Grand Prix de Grande-Bretagne résultat, essais, course. (1 Rosberg 2 Webber 3 Alonso)

Circuit de Silverstone RSS


Silverstone, Grande-Bretagne

   Circuit : Race
   Longueur 5.141kms
   Nombre de virages 17
   Circulation horaire
   Capacité 150,000
   Achevé en 1947

Grand Prix de Grande-Bretagne 1950

	Pts	n°	Pilote	Châssis	Moteur	Pneus	Tours	Temps	Écart	Qualifications		Meilleur tour
1	9	2	Nino Farina (ITA)	Alfa Romeo 158	Alfa Romeo 158	Pirelli	70	2:13'23.6		1	1'50.8	1	1'50.6	(2)
2	6	3	Luigi Fagioli (ITA)	Alfa Romeo 158	Alfa Romeo 158	Pirelli	70	2:13'26.2	+2.6	2	1'51.0
3	4	4	Reg Parnell (GBR)	Alfa Romeo 158	Alfa Romeo 158	Pirelli	70	2:14'15.6	+52.0	4	1'52.2
4	3	14	Yves Giraud-Cabantous (FRA)	Talbot-Lago T26C-DA	Talbot 23CV		68	2:13'25.0	+2 tours	6	1'53.4	7	1'53.4	(41)
5	2	15	Louis Rosier (FRA)	Talbot-Lago T26C	Talbot 23CV		68	2:14'28.4	+2 tours	9	1'56.0	10	1'55.4	(10)
6		12	Bob Gerard (GBR)	ERA B	ERA		67	2:13'26.4	+3 tours	13	1'57.4
7		11	Cuth Harrison (GBR)	ERA B	ERA		67	2:13'26.8	+3 tours	15	1'58.4
8		16	Philippe Etancelin (FRA)	Talbot-Lago T26C	Talbot 23CV		65	2:14'30.6	+5 tours	14	1'57.8	13	1'57.4	(31)
9		6	David Hampshire (GBR)	Maserati 4CLT-48	Maserati 4CL		64	2:14'03.6	+6 tours	16	2'01.0
10		10	Joe Fry (GBR) Brian Shawe-Taylor (GBR)	Maserati 4CL	Maserati 4CL		64 (45) (19)	2:15'00.4	+6 tours	20	2'07.0
11		18	Johnny Claes (BEL)	Talbot-Lago T26C	Talbot 23CV		64	2:15'28.6	+6 tours	21	2'08.8	17	2'08.8	(29)
Non classées
--		23	Joe Kelly (IRL)	Alta GP	Alta		57			19	2'06.2
--		24	Geoff Crossley (GBR)	Alta GP	Alta		43			17	2'02.6
Abandon(s)
fuite d'huile		1	Juan Manuel Fangio (ARG)	Alfa Romeo 158	Alfa Romeo 158	Pirelli	62			3	1'51.0
en panne de carburant		21	Prince Bira (THA)	Maserati 4CLT-50	Maserati 4CL		49			5	1'52.6
moteur		5	David Murray (GBR)	Maserati 4CLT-48	Maserati 4CL		44			18	2'05.6
moteur		20	Toulo de Graffenried (SUI)	Maserati 4CLT-50	Maserati 4CL		36			8	1'55.8
embrayage		19	Louis Chiron (MON)	Maserati 4CLT-48	Maserati 4CL		24			11	1'56.6
pression d'huile		17	Eugène Martin (FRA)	Talbot-Lago T26C-DA	Talbot 23CV		8			7	1'55.4
boîte de vitesses		9	Peter Walker (GBR) Tony Rolt (GBR)	ERA E	ERA		5 (2) (3)			10	1'56.6
compresseur		8	Leslie Johnson (GBR)	ERA E	ERA		2			12	1'57.4

Grand Prix de Grande-Bretagne 2012
/
Results

Pts

n°

Pilote

Châssis

Moteur

Pneus

Tours

Temps

Écart

Qualifications

Meilleur tour

1

25

2

Mark Webber (AUS)

Red Bull RB8

Renault RS27-2012

Pirelli

52

1:25'11.288

2

1'51.793

2

18

5

Fernando Alonso (ESP)

Ferrari F2012

Ferrari 056

Pirelli

52

1:25'14.348

+3.060

1

1'51.746

3

15

1

Sebastian Vettel (GER)

Red Bull RB8

Renault RS27-2012

Pirelli

52

1:25'16.124

+4.836

4

1'52.199

4

12

6

Felipe Massa (BRA)

Ferrari F2012

Ferrari 056

Pirelli

52

1:25'20.807

+9.519

5

1'53.065

5

10

9

Kimi Räikkönen (FIN)

Lotus E20

Renault RS27-2012

Pirelli

52

1:25'21.602

+10.314

6

1'53.290

1

1'34.661

(50)

6

8

10

Romain Grosjean (FRA)

Lotus E20

Renault RS27-2012

Pirelli

52

1:25'28.389

+17.101

9

-

7

6

7

Michael Schumacher (GER)

Mercedes WO3

Mercedes FO108X

Pirelli

52

1:25'40.441

+29.153

3

1'52.020

8

4

4

Lewis Hamilton (GBR)

McLaren MP4-27

Mercedes FO108X

Pirelli

52

1:25'47.751

+36.463

8

1'53.543

9

2

19

Bruno Senna (BRA)

Williams FW34

Renault RS27-2012

Pirelli

52

1:25'54.635

+43.347

13

1'57.426

10

1

3

Jenson Button (GBR)

McLaren MP4-27

Mercedes FO108X

Pirelli

52

1:25'55.732

+44.444

16

1'48.044

11

14

Kamui Kobayashi (JPN)

Sauber C31

Ferrari 056

Pirelli

52

1:25'56.658

+45.370

17

1'57.071

12

12

Nico Hülkenberg (GER)

