 10 21.665 21.665
1 S. Perez McLaren 10 21.471 21.471
1 L. Hamilton Mercedes 10 22.072 22.072
1 P. Maldonado Williams 10 23.173 23.173
1 M. Chilton Marussia 10 22.745 22.745
1 C. Pic Caterham 11 22.912 22.912
1 N. Hulkenberg Sauber 12 21.656 21.656
1 V. Bottas Williams 13 22.729 22.729
1 P. di Resta Force India 14 22.009 22.009
2 G. van der Garde Caterham 14 22.950 51.294
1 K. Räikkönen Lotus 16 22.715 22.715
2 E. Gutierrez Sauber 16 21.997 50.099
2 F. Massa Ferrari 17 21.722 43.387
2 A. Sutil Force India 18 22.199 48.694
2 N. Rosberg Mercedes 20 21.331 43.568
2 S. Perez McLaren 20 21.161 42.632
2 M. Webber Red Bull Racing 21 21.221 43.019
2 J. Button McLaren 21 21.894 44.987
2 L. Hamilton Mercedes 22 21.444 43.516
2 J. Bianchi Marussia 22 23.455 47.780
2 P. Maldonado Williams 23 22.220 45.393
2 C. Pic Caterham 23 22.576 45.488
2 M. Chilton Marussia 23 24.141 46.886
3 F. Alonso Ferrari 24 21.123 1:05.614
2 S. Vettel Red Bull Racing 25 21.290 42.950
3 G. van der Garde Caterham 24 22.252 1:13.546
2 D. Ricciardo Toro Rosso 25 22.028 44.557
2 N. Hulkenberg Sauber 26 22.400 44.056
2 R. Grosjean Lotus 27 21.608 46.213
3 F. Massa Ferrari 28 21.569 1:04.956
2 V. Bottas Williams 29 28.408 51.137
3 N. Rosberg Mercedes 33 21.183 1:04.751
3 E. Gutierrez Sauber 33 22.438 1:12.537
2 K. Räikkönen Lotus 34 21.723 44.438
3 J. Button McLaren 34 21.696 1:06.683
3 C. Pic Caterham 35 23.263 1:08.751
2 P. di Resta Force India 36 22.475 44.484
4 F. Massa Ferrari 36 27.757 1:32.713
3 J. Bianchi Marussia 36 22.817 1:10.597
3 M. Webber Red Bull Racing 37 21.031 1:04.050
3 M. Chilton Marussia 37 26.004 1:12.890
3 L. Hamilton Mercedes 38 21.600 1:05.116
3 S. Perez McLaren 39 21.319 1:03.951
4 F. Alonso Ferrari 39 21.189 1:26.803
3 P. Maldonado Williams 39 22.066 1:07.459
4 G. van der Garde Caterham 39 22.380 1:35.926
3 N. Hulkenberg Sauber 41 22.814 1:06.870
3 D. Ricciardo Toro Rosso 41 22.623 1:07.180
3 S. Vettel Red Bull Racing 42 21.906 1:04.856
3 R. Grosjean Lotus 42 21.556 1:07.769
3 A. Sutil Force India 42 22.346 1:11.040
4 E. Gutierrez Sauber 43 22.246 1:34.783
4 N. Rosberg Mercedes 44 21.267 1:26.018
4 J. Button McLaren 46 21.230 1:27.913
4 M. Chilton Marussia 46 22.552 1:35.442
3 V. Bottas Williams 47 23.837 1:14.974
5 G. van der Garde Caterham 47 23.375 1:59.301
4 J. Bianchi Marussia 48 23.803 1:34.400
http://www.toilef1.com/Bahrein-La-synthese-des-arrets-aux.html
1 E. Gutierrez Sauber 1 28.102 28.102
1 A. Sutil Force India 1 26.495 26.495
1 G. van der Garde Caterham 2 28.344 28.344
1 J. Vergne Toro Rosso 2 41.485 41.485
1 F. Alonso Ferrari 7 23.055 23.055
1 M. Webber Red Bull Racing 8 21.798 21.798
1 R. Grosjean Lotus 8 24.605 24.605
2 F. Alonso Ferrari 8 21.436 44.491
1 N. Rosberg Mercedes 9 22.237 22.237
1 J. Button McLaren 9 23.093 23.093
1 D. Ricciardo Toro Rosso 9 22.529 22.529
1 J. Bianchi Marussia 9 24.325 24.325
1 S. Vettel Red Bull Racing 10 21.660 21.660
1 F. Massa Ferrari 10 21.665 21.665
1 S. Perez McLaren 10 21.471 21.471
1 L. Hamilton Mercedes 10 22.072 22.072
1 P. Maldonado Williams 10 23.173 23.173
1 M. Chilton Marussia 10 22.745 22.745
1 C. Pic Caterham 11 22.912 22.912
1 N. Hulkenberg Sauber 12 21.656 21.656
1 V. Bottas Williams 13 22.729 22.729
1 P. di Resta Force India 14 22.009 22.009
2 G. van der Garde Caterham 14 22.950 51.294
1 K. Räikkönen Lotus 16 22.715 22.715
2 E. Gutierrez Sauber 16 21.997 50.099
2 F. Massa Ferrari 17 21.722 43.387
2 A. Sutil Force India 18 22.199 48.694
2 N. Rosberg Mercedes 20 21.331 43.568
2 S. Perez McLaren 20 21.161 42.632
2 M. Webber Red Bull Racing 21 21.221 43.019
2 J. Button McLaren 21 21.894 44.987
2 L. Hamilton Mercedes 22 21.444 43.516
2 J. Bianchi Marussia 22 23.455 47.780
2 P. Maldonado Williams 23 22.220 45.393
2 C. Pic Caterham 23 22.576 45.488
2 M. Chilton Marussia 23 24.141 46.886
3 F. Alonso Ferrari 24 21.123 1:05.614
2 S. Vettel Red Bull Racing 25 21.290 42.950
3 G. van der Garde Caterham 24 22.252 1:13.546
2 D. Ricciardo Toro Rosso 25 22.028 44.557
2 N. Hulkenberg Sauber 26 22.400 44.056
2 R. Grosjean Lotus 27 21.608 46.213
3 F. Massa Ferrari 28 21.569 1:04.956
2 V. Bottas Williams 29 28.408 51.137
3 N. Rosberg Mercedes 33 21.183 1:04.751
3 E. Gutierrez Sauber 33 22.438 1:12.537
2 K. Räikkönen Lotus 34 21.723 44.438
3 J. Button McLaren 34 21.696 1:06.683
3 C. Pic Caterham 35 23.263 1:08.751
2 P. di Resta Force India 36 22.475 44.484
4 F. Massa Ferrari 36 27.757 1:32.713
3 J. Bianchi Marussia 36 22.817 1:10.597
3 M. Webber Red Bull Racing 37 21.031 1:04.050
3 M. Chilton Marussia 37 26.004 1:12.890
3 L. Hamilton Mercedes 38 21.600 1:05.116
3 S. Perez McLaren 39 21.319 1:03.951
4 F. Alonso Ferrari 39 21.189 1:26.803
3 P. Maldonado Williams 39 22.066 1:07.459
4 G. van der Garde Caterham 39 22.380 1:35.926
3 N. Hulkenberg Sauber 41 22.814 1:06.870
3 D. Ricciardo Toro Rosso 41 22.623 1:07.180
3 S. Vettel Red Bull Racing 42 21.906 1:04.856
3 R. Grosjean Lotus 42 21.556 1:07.769
3 A. Sutil Force India 42 22.346 1:11.040
4 E. Gutierrez Sauber 43 22.246 1:34.783
4 N. Rosberg Mercedes 44 21.267 1:26.018
4 J. Button McLaren 46 21.230 1:27.913
4 M. Chilton Marussia 46 22.552 1:35.442
3 V. Bottas Williams 47 23.837 1:14.974
5 G. van der Garde Caterham 47 23.375 1:59.301
4 J. Bianchi Marussia 48 23.803 1:34.400
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GP de Bahreïn : Vettel, les Lotus, et de l’action !