Force India VJM05

Mercedes FO108Z

Pirelli

52

1:25'59.144

+47.856

14

1'54.382

13

16

Daniel Ricciardo (AUS)

Toro Rosso STR7

Ferrari 056

Pirelli

52

1:26'02.529

+51.241

12

1'57.132

14

17

Jean-Éric Vergne (FRA)

Toro Rosso STR7

Ferrari 056

Pirelli

52

1:26'04.601

+53.313

23

1'57.719

15

8

Nico Rosberg (GER)

Mercedes WO3

Mercedes FO108X

Pirelli

52

1:26'08.682

+57.394

11

1'57.108

16

18

Pastor Maldonado (VEN)

Williams FW34

Renault RS27-2012

Pirelli

51

+1 tour

7

1'53.539

17

20

Heikki Kovalainen (FIN)

Caterham CT01

Renault RS27-2012

Pirelli

51

+1 tour

19

1'49.477

18

24

Timo Glock (GER)

Marussia MR01

Cosworth CA2012

Pirelli

51

+1 tour

20

1'51.618

19

25

Charles Pic (FRA)

Marussia MR01

Cosworth CA2012

Pirelli

51

+1 tour

24

1'54.143

20

22

Pedro de la Rosa (ESP)

HRT F112

Cosworth CA2012

Pirelli

50

+2 tours

21

1'52.742

21

23

Narain Karthikeyan (IND)

HRT F112

Cosworth CA2012

Pirelli

50

+2 tours

22

1'53.040

Abandon(s)

abordage

15

Sergio Pérez (MEX)

Sauber C31

Ferrari 056

Pirelli

12

15

1'57.895

suspension

11

Paul di Resta (GBR)

Force India VJM05

Mercedes FO108Z

Pirelli

3

10

1'57.009

Pas démarré

moteur

21

Vitaly Petrov (RUS)

Caterham CT01

Renault RS27-2012

Pirelli

18

1'49.027

Essais libres

--

125

Jules Bianchi (FRA)

Force India VJM05

Mercedes FO108Z

Pirelli

--

127

Valtteri Bottas (FIN)

Williams FW34

Renault RS27-2012

Pirelli

--

999

Daniel Clos (ESP)

HRT F112

Cosworth CA2012

Pirelli

http://fr.espnf1.com/greatbritain/motorsport/race/54633.html

En souvenir de Mark Robinson, le commissaire de piste décédé peu après la conclusion du Grand Prix du Canada, ses collègues d'outre-mer souhaitent lui rendre hommage lors du GP de Grande-Bretagne (28-30 juin).
Dans les minutes suivant la conclusion de la course, l'homme de 38 ans a été écrasé par la grue transportant la monoplace Sauber d'Esteban Gutiérrez. Gravement blessé, la victime a été héliportée à un hôpital de Montréal où son décès a été confirmé deux heures plus tard.
Membre de l'Automobile Club de l'Île Notre-Dame, Mark Robinson était bénévole pour le Grand Prix du Canada depuis dix ans. Ses amis l'ont décrit comme un homme calme, très heureux de contribuer au bon déroulement de la course et toujours prêt à discuter de sa grande passion, la F1.
http://fr.espnf1.com/canada/motorsport/story/111093.html

Silverstone, un circuit qui doit se développer sur le long terme


Le circuit de Silverstone a fait un pas vers la concrétisation d'un projet de quelque 11 M€ (14 M$) financé par le Heritage Lottery Fund (HLF) britannique en recevant déjà 528 000 € (694 000 $) de cette fondation.
Le British Racing Drivers' Club (BRDC, Club des pilotes de course britanniques) a été récompensé pour son projet Silverstone Heritage Live (Patrimoine vivant de Silverstone), un musée interactif sur l'Histoire de la course automobile en Grande-Bretagne situé à l'entrée du circuit, qui doit voir le jour en 2016.

Suite en novembre 2014
"Nous sommes très fiers d'avoir remporté ce prix avec ce projet", a déclaré Stuart Rolt, le président du BRDC. "Le BRDC et Silverstone ont joué un rôle important dans l'histoire du sport mécanique britannique et Silverstone Heritage va nous donner l'opportunité de partager cela avec les amateurs de sports mécaniques du monde entier."
Le processus est maintenant enclenché. Ce musée qui devrait être fréquenté par 300 000 personnes chaque année va voir le jour grâce à d'autres subventions de la loterie nationale pour lesquelles le BRDC sera candidat à partir de novembre 2014.
© ESPN EMEA Ltd.
http://fr.espnf1.com/f1/motorsport/story/107305.html

Le circuit de Silverstone est un circuit automobile situé à Silverstone, Angleterre. Une moitié du circuit se trouve dans le Northamptonshire, l'autre moitié dans le Buckinghamshire.




Historique
Le circuit de Silverstone est situé sur une ancienne base aérienne de la Royal Air Force. Mise en service à partir de 1943 pour les besoins de la deuxième guerre mondiale, la RAF Silverstone a perdu de son utilité à l'issue des hostilités. Le Royal Automobile Club a alors obtenu des autorités militaires l'autorisation de s'en servir pour organiser des courses automobiles, le Royaume-Uni étant à cette période particulièrement pauvre en infrastructures susceptibles d'accueillir de tels événements.
En 1948, Silverstone accueille sa première course, le Grand Prix de Grande-Bretagne de Formule 1 (remporté par l'Italien Luigi Villoresi sur Maserati). Aménagé à la va-vite sur les pistes de l'aérodrome ainsi que sur les routes bordant la base, le tracé présente un important problème de sécurité dans la mesure où les concurrents sont amenées à se croiser sur la piste, divisée en deux par des bottes de paille. Aussi, à partir de 1949, il est décidé d'abandonner les pistes d'aviation pour se concentrer sur la portion extérieure du circuit.
Le tracé de Silverstone ainsi remanié accueille le GP de Grande-Bretagne en 1949 (victoire du Suisse Emmanuel de Graffenried), puis en 1950, en tant que manche inaugurale du tout nouveau championnat du monde de F1.
À partir de 1955, Silverstone perd l'exclusivité de l'accueil du Grand Prix de Grande-Bretagne, qu'il doit partager avec le tracé d'Aintree près de Liverpool jusqu'en 1962, puis avec celui de Brands Hatch jusqu'en 1986. Depuis le fiasco de Grand Prix de Grande-Bretagne 1986 à Brands Hatch (grave accident de Jacques Laffite, et mise en cause de la vétusté du circuit), Silverstone redevient le siège exclusif du British Grand Prix. Très apprécié des pilotes et du public pour ses enchaînements rapides et sélectifs (le tracé est l'un des rares qui a gagné en caractère en étant modernisé), Silverstone a néanmoins régulièrement attiré le mécontentement des autorités de la Formule 1 en raison de la vétusté de ses infrastructures.
Le contrat liant le circuit (propriété du British Racing Drivers Club) au championnat du monde de F1 a été renouvelé le 7 décembre 2009 pour sept ans après que les responsables du circuit de Donington Park, circuit pressenti pour accueillir l'édition 2010, eurent renoncé¹.
Évolutions du tracé
Le circuit de 1948, empruntant les pistes d'envol, mesurait 5,907 km. Il fut complètement remanié l'année suivante. De 1949 à 1974, le tracé de Silverstone n'a quasiment pas évolué, exception faite de l'emplacement de la ligne des stands, déplacée après le virage de Woodcote.
Le premier changement d'importance a eu lieu en 1975, avec la transformation du virage rapide de Woodcote en une chicane. La raison de ce changement est à chercher dans les premiers tours du GP de Grande-Bretagne 1973, où le débutant Jody Scheckter, en perdant le contrôle de sa McLaren dans Woodcote, avait provoqué l'un des plus importants carambolages de l'histoire de la Formule 1. Cette modification n'a pas altéré le caractère du circuit, considéré comme un circuit de très haute vitesse, le plus rapide du calendrier du championnat du monde de F1 avec Monza. En 1985, à l'apogée des moteurs turbo, le pilote finlandais Keke Rosberg y signera d'ailleurs sur sa Williams-Honda une pole position à la vitesse moyenne de 258,984 km/h. Il faudra attendre la saison 2002 pour que Juan Pablo Montoya batte ce record de vitesse (à Monza).
En 1987, l'adjonction d'une nouvelle chicane est venue ralentir la vitesse moyenne, mais ce sont surtout les profondes modifications de 1991 qui ont modifié la physionomie du circuit. Traditionnellement, lorsque le tracé d'un circuit est modifié en profondeur, cela se fait au détriment du spectacle, mais tel n'a pas été le cas pour Silverstone, qui a certes perdu son caractère de tracé « haute vitesse », mais est devenu plus varié et plus intéressant en termes de pilotage. Le nouvel enchaînement rapide Maggots-Becketts-Chapel est d'ailleurs considéré comme l'un des passages les plus sélectifs du championnat.
Une nouvelle portion entre les virages Abbey et Brooklands² est créée pour l'arrivée des Moto GP en 2010 et a été homologuée par la FIA³. Le développement passe de 5,141 km à 5,900 km et les virages Bridge et Priory sont abandonnés tandis que Abbey et Brooklands sont reconfigurés. L'épreuve se déroulera en 52 tours, pour une distance totale de 306,8 km⁴. En 2011, la ligne de départ entre les virages Club et Abbey est décalée vers Abbey.



Silverstone 2010

Autres configurations actuelles
En 2010, le circuit Grand Prix est modifié sur certains virages, puis en 2011, la ligne des stands est déplacé au sud du tracé, entre les virages de Club et Abbey suite a la constructions du nouveau bâtiment des stands appelé Silverstone Wing. Le circuit possède donc deux lignes des stands : la nouvelle et l'ancienne, qui est conservée pour accueillir les courses de supports des GP.
Circuit National
[th]Caractéristiques générales[/th][th]Lieu[/th][th]Événements[/th][th]Dimensions[/th][th]Nombre de virages[/th][th]Longueur[/th][th]Meilleur tour (?)[/th][th]Temps[/th][th]Pilote[/th][th]Modèle[/th]

Circuit de Silverstone Circuit National

Northamptonshire

ToCA Tour Silverstone (BTCC) Walter Hayes Trophy

6

2,638 km

47.404 sec.

Scott Mansell

Formule 1 Benetton B197

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Le circuit national (Silverstone National circuit) est le tracé le plus court du circuit de Silverstone. Il comprend une partie du tracé Grand Prix plus un raccourci entre les virages de Maggots et Wellington.
Cette variante accueille le Championnat britannique des voitures de tourisme. Ce tracé court correspond parfaitement au courses du BTCC, à savoir des courses rapides ou les voitures repassent très souvent devant les tribunes.
Le tracé national accueille également des rendez-vous et des rassemblements automobiles en tout genre, comme le Walter Hayes Trophy (compétitions


Circuit international
[th]Caractéristiques générales[/th][th]Lieu[/th][th]Événements[/th][th]Dimensions[/th][th]Nombre de virages[/th][th]Longueur[/th]

Circuit de Silverstone Circuit International/Circuit sud

Buckinghamshire

Ferrari Track days

10

2.97889 km

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Le circuit international (International circuit) ou Circuit sud (Southern circuit) est situé dans la partie sud du tracé. Il comprend une partie du tracé Grand Prix plus un raccourci entre les virages Arena et Chapel.
Il a déjà accueilli plusieurs courses de Formule 3 Britannique avant les dernières modifications en 2010.