Ecrit le dimanche 21 avril 2013 à 15:43, par Guillaume Navarro
Sebastian Vettel a remporté le 28ème succès de sa carrière, aujourd’hui à Bahreïn, dépassant le record de Sir Jackie Stewart. L’Allemand de l’équipe Red Bull se succède à lui-même sur le tracé de Sakhir, dominé par le même top 3 que l’an dernier, complété par les Lotus de Kimi Räikkönen et Romain Grosjean. Une grande bataille à tous les niveaux a offert un Grand Prix haletant.
— -
Rosberg défend de toutes parts
Le départ du Grand Prix de Bahreïn est donné par 29°C dans l’air et 41°C en piste. Nico Rosberg, poleman avec Mercedes, est contraint de défendre dès le départ sur un assaut de Vettel, en se rabattant vers le muret des stands. Une brèche laissée ouverte par le champion allemand, qui ne peut contrer Alonso, glissant derrière Rosberg au premier virage. Le pilote Ferrari ne reste à cette position que jusqu’au 7ème virage, où Vettel fait l’intérieur proprement et reprend son bien.
Alors que Di Resta a pris le dessus sur Massa pour la 4ème place, Rosberg doit défendre de toutes parts devant. Vettel se montre agressif dans les rétroviseurs du pilote Mercedes au second passage et trouve la solution au tour 3. Une queue se forme derrière celui qui signait samedi la seconde pole de sa carrière. Alonso passe Rosberg au 5ème passage après plusieurs tentatives, imité par un Di Resta très en verve avec la Force India.
Les pilotes McLaren prennent un bon départ et remontent vite dans la hiérarchie durant les premiers tours, extrêmement disputés à tous les niveaux. Parti 10ème, Button est 7ème après 5 boucles, tandis que Pérez s’est également frayé un chemin devant les deux Lotus, occupant la 8ème position dans le style attendu d’un pilote McLaren. Début de course difficile pour Vergne et Gutierrez, contraints à passer par les stands, respectivement en raison d’une crevaison à l’arrière droit et de dégâts sur la monoplace.
Alonso trahi par son DRS
Un tournant de la course intervient vite, le DRS (aileron arrière mobile) de Fernando Alonso restant ouvert sur toute la distance du tour. Un dysfonctionnement qui contraint le Double Champion du Monde à passer par les stands pour une intervention manuelle rustique à coups de poings au 8ème passage. L’aileron de la Ferrari ne se referme pas lorsque l’Espagnol retente une utilisation en piste. Le voilà condamné à faire un second passage aux stands consécutif au 9ème passage pour refermer le système dont il ne pourra plus de servir de toute la course.
A la faveur de gains de places à la régulière et d’une stratégie le voyant rester en piste avec les mediums bien plus longtemps que les gros bras, Paul Di Resta mène son tout premier Grand Prix au volant de la Force India, qui s’invite décidemment de plus en plus souvent devant cette saison. Il est suivi au 13ème passage par la Lotus de Räikkönen (lui aussi en mediums) et Vettel, ayant observé un arrêt et n’évoluant qu’à 5.5 sec de la tête.
Très bien remonté depuis sa 7ème position au départ, Webber est 4ème, alors que la bataille fait rage derrière entre Rosberg, Button, Pérez, et Grosjean. Di Resta (T14) et Räikkönen (T16) plongent dans les stands, se gardant ouverte l’option d’une stratégie à deux arrêts. Räikkönen laisse cependant filer de grosses poignées de dixièmes à chaque tour en restant en piste. Vettel reprend le commandement de la course. Alonso occupe la 13ème position, à 30 secondes de l’Allemand.
Les deux Red Bull brièvement aux commandes
Les stratégies commencent à se dévoiler, alors que certains pilotes, à l’image de Sutil, observent leur second arrêt. Red Bull occupe les devants de la scène, Vettel devançant son coéquipier Webber de 12 secondes au 19ème passage. Jenson Button prend le dessus sur Nico Rosberg pour la 3ème place. L’Allemand est désormais sous la pression de Grosjean et Pérez, calés dans son aileron arrière. Alonso, dans le peloton, est à 10 secondes de ces hommes mais doit observer un arrêt de plus.
Webber et Button s’arrêtent pour la seconde fois au 21ème passage. Toujours dans DRS, Alonso passe pour la troisième fois dans la pitlane au 25ème tour et chausse comme Webber les pneus durs. Vettel, leader, passe lui aussi dans le box à la 26ème boucle.
McLaren laisse ses deux pilotes (5ème et 6ème) en découdre en piste sans consignes, ce qui se traduit par une belle passe d’armes, Pérez se montrant agressif sur Button, à la faveur du DRS. Le Mexicain, observé par la famille Slim ayant fait le déplacement à Bahreïn ce weekend, a cependant du mal à contenir sa fougue et laisse un appendice d’aileron avant sur l’arrière de la monoplace de son coéquipier.
Des batailles à tous les niveaux
A la mi-course, les explications stratégiques ou directement en piste dans le top 8 ne cessent pas entre les Red Bull, Force India, McLaren et Mercedes. Ferrari est le grand absent, Massa ayant signé un troisième arrêt au 29ème tour. Grosjean, auteur d’un GP solide, s’intercale entre les deux McLaren, qui débattent dangereusement. L’autre Lotus de Räikkönen pointe au second rang après avoir pris le dessus sur la Force India de Di Resta pour la seconde place. Vettel dispose d’une avance confortable de 20 secondes.
Le chemin de croix de Massa se poursuit, avec une crevaison de Massa au 37 tours. Le Brésilien en est quitte pour un 4ème passage aux stands. Avec Force India, Di Resta dispose d’une réelle chance de décrocher un solide podium à Bahreïn, et concrétiser un réel rythme affiché sur un tour comme sur la distance depuis le début de la saison. L’Ecossais a pourtant fort à faire, devant retenir une meute constituée de Webber, Grosjean, Button, Rosberg, Hamilton, Pérez et Alonso, tous à moins de 15 secondes à 13 tours de l’arrivée.