Circuit de Stowe
[th]Caractéristiques générales[/th][th]Lieu[/th][th]Événements[/th][th]Dimensions[/th][th]Nombre de virages[/th][th]Longueur[/th]

Circuit de Silverstone Circuit de Stowe

Buckinghamshire

écoles de pilotages

5

1.73809 km

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Le Circuit de Stowe (Stowe Circuit) est un tracé à part, il n'est pas relié au circuit GP. Il est situé au centre, à l’intérieur du circuit sud sur des pistes de l'aérodrome de Silverstone. Il accueille des écoles de pilotage

http://fr.wikipedia.org/wiki/Circuit_de_Silverstone

F1 Buemi explique le circuit de Silverstone 2010



https://www.youtube.com/watch?v=0PaBBJ_8hUQ

Mark Webber a remporté le Grand Prix de Grande-Bretagne à deux reprises, en 2010 et en 2012, il espère encore triompher à Silverstone.
De nouveau loin derrière son coéquipier Sebastian Vettel cette saison, le pilote australien semble déjà être réduit aux coups d'éclats pour briller cette année. Or Silverstone est l'un de ses circuits préférés.

25 points à prendre
"Je pense qu'en 2010 la victoire était assez particulière, c'était ma première dans le Grand Prix de Grande-Bretagne. C'est la course à domicile pour l'équipe et pour moi c'est la deuxième course à la maison car j'habite en Grande-Bretagne. Les supporters sont très présents, comme des tifosi italiens. La Formule 1 fait partie du patrimoine des sports mécaniques britanniques depuis longtemps. Ce Grand Prix à Silverstone, c'est un week-end fantastique, c'est prestigieux et c'est la raison pour laquelle ce serait vraiment génial de réussir un bon résultat là-bas."
Le circuit plaît au pilote australien. "Il est fluide et rapide, très exigeant pour le pilote en termes de précision", a-t-il indiqué. "Il est également exigeant pour la voiture. Vous pouvez vraiment la laisser aller et vous avez vraiment l'impression d'être vraiment un pilote de Formule 1."
De la pression ? "Pas vraiment", répond Webber. "Nous venons pour faire de notre mieux pour chaque course. Il va y avoir 25 points à prendre et ce sera le cas pour tout le monde. Je suis sûr qu'il y aura toutefois un petit peu de pression supplémentaire parce que les membres de l'équipe et les familles vont être présents autour du circuit. Ils sont très fiers du travail qu'ils effectuent durant toute l'année. Et ce Grand Prix c'est l'occasion de le mettre en pratique devant eux."
© ESPN EMEA Ltd
http://fr.espnf1.com/redbull/motorsport/story/111949.html

Le pilote n°2 de Red Bull, vraiment?
Mark Webber a déclaré cette saison que les fans souhaitent surtout voir de belles rivalités ainsi qu'une hiérarchie plutôt que des vainqueurs différents à chaque course. En fait, le classement des Pilotes a si souvent changé d'une épreuve à l'autre que peu de gens avaient remarqué, dimanche après-midi à Silverstone, que les deux pilotes au sommet du Championnat (Alonso et Webber) étaient sur la première ligne de la grille de départ. La performance de l'Australien a été exceptionnelle pendant tout le week-end anglais. Il a fait mieux que son coéquipier, le double champion du monde en titre Sebastian Vettel, autant sous la pluie samedi que sur le sec dimanche.
On se souviendra qu'en 2010, lors de son premier triomphe à Silverstone, au terme d'un week-end pendant lequel Red Bull avait semblé favoriser Vettel en lui accordant les dernières évolutions, Webber avait lancé son fameux "pas mal pour un pilote numéro deux" en franchissant la ligne d'arrivée. Sa victoire en Grande-Bretagne s'ajoute à celle de Monaco ; non seulement il a gagné deux fois cette année mais il vient de renforcer un peu plus sa position dans la course au titre (13 points derrière Alonso, 16 points devant Vettel). Soulignons que le podium de Silverstone comptait les trois pilotes figurant au sommet du classement actuel. Il est possible qu'une hiérarchie se dessine.

Un déficit en hausse
Pour la deuxième course de suite, l'écurie McLaren n'a pas marqué plus de cinq points. Par conséquent, elle se retrouve à la 4e place du classement des Constructeurs, derrière Lotus. Les arrêts aux stands problématiques ont disparu à Silverstone, cependant ni Lewis Hamilton ni Jenson Button n'avaient de rythme pendant la course. Pourtant, l'équipe pensait pouvoir battre Red Bull au début du week-end. Le comportement des gommes semble toujours laisser perplexe les deux pilotes, qui n'arrivent pas à atteindre des niveaux d'adhérence satisfaisants, à l'avant en particulier. Mais, fidèle aux style McLaren, le patron Martin Whitmarsh a fait contre mauvaise fortune bon cœur : "Je ne suis pas vraiment inquiet. Être inquiet n'aide pas votre voiture à aller plus vite. Je suis déçu mais il n'y a pas de solution magique. Il faut travailler sur le développement et sur la compréhension de la voiture. C'est très difficile, car comme vous avez pu le voir, on peut être rapide pendant le premier relais sur des pneus durs, et 15 minutes plus tard vous chaussez un autre train et il se comporte différemment malgré les mêmes pressions et les mêmes températures. C'est un véritable défi.

Plus de peur que de mal... cette fois
Les plus petits détails font la différence en Formule 1. Kamui Kobayashi tentait de sauver un dixième ou deux en freinant tardivement au moment d'effectuer son dernier arrêt. Toutefois, vu les nombreuses averses de vendredi et samedi, la surface de son box était moins adhérente que d'habitude ; Kobayashi a heurté trois mécanos. Heureusement, aucun n'a été blessé sérieusement, mais cela rappelle une nouvelle fois à quel point la discipline peut être dangereuse, surtout après le terrible accident de Maria de Villota mardi dernier. Preuve de l'importance que l'on accorde aux questions de sécurité, Kobayashi devra payer une amende de 25 000 € pour, comme l'ont expliqué les commissaires, "une manœuvre très dangereuse qui aurait pu avoir des conséquences graves." Le pilote Sauber avait auparavant fait de très sincères excuses auprès de son écurie.