De son côté, Vettel évolue en tête avec une avance de 9 secondes sur Räikkönen, son adversaire direct au championnat. Un écart qu’il parvient à maintenir dans les boucles suivantes. Pérez ne rend pas la remontée valeureuse de Fernando Alonso aisée. L’Espagnol passe cependant le pilote McLaren au chausse-pied à 10 tours de l’arrivée, et pointe 7ème. Le pilote Ferrari dispose maintenant du contact visuel avec Webber (5ème) et Hamilton (6ème).
Grosjean brise le rêve de Force India au 52ème des 57 passages, prenant le dessus sur l’Ecossais après une remontée inexorable. Le top 3 est le même qu’en 2012 : Vettel mène devant les deux Lotus.
La lutte est intense jusque dans les derniers mètres. Webber et Hamilton de disputent rageusement la 5ème place, tandis que Pérez et Alonso n’ont pas terminé leur explication pour le 7ème rang. Regroupés dans 2 secondes, ces quatre pilotes font le spectacle jusqu’en fin de course, alors que Vettel s’adjuge avec brio le meilleur tour en course en toute fin de GP.
Vaillant, Pérez a non seulement le dernier mot sur Alonso, mais également sur Webber dans le dernier tour, et prend la 6ème place pour McLaren.
http://www.toilef1.com/GP-de-Bahrein-Vettel-les-Lotus-et.html
Sebastian Vettel a remporté le 28ème succès de sa carrière, aujourd’hui à Bahreïn, dépassant le record de Sir Jackie Stewart. L’Allemand de l’équipe Red Bull se succède à lui-même sur le tracé de Sakhir, dominé par le même top 3 que l’an dernier, complété par les Lotus de Kimi Räikkönen et Romain Grosjean. Une grande bataille à tous les niveaux a offert un Grand Prix haletant.
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Rosberg défend de toutes parts
Le départ du Grand Prix de Bahreïn est donné par 29°C dans l’air et 41°C en piste. Nico Rosberg, poleman avec Mercedes, est contraint de défendre dès le départ sur un assaut de Vettel, en se rabattant vers le muret des stands. Une brèche laissée ouverte par le champion allemand, qui ne peut contrer Alonso, glissant derrière Rosberg au premier virage. Le pilote Ferrari ne reste à cette position que jusqu’au 7ème virage, où Vettel fait l’intérieur proprement et reprend son bien.
Alors que Di Resta a pris le dessus sur Massa pour la 4ème place, Rosberg doit défendre de toutes parts devant. Vettel se montre agressif dans les rétroviseurs du pilote Mercedes au second passage et trouve la solution au tour 3. Une queue se forme derrière celui qui signait samedi la seconde pole de sa carrière. Alonso passe Rosberg au 5ème passage après plusieurs tentatives, imité par un Di Resta très en verve avec la Force India.
Les pilotes McLaren prennent un bon départ et remontent vite dans la hiérarchie durant les premiers tours, extrêmement disputés à tous les niveaux. Parti 10ème, Button est 7ème après 5 boucles, tandis que Pérez s’est également frayé un chemin devant les deux Lotus, occupant la 8ème position dans le style attendu d’un pilote McLaren. Début de course difficile pour Vergne et Gutierrez, contraints à passer par les stands, respectivement en raison d’une crevaison à l’arrière droit et de dégâts sur la monoplace.
Alonso trahi par son DRS
Un tournant de la course intervient vite, le DRS (aileron arrière mobile) de Fernando Alonso restant ouvert sur toute la distance du tour. Un dysfonctionnement qui contraint le Double Champion du Monde à passer par les stands pour une intervention manuelle rustique à coups de poings au 8ème passage. L’aileron de la Ferrari ne se referme pas lorsque l’Espagnol retente une utilisation en piste. Le voilà condamné à faire un second passage aux stands consécutif au 9ème passage pour refermer le système dont il ne pourra plus de servir de toute la course.
A la faveur de gains de places à la régulière et d’une stratégie le voyant rester en piste avec les mediums bien plus longtemps que les gros bras, Paul Di Resta mène son tout premier Grand Prix au volant de la Force India, qui s’invite décidemment de plus en plus souvent devant cette saison. Il est suivi au 13ème passage par la Lotus de Räikkönen (lui aussi en mediums) et Vettel, ayant observé un arrêt et n’évoluant qu’à 5.5 sec de la tête.
Très bien remonté depuis sa 7ème position au départ, Webber est 4ème, alors que la bataille fait rage derrière entre Rosberg, Button, Pérez, et Grosjean. Di Resta (T14) et Räikkönen (T16) plongent dans les stands, se gardant ouverte l’option d’une stratégie à deux arrêts. Räikkönen laisse cependant filer de grosses poignées de dixièmes à chaque tour en restant en piste. Vettel reprend le commandement de la course. Alonso occupe la 13ème position, à 30 secondes de l’Allemand.
Les deux Red Bull brièvement aux commandes
Les stratégies commencent à se dévoiler, alors que certains pilotes, à l’image de Sutil, observent leur second arrêt. Red Bull occupe les devants de la scène, Vettel devançant son coéquipier Webber de 12 secondes au 19ème passage. Jenson Button prend le dessus sur Nico Rosberg pour la 3ème place. L’Allemand est désormais sous la pression de Grosjean et Pérez, calés dans son aileron arrière. Alonso, dans le peloton, est à 10 secondes de ces hommes mais doit observer un arrêt de plus.
Webber et Button s’arrêtent pour la seconde fois au 21ème passage. Toujours dans DRS, Alonso passe pour la troisième fois dans la pitlane au 25ème tour et chausse comme Webber les pneus durs. Vettel, leader, passe lui aussi dans le box à la 26ème boucle.
McLaren laisse ses deux pilotes (5ème et 6ème) en découdre en piste sans consignes, ce qui se traduit par une belle passe d’armes, Pérez se montrant agressif sur Button, à la faveur du DRS. Le Mexicain, observé par la famille Slim ayant fait le déplacement à Bahreïn ce weekend, a cependant du mal à contenir sa fougue et laisse un appendice d’aileron avant sur l’arrière de la monoplace de son coéquipier.
Des batailles à tous les niveaux
A la mi-course, les explications stratégiques ou directement en piste dans le top 8 ne cessent pas entre les Red Bull, Force India, McLaren et Mercedes. Ferrari est le grand absent, Massa ayant signé un troisième arrêt au 29ème tour. Grosjean, auteur d’un GP solide, s’intercale entre les deux McLaren, qui débattent dangereusement. L’autre Lotus de Räikkönen pointe au second rang après avoir pris le dessus sur la Force India de Di Resta pour la seconde place. Vettel dispose d’une avance confortable de 20 secondes.