Hallebardes
Les fans britanniques de sport automobile sont évidemment très familiers avec les conditions météo et les embouteillages. Cela explique peut-être en partie pourquoi la majorité d'entre eux sont parvenus à garder le sourire du début à la fin du week-end. Les embouteillages monstres vus vendredi étaient sans précédent ; un grand nombre de spectateurs ont passé la journée entière sur la route, à tenter de se rendre au circuit (sans succès), pour ensuite tenter de rentrer chez eux (jusqu'en soirée). Les pluies diluviennes des derniers mois ont fait en sorte que les terrains entourant le circuit de Silverstone étaient imbibés d'eau : toutes les voitures ne pouvaient s'y garer comme prévu et les campeurs ne pouvaient pas tous installer leurs tentes. Les organisateurs ont demandé aux gens de rebrousser chemin, ce qui n'a fait que congestionner davantage des routes encombrées déjà sur des kilomètres.
Samedi, on invitait les fans à ne pas se rendre au circuit, dans l'espoir de permettre aux terrains devenus boueux de sécher avant dimanche. Un pari controversé et risqué qui a porté ses fruits. La circulation était un peu plus fluide dimanche et les stationnements étaient improvisés, mais tout s'est déroulé de façon plus organisée. Au terme de ce week-end chaotique, certains fans auront l'honneur de dire "J'y étais" ; d'autres encaisseront les remboursements promis par les patrons du Grand Prix de Grande-Bretagne.

Pluie, pneus et problèmes
Les fans qui ont réussi à se rendre jusqu'au circuit de Silverstone vendredi ont été déçus de constater que très peu de monoplaces étaient en piste pendant les essais, puisque les conditions météo ne se prêtaient pas vraiment à l'exercice. Certains pilotes se sont plaints d'une quantité insuffisante de pneus pluie, chacun n'ayant droit qu'à trois trains de pneus pluie pour la durée du week-end. Toutefois, Pirelli a rejeté cet argument (avec raison) en précisant que chaque train pouvait compléter 60 tours, donc 180 tours au total répartis sur les trois trains octroyés. Plus qu'assez pour compléter un week-end pluvieux.
Le problème provient surtout de la question suivante : pourquoi un pilote devrait-il aller en piste dans des conditions risquées alors qu'il n'y a rien à tirer des informations qu'il pourrait recueillir ? De plus, un accident est vite arrivé et cela pourrait laisser la voiture en mauvais état pour le reste du week-end. Sans oublier qu'il y a peu de logique pour un pilote d'aller en piste user la sculpture de ses pneus pluie si ses adversaires conservent les leurs en restant au garage.
Une solution serait de fournir un train de pneus pluie supplémentaire pour utilisation le vendredi seulement (comme cela se fait déjà avec les intermédiaires en cas d'averse), mais cela pourrait coûter plus d'un demi-million d'euros supplémentaires par saison à Pirelli. Une autre option, sûrement moins coûteuse, serait de demander aux autres pilotes de suivre la diète de Kamui Kobayashi : on ne sait pas ce qu'il a mangé, mais il est parvenu à compléter 35 tours vendredi dans toutes sortes de conditions...

Les histoires du week-end

© Press Association

• Choc : La météo - Plutôt inhabituel comme élément déterminant d'un week-end de course, mais personne n'aurait pu prédire à quel point les conditions météo allaient complètement perturber les essais et les qualifications... et encore moins prédire une course sur le sec dimanche !
  
• Meilleur dépassement : Bruno Senna - À un tour de la fin, il a exécuté une manœuvre de type "ça passe ou ça casse" sur l'extérieur de Nico Hülkenberg, s'octroyant ainsi la 9e place à l'arrivée
  
• Meilleur tour : Mark Webber - Sur le 43e tour, il a amélioré de 0"3 sur son chrono précédent et gagné un impressionnant 0"9 sur Alonso. À partir de ce moment, nous avons compris qu'il pouvait gagner
  
• Pire tour : Pastor Maldonado - Après un arrêt, il est revenu en piste devant Sergio Pérez mais a perdu le contrôle de sa Williams alors que la Sauber tentait de le dépasser par l'extérieur. Pérez a abandonné, Maldonado est retourné aux stands mais a pu compléter sa course. Rien pour contredire sa réputation de casseur en piste
  
• Performance du jour : Romain Grosjean - Après avoir changé son aileron avant endommagé, il était bon dernier à la fin du troisième tour. Mais après deux excellents relais de 24 et 26 tours respectivement, il était 6e à l'arrivée
  

http://fr.espnf1.com/greatbritain/motorsport/story/83745.html

F1 - Pirelli : De multiples stratégies possibles à Silverstone
La météo jouera aussi un rôle


25 juin 2013 - 12h08, par Olivier Ferret 

Prévisions Force India pour Silverstone


Force India nous devoile se prévisions pour le Grand Prix d’Angleterre 2013.
 

La vision de VijayTeam Principal,
le Dr Vijay Mallya,se réjouit de la course à domicile de l’équipe.  Il ya toujours quelque chose de spécial à propos de la course à Silverstone. Après le Grand Prix d’Inde, nous considérons que la course de  Silverstone est notre deuxième «chez soi». Notre siège social se trouve en face de la route et tout le monde dans l’équipe se sent un brin de fierté dans cette course sur ce que nous considérons « sur notre» territoire. Il est également un endroit spécial, le lieu où la toute première course de Formule 1 du Championnat du Monde a eu lieu et qui peut se vanter d’avoir certains des fans les plus passionnés dans le monde.  Deux courses passionnantes à Monaco et au Canada nous ont parfaitement mis en place  pour l’événement de ce week-end. Nous avons fêté notre 100e course au Canada et continué à amasser des points avec les deux voitures. C’est ce que nous devons faire si nous voulons conserver la cinquième place du championnat. Même si je crois encore que nous nous rapprochons toujours  plus du podium, nous devons également mettre l’accent sur ​​la cohérence et de jouer le jeu long du championnat, ce qui signifie marquer des points à chaque course .  Dans le passé, nous n’avons jamais eu beaucoup de succès à Silverstone. C’est une course à domicile pour Paul et je suis sûr que toute l’équipe peut compter sur beaucoup de soutien des fans britanniques. Côté performance, je m’attends à ce que nous soyons compétitifs. Nous avons quelques petites mises à jour, donc je suis optimiste que nous pouvons nous battre pour notre position habituelle dans le top dix.
Dr Vijay MallyaTeam Principal et Directeur Général
 