Le chemin de croix de Massa se poursuit, avec une crevaison de Massa au 37 tours. Le Brésilien en est quitte pour un 4ème passage aux stands. Avec Force India, Di Resta dispose d’une réelle chance de décrocher un solide podium à Bahreïn, et concrétiser un réel rythme affiché sur un tour comme sur la distance depuis le début de la saison. L’Ecossais a pourtant fort à faire, devant retenir une meute constituée de Webber, Grosjean, Button, Rosberg, Hamilton, Pérez et Alonso, tous à moins de 15 secondes à 13 tours de l’arrivée.
De son côté, Vettel évolue en tête avec une avance de 9 secondes sur Räikkönen, son adversaire direct au championnat. Un écart qu’il parvient à maintenir dans les boucles suivantes. Pérez ne rend pas la remontée valeureuse de Fernando Alonso aisée. L’Espagnol passe cependant le pilote McLaren au chausse-pied à 10 tours de l’arrivée, et pointe 7ème. Le pilote Ferrari dispose maintenant du contact visuel avec Webber (5ème) et Hamilton (6ème).
Grosjean brise le rêve de Force India au 52ème des 57 passages, prenant le dessus sur l’Ecossais après une remontée inexorable. Le top 3 est le même qu’en 2012 : Vettel mène devant les deux Lotus.
La lutte est intense jusque dans les derniers mètres. Webber et Hamilton de disputent rageusement la 5ème place, tandis que Pérez et Alonso n’ont pas terminé leur explication pour le 7ème rang. Regroupés dans 2 secondes, ces quatre pilotes font le spectacle jusqu’en fin de course, alors que Vettel s’adjuge avec brio le meilleur tour en course en toute fin de GP.
Vaillant, Pérez a non seulement le dernier mot sur Alonso, mais également sur Webber dans le dernier tour, et prend la 6ème place pour McLaren.
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GP de Bahreïn : Faits marquants
ESPNF1 fait le tour : le bon, le mauvais et le surprenant du week-end du Grand Prix de Bahreïn, quatrième manche du championnat 2013, couru sur le circuit de Sakhir. Du déjà vu dans le désert !
La promenade de Vettel
Voilà une tendance : la combinaison des deux plus durs pneumatiques de la gamme Pirelli a été offerte à deux reprises cette saison, soit en Malaisie et à Bahreïn, et Vettel a remporté ces deux courses. Il n'est donc pas surprenant que Red Bull fasse du lobbying pour que le manufacturier italien durcisse la totalité de sa gamme avant d'entamer le reste de la saison. Pendant ce temps, huit autres équipes ont demandé à Pirelli de maintenir son habitude d'offrir des gommes dont les types ne sont pas nécessairement en séquence parmi les choix disponibles (dure, médium, tendre et super tendre).
Toutefois, soulignons que la victoire de Vettel n'était pas entièrement dépendante des gommes. Son coéquipier Mark Webber avait clairement des problèmes avec ses pneus à Bahreïn, tandis que Vettel semblait avoir trouvé les bons réglages dès le début du week-end. Soulignons également que Kimi Räikkönen a très bien réussi sa stratégie à deux arrêts (et non trois comme le vainqueur). Si le pilote Lotus avait été mieux placé sur la grille de départ, il aurait probablement directement menacé Vettel au lieu de terminer une dizaine de secondes plus loin. Situation similaire pour Romain Grosjean, 3e à l'arrivée aux commandes de l'autre Lotus.
De son côté, Ferrari est convaincue que Fernando Alonso aurait eu de très bonnes chances de remporter cette course si ce n'avait été de son problème de DRS. Le volet est resté bloqué dans sa position ouverte tôt dans la course, nécessitant deux passages par les stands (incluant un changement de pneus) pour le fermer. L'équipe a ensuite avisé Alonso de ne plus s'en servir ; il était le 8e à passer sous le drapeau à damier. Ce qui semble très clair, c'est que les prochaines courses s'annoncent aussi compétitives que les premières. Sans oublier que toutes les écuries auront d'importantes évolutions pour la cinquième manche de l'année, cette fois en Espagne.
Le retour de Romain
Autant Kimi Räikkönen est impressionnant depuis le début de la saison, autant les performances de Romain Grosjean étaient plutôt pâles. Le pilote Lotus commet moins d'erreurs qu'en 2012, ce qui est bien, mais son rythme laissait à désirer. Après avoir tenté de résoudre la situation par plusieurs moyens, l'équipe a décidé de lui donner un nouveau châssis ce week-end à Bahreïn. On considère souvent cela comme un dernier recours, et c'est risqué, car c'est également une façon pour l'équipe de déterminer si le pilote lui-même est en cause. Ferrari avait fait la même chose avec Felipe Massa l'an dernier pour arriver à cette conclusion ; Massa s'est depuis repris en main.
Grosjean ne subissait pas autant de pression ce week-end, mais il devait réaliser de meilleures performances dans un court délai. Il a fait beaucoup plus que cela. Son rythme et sa gestion de la course étaient comparables à ses plus belles performances de 2012. Et nous ne pourrions dire que la tâche a été facile, comme en témoigne toute l'action roues-contre-roues vue en piste dimanche. Grosjean a démontré une certaine maturité et sa récompense fut une place sur le podium, son premier depuis le GP de Hongrie en juillet dernier. Lotus n'a peut-être pas remporté la victoire à Bahreïn, mais ses deux pilotes étaient réunis sur le podium (comme l'an dernier). L'équipe a battu toutes les voitures du plateau sauf une, et Lotus se trouve maintenant à 16 points du leader du championnat des constructeurs, Red Bull. Un bon résultat auquel Grosjean a participé, son nouveau châssis aidant.
La réponse de Pérez
Après trois performances plutôt anonymes pour Sergio Pérez au sein de sa nouvelle écurie, McLaren, le patron Martin Whitmarsh lui a demandé de "s'endurcir", jugeant qu'il avait été jusque-là "trop poli" en piste. Nous pouvons dire que le pilote mexicain a suivi le conseil de Whitmarsh à la lettre lors du GP de Bahreïn. Pérez a attaqué tout ce qui bougeait, incluant son coéquipier Jenson Button, et ce plus d'une fois. Quelques contacts ont eu lieu et ils ont même frôlé le désastre. Le pilote senior de McLaren, bien que correct comme toujours, n'était pas très impressionné par l'approche de son jeune coéquipier.
"Quelque chose de sérieux risque de se passer bientôt, alors il doit se calmer", a déclaré Button après la course. "J'ai déjà connu des combats durement menés en F1, mais rien d'aussi sale que cela." Pérez a admis qu'il en avait probablement trop fait, mais il ne sera sûrement pas déçu du résultat : pour la première fois cette année, il semblait en mesure de menacer Button. Si Pérez parvient à maîtriser cette agressivité en piste, la nouvelle confiance qu'il est en train de développer au volant de la McLaren lui sera très utile en Espagne, où la monoplace devrait être plus compétitive grâce à de nombreuses évolutions.
Pirelli sous pression
La majorité des gens sont plutôt heureux de voir à quel point les gommes Pirelli ajoutent au spectacle. Nous nous sommes d'ailleurs montrés généralement favorables aux efforts de l'entreprise italienne. Mais la course sur le circuit de Sakhir soulève quelques inquiétudes quant à la résistance des pneumatiques. Du moins, c'était le cas à Bahreïn ce week-end, sur ce circuit et dans ces conditions très chaudes. Le pneu arrière délaminé sur la Mercedes de Lewis Hamilton, lors de la troisième période d'essais libres, n'a toujours pas été expliqué. Comme événement isolé, on ne se poserait pas trop de questions. Mais les problèmes rencontrés par Felipe Massa, qui a dû passer deux fois par le stand Ferrari pendant la course pour remplacer un pneu arrière en très mauvais état, a certainement sonné quelques alarmes dans le clan Pirelli.
Dans le cas de Massa, le premier incident était très similaire à celui de Hamilton, tandis que le deuxième semble être dû à des dommages causés par des débris en piste. Mais il faut toutefois se demander si de telles défaillances ne sont que des coïncidences. Quoi qu'il en soit, Pirelli devra mener son enquête et rapidement déterminer les causes. Si des changements doivent être apportés ou des paramètres d'utilisations précisés, les équipes voudront le savoir avant la prochaine course.
Pénalité injuste ?
Le problème de pneumatique de Lewis Hamilton, même s'il est survenu pendant les essais de samedi matin, à eu une influence non négligeable sur sa course. Suite au délaminage, la suspension de sa Mercedes a été endommagée et cela a eu comme effet d'endommager la boîte de vitesses, qui a dû être changée avant d'entamer les qualifications. Cela signifie que Hamilton a reçu une pénalité automatique, soit un recul de cinq places sur la grille de départ, alors que Mercedes n'était aucunement responsable des dommages subis par la boîte de vitesses. C'est la défaillance d'un pneumatique Pirelli qui est à la source d'une chaîne d'événements ayant mené au changement de la boîte, et ensuite à l'émission d'une pénalité.
Ross Brawn, le patron de Mercedes, a raison de dire qu'il faudrait revoir le règlement lorsqu'une "influence externe" est à l'origine d'un changement de boîte. Mais il a également raison de spécifier que de telles situations sont rarement très claires, donc il n'y aura pas de solution facile (c'est rarement le cas en F1, n'est-ce pas ?). Peut-être qu'un système pourrait être mis en place pour que les équipes puissent porter de telles pénalités en appel, mais il faudrait alors qu'une décision soit prise avant de publier les positions sur la grille de départ, car cela a une influence sur les préparatifs des équipes. Cela signifie que toute décision sera le résultat d'une enquête rapide, ce qui n'est pas toujours une bonne chose. De toute évidence, il n'y a pas de solution simple. Mais l'exemple de Hamilton aura servi à démonter que l'application du règlement actuel, dans ce cas particulier, semble injuste.
Pendant ce temps, à Bahreïn...
Pour une deuxième année consécutive, le Grand Prix de Bahreïn a eu lieu pendant que des manifestations antigouvernementales avaient lieu ailleurs dans le petit royaume du Golfe persique. Le week-end s'est déroulé sous haute protection, donc il y avait très peu de chances que des manifestants parviennent à perturber le programme du circuit de Sakhir, entouré par de hautes clôtures. Des rapports provenant de différentes régions du pays faisaient état de groupes d'opposition tentant de profiter de la présence de la F1 pour attirer l'attention des médias du monde à leur cause. Dans certains cas, il y a eu des heurts avec les forces policières et l'utilisation de gaz lacrymogènes.
Le plus grand de ces groupes d'opposition, Al-Wefaq, a appelé les gens à manifester de manière pacifique. Des dizaines de milliers de personnes ont marché sur l'autoroute Budaiya, réussissant ainsi à atteindre leur objectif : la presse internationale a parlé de cet événement et des raisons de son existence. Comparé aux violences dont les équipes ont été témoin l'an dernier, cette façon de faire est sûrement plus productive en termes de pourparlers nationaux, mais aussi en termes de couverture par les médias étrangers, qui ont rapporté les enjeux très compliqués affectant le pays.
Quant au Grand Prix de Bahreïn lui-même, le Prince héritier Salman bin Hamad Al-Khalifa a minimisé les accusations formulées par des groupes d'opposition à l'effet que l'élite dirigeante se sert de la course à des fins de propagande, pour donner l'impression au monde entier que tout se déroule normalement au pays. "Nous ne nous sommes jamais servis de cette course pour dire que tout va bien", a-t-il déclaré. "Nous reconnaissons qu'il y a des problèmes au pays, mais ils doivent être résolus par un processus politique déjà bien avancé." Il y a quelques jours, la FIA et la FOM émettaient un communiqué conjoint pour déclarer que "le sport peut souvent faire œuvrer pour le meilleur."
Les deux dernières années ont démontré que la F1 peut se rendre à Bahreïn pour y tenir une course. Mais à savoir si la discipline doit le faire, la question demeure ouverte.
Les histoires du week-end
Choc : Nico Rosberg - Personne ne pensait le voir en pole position même au début de la Q3, mais le pilote Mercedes a réalisé un excellent et impressionnant chrono. Malheureusement, le rythme n'y était plus pendant la course.
Choquant : Ferrari - Deux problèmes de DRS pour Fernando Alonso et deux problèmes de pneus pour Felipe Massa. 3e et 4e sur la grille de départ, ils étaient 8e et 15e à l'arrivée.
Meilleur dépassement : Sergio Pérez - Le pilote McLaren a mené plus d'une attaque pendant la course, mais il faut souligner son dépassement musclé au détriment d'Alonso dans le virage 4.
Meilleur tour : Sebastian Vettel - Son premier tour était crucial. Le pilote Red Bull, et futur vainqueur, a brillamment réussi sa manœuvre en se détachant d'Alonso dès la première opportunité.
Pire tour : Fernando Alonso - À la fin du 7e tour, Alonso s'est dirigé vers le stand Ferrari avec un DRS bloqué en position ouverte. De retour en piste, il l'a actionné de nouveau et devinez quoi ? Le DRS s'est de nouveau bloqué.