Paul à propos de  Silverstone
Paul, vous avez été dans les points dans six des sept courses – c’est une bonne cohérence …
Je pense que nous pouvons être très heureux avec cela. Tout bien considéré, nous avons réussi à obtenir quelques bons résultats et tenu notre élan. Les deux derniers résultats, en particulier, ont été très satisfaisant. Ces résultats nous ont bien préparé pour ce week-end, ce qui est un énorme plus pour chacun dans l’équipe.
Parlez-nous de vos émotions avant le week-end …
C’est toujours un moment fort de l’année. Quand j’étais jeune, je rêvais de venir à Silverstone en tant que pilote de Formule 1, c’est toujours un week-end très spécial. En tant que lieu, c’est spectaculaire avec certains des plus grands virages de l’année et l’ambiance est tout simplement incroyable. L’endroit est bondé tous les week-end et le buzz des fans vous donne tellement d’énergie.
Quelles sont vos attentes pour la course?
Avec la façon dont notre voiture fonctionne avec ces pneus à l’heure actuelle, nous sommes serein. Je crois que cette voiture est la meilleure que nous ayons jamais eu et tout le monde dans l’équipe travaille dur pour chercher encore plus de performances de celle-ci. La clé pour Silverstone est d’obtenir  trois jours consécutifs réussis,  le vendredi, samedi et dimanche. C’est ce que nous avons fait à Bahreïn et ça a vraiment payé. Si nous pouvons le faire à Silverstone, alors j’espère que nous pourrons faire un grand impact sur ​​la course.
 

Adrian à propos de  Silverstone :
Adrian, après les points dans les deux dernières courses, vous devez vous sentir positif avant Silverstone …
Je pense qu’il était important d’avoir ces résultats, en particulier la cinquième place à Monaco, car cela vous aide à oublier quelques-unes des occasions manquées  plus tôt dans la saison. Le Canada a été une autre course où nous avons eu une la bonne vitesse et surtout compte tenu de ce qui m’est arrivé pendant la course, il était bon de repartir avec un point. En tant qu’équipe, nous avons montré à quel point nous pouvons être compétitifs, mais je pense qu’il ya encore beaucoup plus à venir.
Silverstone est aimé par la plupart des pilotes – êtes-vous un fan de la piste?
Ce n’est pas mon grand favori, mais c’est un endroit idéal pour conduire une voiture de Formule 1. C’est rapide et fluide, c’est donc  un grand changement de Monaco et du Canada, mais je suis convaincu que nous pouvons y aller et  bien performer. J’apprécie les sections à grande vitesse et aussi le tout récent départ , ce qui rend certainement plus facile de doubler par rapport à l’ancien tracé.
C’est une course à domicile et occupée pour l’équipe – quel est votre plan pour la semaine?
Je serai au Royaume-Uni pour toute la semaine. Il ya une séance de simulateur mercredi pour préparer le week-end et je vais passer beaucoup de temps à l’usine. C’est une bonne occasion de passer plus de temps avec les membres de l’équipe qui ne viennent pas aux courses

http://formule1fo.com/previsions-force-india-pour-silverstone/#more-3578

Prévisions Pirelli pour le Grand Prix de Silverstone 2013


Voici les traditionnelles prévisions de Pirelli  pour Silvestone, en ce qui concerne les stratégies pneumatiques par Paul Hembery et Jean Alesi.
 

Paul Hembery : « Silverstone, avec ses vitesses moyennes très élevées et séries de virages fluides, présente un contraste extrême par rapport au Canada il ya trois semaine, c’est un circuit qui prend beaucoup sur les pneus, mais pour des raisons très différentes que le Canada. Nous avons rassemblé les deux composés les plus durs pourl le Grand Prix d’Angleterre, avec un nouveau procédé de collage reliant la bande de roulement à la ceinture d’acier, qui est conçu pour éliminer les cas isolés  de  délaminage pour arriver à un accord unanime à ce sujet: cependant, nous avons encore une possibilité sur en cas de besoin à l’avenir . Lors des essais libres à Silverstone, nous aurons le même  pneu dur prototyper vu plus tôt cette saison ( Canada) . Visant à une plus grande longévité que notre dur actuel. Ceci afin de donner aux équipes la possibilité de tester ce nouveau composé sur une piste différente et de recueillir davantage de données. Bien sûr, un autre facteur important à Silverstone est la météo britannique notoirement variable: il serait pas une grande surprise de voir le Cinturato Vert intermédiaire et Cinturato Bleu humide  mise en jeu à un moment donné. Pour cette raison, il est très difficile de prévoir le nombre d’arrêts aux stands le jour de la course. L’année dernière, nous avons vu une stratégie à deux arrêts dans des conditions sèches après deux jours de pluie, mais cette année, les composés sont plus doux, si la piste reste sèche, nous pourrions avoir entre trois et quatre arrêts. Nous devrions être en mesure de faire une prévision plus précise après les essais libres. Enfin, et surtout, nous tenons à transmettre nos plus sincères condoléances à la famille et aux amis de Allan Simonsen après le terrible accident au Mans le week-end dernier. Nous étions partenaires de Aston Martin Racing depuis de nombreuses années, et nous pouvons seulement imaginer ce qu’ils doivent être traversent maintenant.  »