Performance du jour : Romain Grosjean - Il a frayé son chemin à travers le peloton au cours d'une épreuve mouvementée, exécutant des manœuvres parfaitement réfléchies. Son premier podium de l'année est entièrement mérité.
http://fr.espnf1.com/bahrain/motorsport/story/106443.html
Classement général de la saison 2013 de Formule 1
Classement des pilotes
Pos Pilote Equipe Points
01 S. Vettel Red Bull Racing 77
02 K. Räikkönen Lotus 67
03 L. Hamilton Mercedes 50
04 F. Alonso Ferrari 47
05 M. Webber Red Bull Racing 32
06 F. Massa Ferrari 30
07 R. Grosjean Lotus 26
08 P. di Resta Force India 20
09 N. Rosberg Mercedes 14
10 J. Button McLaren 13
11 S. Pérez McLaren 10
12 A. Sutil Force India 6
13 D. Ricciardo Toro Rosso 6
14 N. Hülkenberg Sauber 5
15 J.-E. Vergne Toro Rosso 1
Classement des constructeurs
Pos Equipe Moteur Points
01 Red Bull Renault 109
02 Lotus Renault 93
03 Ferrari Ferrari 77
04 Mercedes Mercedes 64
05 Force India Mercedes 26
06 McLaren Mercedes 23
07 Toro Rosso Ferrari 7
08 Sauber Ferrari 5
http://www.f1i.com/classements/
Pos Pilote Equipe Points
01 S. Vettel Red Bull Racing 77
02 K. Räikkönen Lotus 67
03 L. Hamilton Mercedes 50
04 F. Alonso Ferrari 47
05 M. Webber Red Bull Racing 32
06 F. Massa Ferrari 30
07 R. Grosjean Lotus 26
08 P. di Resta Force India 20
09 N. Rosberg Mercedes 14
10 J. Button McLaren 13
11 S. Pérez McLaren 10
12 A. Sutil Force India 6
13 D. Ricciardo Toro Rosso 6
14 N. Hülkenberg Sauber 5
15 J.-E. Vergne Toro Rosso 1
Classement des constructeurs
Pos Equipe Moteur Points
01 Red Bull Renault 109
02 Lotus Renault 93
03 Ferrari Ferrari 77
04 Mercedes Mercedes 64
05 Force India Mercedes 26
06 McLaren Mercedes 23
07 Toro Rosso Ferrari 7
08 Sauber Ferrari 5
http://www.f1i.com/classements/
F1 - GP DE BAHREÏN : LE BILAN ÉQUIPE PAR ÉQUIPE
La 4ème manche de la saison 2013 de Formule 1, dimanche à Bahreïn, a permis à Red Bull, privé de podium en Chine, de reprendre la main grâce à la deuxième victoire de Sebastian Vettel en trois courses, alors que Ferrari a pour une fois complètement raté son dimanche.
En hausse : Red Bull, Lotus, Force India, Caterham
Red Bull : victoire de Vettel, Webber 7ème
Course parfaite de Vettel, leader pendant 51 des 57 tours, grâce au très bon comportement de sa voiture en pneus durs, ceux qu'il avait justement économisés samedi en qualifications. Pour son 200ème GP, Webber a mis tellement d'énergie à animer le peloton qu'il a terminé avec des pneus détruits qui lui ont fait perdre deux places en deux tours, alors qu'il aurait pu espérer la 5ème place. Après le doublé polémique de Malaisie, un résultat très convaincant pour les champions du monde en titre.
Lotus : Räikkönen 2ème, Grosjean 3ème
Le Finlandais, grâce à sa stratégie à deux arrêts, a obtenu le maximum de ce qu'il pouvait espérer, comme souvent, et il a été rejoint sur le podium par son équipier français, enfin rassuré après deux mois de doutes divers et variés, sur sa voiture et son pilotage. Grosjean, parti sur une stratégie différente, a dû faire un arrêt de plus mais n'a terminé qu'à 10 secondes de Räikkönen pour monter sur son 4ème podium de F1, un an après le tout premier.
Force India : di Resta 4ème, Sutil 13ème
Les deux Force India sont allées en Q3 et étaient même très bien placées sur la grille (3ème ligne) grâce aux pénalités de Webber et Hamilton. Sutil s'est fait crever un pneu par Massa au premier tour, ce qui a gâché toutes ses chances, alors que di Resta, grâce à une stratégie à deux arrêts, a égalé son meilleur résultat en F1 et encore marqué de gros points, qui permettent à l'écurie indienne de dépasser McLaren au classement constructeurs. Un petit événement.
Caterham : Pic 17ème, van der Garde 21ème
Le classement ne le montre pas vraiment, mais l'écurie malaisienne désormais dirigée par Cyril Abiteboul a fait son meilleur week-end de 2013, grâce à un nouveau package aérodynamique très apprécié par Pic, qui a toujours été devant les Marussia, tout le week-end, et a même pu suivre en course le rythme des Sauber et des Williams.
Stables : Mercedes, McLaren, Williams
Mercedes : Hamilton 5ème, Rosberg 9ème
La pole position de Rosberg, associée à une 4e place de Hamilton en qualifications, a montré que les voitures allemandes étaient toujours dans le coup, en performance pure, mais leur fâcheuse tendance à dégrader les pneus les a empêchées de viser le podium, surtout Rosberg qui a dû s'arrêter une quatrième fois en fin de course, alors que Hamilton, à force d'acharnement, a réussi à terminer dans le Top 5, malgré des pneus détruits.
McLaren : Pérez 6ème, Button 10ème
Les deux voitures anglaises sont dans les points, ce qui n'était encore jamais arrivé cette saison, et Pérez a fait le spectacle, en toute liberté, admettant quand même après la course qu'il aurait pu être moins agressif envers son équipier. Button a en effet torpillé ses pneus en essayant de résister à Pérez, une bagarre parmi d'autres dans un peloton déchaîné. "Nos pilotes sont là pour faire la course", a résumé Martin Whitmarsh, le Team Principal.
Williams : Maldonado 11ème, Bottas 14ème
C'est peut-être le début de la remontée vers la surface pour l'équipe de Sir Frank, un an après la victoire-surprise de Barcelone. Maldonado a terminé à la porte des points alors que Bottas s'est battu courageusement de bout en bout, après avoir touché Vergne au premier tour. L'écurie anglaise a arrêté de couler, c'est déjà un point positif.
En baisse : Ferrari, Sauber, Toro Rosso, Marussia
Ferrari : Alonso 8ème, Massa 15ème
Les deux F138 étaient encore très rapides aux essais, et bien placées sur la 2ème ligne, mais elles ont totalement raté leur dimanche. Alonso a choisi de s'arrêter très tôt pour changer de pneus, puis a dû revenir deux fois au stand, son aileron arrière étant bloqué. Après, il n'a plus pu utiliser son DRS (aileron arrière ajustable) pour doubler mais est quand même bien remonté, jusqu'à ce qu'il bute en fin de course sur Pérez, ce qui l'a beaucoup énervé. Massa a fait une course à oublier au plus vite, gâchée par deux crevaisons, et a obligé les pilotes plus rapides que lui, comme Grosjean, à prendre de gros risques pour le dépasser.
Sauber : Hülkenberg 12ème, Gutierrez 18ème
Après la relative embellie chinoise, les monoplaces suisses sont rentrées dans le rang. Ni Hülkenberg, en milieu de tableau, ni Gutierrez, parti en fond de grille à cause d'une pénalité après la Chine, n'ont réussi à tirer leur épingle du jeu, lors d'une course menée à un train d'enfer et terminée par 21 voitures sur les 22 au départ.
Toro Rosso : Ricciardo 16ème, abandon de Vergne
Très mauvais week-end pour les Italiens de Faenza, dont les voitures étaient trop limitées en performance pour permettre aux pilotes d'aller chercher un bon résultat. L'Australien a fait ce qu'il a pu, dans une voiture de plus en plus difficile à piloter, et "JEV" a été accroché dès le premier tour par Bottas, ce qui l'a envoyé sur le passage de van der Garde qui n'a pas réussi à l'éviter. Bilan: voiture très abîmée et seul abandon de cette course folle.