Jean Alesi: « La vraie chose à surveiller à Silverstone est toujours la météo: absolument tout peut arriver, et il est souvent à la fois sec et humide. Vous devez penser à vos pieds. C’est un circuit exigeant pour les pneus, pas tellement à cause de la traction et du freinage, mais plus en raison des niveaux élevés d’appuis aérodynamique sur la voiture, en raison des vitesses très élevées. C’est ce qui crée l’usure des pneus à Silverstone et les pneus durs et  pneus médiums sont un bon choix. En tant que pilote, j’ai été sur le podium à Silverstone à plusieurs reprises et je l’ai toujours apprécié, dans ses diverses configurations. La dernière modification pour le nouveau complexe des stands est un investissement très impressionnant, mais pour moi c’est une honte qu’ils ont raboté le virage du   »Bridge »: qui était  un défi fantastique. En tout cas, Silverstone sera toujours le circuit pour un vrai pilote, donc je pense que nous pouvons nous attendre à une bonne course, moins de politique et plus de stratégies intéressantes. C’est toujours un plaisir de venir ici parce que les fans britanniques sont très forts et passionné de Formule 1. Il ya une vraie culture du sport automobile en Grande-Bretagne, je pense que tout le monde apprécie.  »
 http://formule1fo.com/previsions-pirelli-pour-le-grand-prix-de-silverstone-2013/#more-3572

F1 - La FIA confirme les deux zones DRS pour Silverstone
Deux lignes droites bien séparées


25 juin 2013 - 20h17, par Olivier Ferret 
http://motorsport.nextgen-auto.com/La-FIA-confirme-les-deux-zones-DRS-pour-Silverstone,62677.html

F1 - Mansell commissaire à Silverstone
Un habitué


25 juin 2013 - 20h06, par Camille Komaël 

A chaque course, un commissaire de course ex-pilote est désigné. Pour la quatrième année consécutive à Silverstone, c’est Nigel Mansell qui a été choisi pour occuper ce poste.

Mansell est de plus un enfant du pays, et le Britannique peut faire valoir son expérience, du haut de ses 187 Grands Prix disputés et de son titre mondial glané en 1992 avec Williams.

Nigel Mansell a remporté 31 victoires et signé 32 poles positions le long de sa carrière, montant également sur 28 autres podiums (en plus de ses 31 victoires).

Mansell devra aider les autres commissaires présents, un Italien (Paolo Longoni) et un Suédois (Lars Österlind), à prendre des décisions concernant des faits de course.

Nigel Mansell est un habitué de ce rôle puisqu’il l’a occupé à de nombreuses reprises, et pas uniquement à Silverstone. Il a en effet également officié à Spa (en 2010 et 2011) et Monaco (en 2012).

Rappelons que le Britannique a remporté le Grand Prix de Grande-Bretagne à 4 reprises au cours de sa carrière, dont 3 fois à Silverstone.



http://motorsport.nextgen-auto.com/Mansell-commissaire-a-Silverstone,62676.html

F1 - Hamilton compte sur les lignes droites de Silverstone
Pour refroidir ses pneus


25 juin 2013 - 17h53, par Camille Komaël 

F1 - Massa : Silverstone devrait convenir à la Ferrari F138
Felipe est optimiste


25 juin 2013 - 13h03, par Olivier Ferret 

F1 - Pat Fry voit Silverstone comme une course normale
Il faut juste faire au mieux pour gagner


25 juin 2013 - 16h50, par Emmanuel Touzot 

F1 - Un forum FOTA au Grand Prix de Grande-Bretagne
A Londres


24 juin 2013 - 17h15, par Olivier Ferret 

Les enjeux du Grand Prix de Grande-Bretagne


par Nicolas Carpentiers le 27/06/13 à 8:55



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L’ogre ailé
Silverstone, berceau de la Formule 1 (le circuit britannique a accueilli le premier Grand Prix de l’histoire en 1950), est devenu la chasse gardée de Red Bull depuis 2009. Lors des quatre dernières éditions, l’écurie a signé trois pole positions (2009, 2010, 2011) et trois victoires (2009, 2010, 2012). Pendant cette période, il y a toujours eux deux pilotes Red Bull sur le podium, sauf en 2010 (où Sebastian Vettel a terminé septième, après une crevaison au premier tour) et six places en première ligne (sur huit possibles). Bref, le taureau rouge se promène dans l’arène anglaise… Une fois n’est pas coutume, le futur retraité des Grands Prix Mark Webber (deux succès et toujours sur le podium depuis quatre ans) fait généralement mieux que Vettel (une victoire, en 2009). Il faut dire que les bolides d’Adrian Newey sont traditionnellement efficaces dans les courbes rapides, où l’appui aérodynamique est primordial. Une telle domination ne laisse que des miettes aux adversaires : deux podiums à peine pour Ferrari et McLaren depuis quatre ans, alors que l’équipe d’Enstone (aujourd’hui Lotus) n’est plus monté sur le podium depuis 2006 et la victoire de Fernando Alonso, sous les couleurs Renault…
Combinaison blanc-orange
En Grande-Bretagne, Pirelli apportera les mélanges médiums (blancs) et durs (orange), une combinaison déjà utilisée en Malaisie, au Bahreïn et en Espagne (mais avec une nouvelle fixation entre la ceinture en acier et la structure en vue de réduire le risque de délaminage). Sur ce tracé rénové l’an dernier, l’usure (la consommation en gomme) est assez marquée n raison des fortes charges latérales qui s’exercent sur le pneu dans les virages rapides, comme Copse ou Abbey. En revanche, la surface de la piste n’étant pas aussi abrasive qu’à Barcelone, la dégradation (la chute de performance) n’est pas trop importante.