Marussia : Bianchi 19ème, Chilton 20ème
C'est le plus mauvais week-end de l'écurie russe en 2013, à cause d'une propension à user les pneus qui a rendu la course très difficile à ses deux pilotes, mais aussi des progrès de la Caterham de Pic, bien améliorée par un nouveau package aérodynamique. Tout le talent de Bianchi n'a pas suffi et les améliorations de Barcelone seront les bienvenues.
http://auto.rtl.fr/article/f1-gp-de-bahrein-le-bilan-equipe-par-equipe-7760683194
Quelques statistiques après le Grand Prix de Bahreïn
Les chiffres intéressants du week-end
23 avril 2013 - 09h35, par Olivier Ferret
Sebastian Vettel remporte à Bahreïn sa 28ème victoire pour son 105ème Grand Prix (le 11ème consécutif dans les points). Son ratio de victoire est donc de 26.67%, dépassera-t-il les 29.64% de Michael Schumacher ? C’est aussi son 49e podium, il égale Jenson Button, et son 17e meilleur tour en course.
Kimi Räikkönen et Romain Grosjean montent respectivement sur leur 72e et 4e podium. Le Finlandais poursuit sa série de Grands Prix dans les points, il en compte à présent 21. Deux pilotes ont réalisé leur meilleure performance en qualification : Paul di Resta (5e) et Charles Pic (18e).
Pour son 200e Grand Prix, Mark Webber termine à une décevante 7e place si l’on compare au 200e d’Alonso la semaine dernière et c’est la 100e fois qu’il marque des points, ce qui fait un ratio de 50%. Pour les pilotes en activité, c’est Lewis Hamilton qui détient le plus gros ratio avec 75.44 %. Il est talonné par Vettel avec 73.33% et Alonso avec 72.64%.
Jenson Button devient le 3e pilote à avoir parcouru le plus de kilomètres en F1 avec 60 692 kms. Il lui manque un peu moins de 20 000 kms (environ 66 GP) pour atteindre les 80 607 kms de Barrichello et 600 de plus pour le record absolu de 81 208 de Michael Schumacher.
Fin de série pour Felipe Massa après 13 Grands Prix dans les points.
Pour son 150e Grand Prix, Red Bull remporte sa 36e victoire. C’est également son 84e podium et son 31e meilleur tour en course.
Lotus compte à présent 186 podiums et 24 Grands Prix consécutifs dans les points.
McLaren et Ferrari poursuivent eux aussi leur série de Grands Prix dans les points avec respectivement 62 et 52 courses.
C’était le 9e Grand Prix de Bahreïn. Alonso et Ferrari détiennent toujours le record de victoires avec respectivement 3 et 4 succès. Comme pour la Chine, Alonso est le seul pilote à avoir terminé les 9 Grands Prix de Bahreïn dans les points.
http://motorsport.nextgen-auto.com/Quelques-statistiques-apres-le-Grand-Prix-de-Bahrein,59848.html
Bahreïn : La course vue des stands
Suite au Grand Prix de Bahreïn 2013, les responsables techniques ou sportifs reviennent sur les performances de leurs écuries respectives, à commencer par celles de Red Bull suite à la victoire de Sebastian Vettel, déjà la deuxième pour l'Allemand en seulement quatre manches cette saison.
Red Bull
Sebastian Vettel - Vainqueur
Mark Webber - 7ème
Christian Horner, Directeur d'équipe : « Un pilotage absolument impeccable de la part de Sebastian aujourd'hui. Il a réalisé deux dépassements brillants, un sur Fernando (Alonso) et l'autre sur Nico Rosberg. Ensuite, il a dominé la course jusqu'à l'arrivée et a brillamment conservé ses pneumatiques. La stratégie a fonctionné à merveille avec les pneumatiques économisés lors des qualifications, ce qui a produit une belle victoire avec une stratégie à trois arrêts. Pour Mark, après avoir bien roulé dans le premier relais et avoir progressé après les premiers arrêts, dans le deuxième relais il a attaqué fort dans les premiers tours ce qui l'a placé en deuxième position. Malheureusement, il n'a pas pu aller aussi loin que prévu dans ce relais, ce qui l'a mis sous pression pour les deux suivants. Son dernier arrêt l'a placé avec ceux qui étaient en deux arrêts, et ensuite il était surtout question d'aller au bout. Malgré s'être formidablement bien défendu face à Lewis, il était à court de performance avec ses pneumatiques avant la fin de la course, mais a tout de même inscrit de bons points. »
Lotus
Kimi Räikkönen - 2ème
Romain Grosjean - 3ème
Eric Boullier, Directeur d'équipe : « Nous sommes là de nouveau, comme en 2012 ! Cette fois cela a été un peu plus compliqué - notamment après notre performance en qualifications qui était moins bonne qu'espérée - mais nous avons montré notre rythme tout au long du week-end et confirmé cette vitesse lorsque cela importait. La victoire n'était pas vraiment dans nos cordes après le départ réalisé, mais terminé avec un double podium alors que le top 6 était un objectif plus réaliste avant la course est une belle performance de la part de tout le monde. Je suis ravi pour toute l'équipe présente ici à Bahreïn et à Enstone; c'est un résultat bien mérité. »
Force India
Paul di Resta - 4ème
Adrian Sutil - 13ème
Dr Vijay Mallya, Directeur d'équipe : « Un travail fantastique de la part de l'équipe et un magnifique pilotage de Paul nous ont vus terminer à un cheveu du podium aujourd'hui. Même si nous manquons la troisième place, les 12 points inscrits nous place à la 5ème place du championnat et nous donnent des raisons d'être optimistes pour les courses à venir. Bien évidemment, nous aurions pu faire tellement plus si Adrian n'avait pas été victime d'une crevaison dans le premier tour. Le contact avec Massa a clairement coûté cher parce que le rythme de course d'Adrian était similaire à celui de Paul et nous aurions pu placer les deux voitures dans les points à l'arrivée. Nous allons nous concentrer sur le positif et apprécier cette 4ème place, qui a confirmé le rythme de la voiture et montré une fois de plus que nous pouvons être présents aux avant-postes et nous battre avec quelques unes des meilleures équipes. »
Mercedes
Lewis Hamilton - 5ème
Nico Rosberg - 9ème
Ross Brawn, Directeur de l'équipe Mercedes : « Nous avons lutté dans la première partie de la course lorsque les températures de piste étaient à leur plus haut niveau. C'est un problème que nous devons régler, et nous allons continuer à travailler sur des solutions pour améliorer nos performances dans ce domaine. Dans la seconde moitié de la course, quand les températures de piste ont un peu refroidi, notre rythme n'était pas si mauvais - en particulier avec Lewis. Nous avons deux voitures dans les points à la maison, les deux pilotes ont apprécié la course. Lewis et Nico ont fait le meilleur job possible avec la voiture que nous avions cette après-midi mais il fallait limiter les dégâts pour chacun d'eux. Toutefois, nous devons en faire une priorité pour mieux faire face aux températures élevées. Les pneus sont les mêmes pour tout le monde et notre performance n'est pas aussi bonne que celle de nos concurrents dans ces conditions »
McLaren
Sergio Pérez - 6ème
Jenson Button - 10ème
Martin Whitmarsh, Directeur d'équipe : « Le Gulf Air Grand Prix de Bahreïn 2013 a été une course fantastique et je suis certain que cela a été très agréable pour les dizaines de millions de téléspectateurs qui l'ont regardé à la maison et pour les chanceux qui étaient ici à Sakhir pour le voir en vrai. Checo a réalisé sa meilleure course pour Vodafone McLaren Mercedes jusqu'à présent, en dépassant Fernando (Alonso) et Mark (Webber) dans les derniers tours, pour finir sixième à la fin. C'était très bien, surtout lorsque l'on considère qu'il a été en mesure de conserver un rythme de course très rapide alors qu'il avait endommagé son aileron arrière et une des ailettes sur l'aileron avant. Jenson aurait terminé au même endroit s'il n'avait pas dû faire un arrêt aux stands supplémentaire à seulement dix tours de la fin. Cependant, il est également parvenu à finir dans les points. Les deux se sont battus une bonne partie de l'après-midi. Ils étaient parfois un peu trop près en fait mais cela fait partie de la course. Jenson et Checo sont tous les deux rapides, forts et ont faim de succès. C'est exactement comme cela que cela doit être. C'est ce qu'on appelle la course automobile et nous, Vodafone McLaren Mercedes, avons toujours permis à nos pilotes de se battre. C'est l'essence même de ce sport. Cela étant dit, je pense qu'il est honnête de reconnaître que Checo a été un peu trop offensif sur Jenson cet après-midi et je pense qu'il le sait. D'ici nous allons revenir à Woking où nous allons travailler dur pour apporter un package d'améliorations pour l'Espagne, où nous espérons pouvoir poursuivre dans trois semaines notre processus de développement continu de la MP4-28 pour en faire la machine compétitive qu'elle doit être. »
Ferrari
Fernando Alonso - 8ème
Felipe Massa - 15ème
Stefano Domenicali, Directeur d’équipe : « Ce n’est vraiment pas le résultat que l’on souhaitait après avoir montré tout le week-end que nous étions capables de nous battre dans le haut du classement. Les résultats d’aujourd’hui doivent être oubliés rapidement même si nous sommes très déçus de ne pas avoir ramené les points que nous espérions… Malgré son problème de DRS, Fernando [Alonso] a superbement piloté, maîtrisant les dépassements et réalisant de superbes temps au tour. La course de Felipe [Massa] a été aussi très compliquée : dans un premier temps il a subi une collision dans le premier tour qui a endommagé l’aileron avant de sa F138 et ensuite, des problèmes avec les pneus durs ont compromis un peu plus sa course. Une analyse rapide après les 4 premières courses de la saison montre que nous n’avons pas ramené les points que nous aurions dû. Dans trois semaines, nous serions de retour en Europe et il sera important de changer la tendance à ce moment-là. Jusqu’à là nous continuerons de développer la monoplace qui a encore beaucoup de potentiel à offrir. »
Williams
Pastor Maldonado - 11ème
Valtteri Bottas - 14ème
Mike Coughlan, Directeur technique : « Etant donné notre rythme de vendredi, nous nous attendions à faire une meilleure performance en course que ce nous avons été en mesure d'accomplir en qualifications et c'est ce qui est arrivé aujourd'hui. Nous avions prévu trois arrêts aux stands pour nos deux voitures et notre stratégie a fonctionné comme nous le pensions. Nous sommes presque rentrés dans les points. Même si quelques voitures devant ont eu des problèmes, nous avons attaqué jusqu'au drapeau à damiers. Les deux voitures auraient pu se battre ensemble à la fin mais Valtteri a perdu du temps à cause d'un problème lors de ses arrêts aux stands. Nous devons maintenant continuer à améliorer la performance de la voiture pour les prochaines courses. »
Sauber
Nico Hülkenberg - 12ème
Esteban Gutiérrez - 18ème
Tom McCullough, Directeur de l'ingénierie en piste : « Il était clair que cela serait difficile pour Esteban en partant du fond de la grille. Malheureusement, nous avons dû changer son aileron avant au premier tour. Il était impossible pour lui de refaire son retard à partir de là. La course de Nico s'est déroulée comme prévue mais nous n'étions tout simplement pas assez rapides pour marquer des points. Nous devons regarder les données en détail, nous regrouper et nous préparer pour Barcelone. »
Toro Rosso
Daniel Ricciardo - 16ème
Jean-Eric Vergne - Abandon
Franz Tost, Directeur d'équipe : « Notre rythme de course avec Daniel est un mystère pour le moment, car la voiture a clairement et de manière inattendue manqué de performance aujourd'hui. Daniel a fait tout ce qu'il a pu et nous avons aussi essayé de faire des changements lors des arrêts, mais cela n'a pas fonctionné. Dès que nous pourrons, nous étudierons la voiture, parce que nous pensons qu'il y a un problème significatif, ce qui serait la cause évident de notre mauvaise performance aujourd'hui. En ce qui concerne Jean-Eric, il a été malheureux d'être mis dehors par une Caterham et une Williams. Lorsque nous avons pu voir que la voiture pouvait encore rouler lors de son arrêt, nous l'avons envoyé de nouveau en piste. Toutefois, après un moment, il est devenu clair que les dommages faits au fond plat et aux autres composants faisaient surchauffer la voiture à un niveau non acceptable. Il n'y avait aucune raison de poursuivre, donc nous avons décidé de le rappeler et de le faire abandonner. »
Caterham
Charles Pic - 17ème
Giedo van der Garde - 21ème
Caterham n'a pas publié les déclarations des représentants de l'écurie.
Marussia
Jules Bianchi - 19ème
Max Chilton - 20ème
John Booth, Directeur d'équipe : « Cela a été malheureusement un week-end difficile pour nous. Notre performance d'aujourd'hui a été définie par le fait que la piste ne répondait pas aux points forts de notre voiture et en même temps, les voitures autour de nous ont fait leurs propres progrès. Cela a été une course chargée aux stands à cause de la dégradation plus importante de nos pneumatiques. Au bout du compte, je pense que nous avons tiré le maximum de notre voiture mais nous avons clairement besoin de franchir une grande étape pour Barcelone pour maintenir notre objectif d'améliorer la voiture au cours de l'année. Nous retournons maintenant à l'usine pour des semaines chargées afin de préparer nos améliorations pour le début de la saison européenne tout en analysant ce que nous avons appris au cours des deux dernières courses. Je suis certain que le résultat de ce travail sera une voiture largement améliorée pour la prochaine course pour que nous puissions nous battre où nous le voulons. »
http://www.fan-f1.com/f1/2013/actualite/15390-F1-Bahrein-La-course-vue-des-stands.html
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