L’an passé, le manufacturier italien avait sélectionné les tendres et les durs. Après des qualifications sur le mouillé, les pilotes avaient pu partir avec le composé slick de leur choix. Webber avait gagné en partant de la seconde place de la grille, après s’être élancé en tendres et avoir complété deux relais en durs. Alonso, en pole, était arrivé en deuxième position après avoir choisi la stratégie inverse (deux premiers relais en durs et finissant avec les tendres). Cette année, avec des spécifications plus dures mais des mélanges généralement plus tendres, on devrait assister à deux ou trois arrêts (avec une préférence pour deux pitstops, au 10-15ème tour et au 29-35ème tour). Particulièrement imprévisible en Angleterre, la météo devrait cependant être clémente ce week-end (autour de 20 °C, pas d’averses prévues).
Et du côté des challengers ?
Alonso devra réaliser un excellent week-end et terminer devant Vettel (seul pilote à avoir remporté trois victoires cette saison, jamais moins bien que 4ème) s’il veut réduire l’écart de 36 points qu’il accuse déjà après seulement sept Grands Prix sur dix-neuf sur le pilote allemand, leader au championnat. Pour y arriver, Fernando devra compter sur une dégradation plus importante des pneus sur la RB9 – hypothétique, car les ingénieurs de Milton Keynes ont vraisemblablement progressé dans l’exploitation des Pirelli. De progrès en matière pneumatique dépend aussi la compétitivité des Mercedes, Flèches d’argent le samedi et boulets de plomb le dimanche (en forçant un peu le trait). L’enchaînement Copse-Maggotts-Becketts-Chapel devrait faire chauffer les gommes, talon d’Achille des monoplaces de Brackley depuis quelques saisons.
A l’aise avec leurs pneus, les Lotus ont, elles, manqué de compétitivité lors des dernières manches. La E21 arborera une nouvelle carrosserie, plus enveloppante, un nouvel aileron avant et des suspensions révisées. Mais cela sera-t-il suffisant pour permettre à Kimi Räikkönen d’arracher une deuxième victoire, après son succès australien ?
La pression est décidément bien lourde sur les épaules des adversaires de Red Bull !

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http://www.f1i.com/f1i-features/les-enjeux-du-grand-prix-de-grande-bretagne/

GP de Grande-Bretagne - Présentation

Retour aux sources
Chris Medland / D.B.
27 juin 2013


Après le voyage au Canada, la F1 retourne là où tout a commencé, soit le circuit de Silverstone en Angleterre. Le Grand Prix de Grande-Bretagne est la course à domicile pour huit des 11 écuries ; sept d'entre elles (Red Bull, Mercedes, Lotus, Williams, Force India, Caterham et Marussia) sont à moins de 65 km du circuit, tandis que McLaren est à 90 minutes du tracé.

Cela signifie que la majorité des équipes espèrent avoir quelque chose à fêter dimanche soir, non seulement pour leur public à domicile mais aussi pour tout le personnel de l'usine qui n'a pas habituellement l'opportunité d'assister aux courses. Ce facteur humain peut souvent faire la différence au cours d'un week-end.

En hausse
Difficile de ne pas penser à la victoire dominante de Sebastian Vettel sur le circuit Gilles-Villeneuve, il y a bientôt trois semaines. Red Bull n'avait jamais gagné au Canada, et pourtant Vettel a creusé l'écart dès le départ et n'a plus été réellement inquiété. Les deux petites erreurs qu'il a commises, soit frotter le mur du virage 4 et quitter la piste dans le virage 1, démontraient à quel point il poussait sa machine. C'est donc avec une avance de 36 points en poche que le champion en titre se présente à Silverstone, où Red Bull a été victorieuse à trois reprises au cours des quatre dernières éditions du GP de Grande-Bretagne.

En baisse
Les choses vont de mal en pis pour l'écurie McLaren depuis le début de la saison. Reconnue pour son habileté à rapidement développer une voiture du début à la fin d'un championnat, nous nous attendions à voir l'équipe regagner le terrain perdu et éventuellement se battre pour des victoires. Toutefois, cet objectif semble encore loin suite au GP du Canada, où McLaren n'a marqué aucun point pour la première fois en 64 courses consécutives. Et pourtant, les deux voitures ont complété cette course sans incident et sans problème mécanique. Ce week-end, la mission de Jenson Button et Sergio Pérez est de simplement terminer dans le top 10.

À surveiller
Après des courses décevantes à Monaco et au Canada, Felipe Massa espère rebondir en Grande-Bretagne. Son début de saison était encourageant mais il semble stagner depuis quelque temps. La bonne nouvelle, c'est que Ferrari était forte à Barcelone et que le tracé rapide de Silverstone devrait de nouveau convenir aux monoplaces rouges. En plus des caractéristiques similaires entre ces circuits, les deux types de gomme utilisés seront les mêmes : medium et dur. Tous les ingrédients sont donc réunis pour que Massa connaisse un bon week-end. La pression demeure forte pour le pilote brésilien, dont le contrat a été prolongé d'un an seulement pour inclure la saison 2013. Massa doit s'assurer de signer de bonnes performances de manière constante.

Points chauds

Le Tribunal international
Nous pensons encore au Tribunal international de la FIA, même une semaine après l'audience et le verdict concernant la polémique des essais Pirelli effectués avec la monoplace Mercedes actuelle. La décision attribue une part de responsabilité à Pirelli, à Mercedes et à la FIA ; cette dernière a promis de revoir les règles encadrant ce type d'essais privés. Mais cela n'a pas empêché Red Bull et Ferrari, les plaignantes, de se montrer très insatisfaites par les réprimandes du tribunal adressées à Mercedes. Le sujet sera difficile à éviter pour toutes les équipes du paddock ce week-end.

Le départ de Webber
Historiquement, c'est après le GP de Grande-Bretagne que Webber annonçait sa prolongation annuelle avec Red Bull. Mais cette fois, l'Australien a confirmé jeudi matin qu'il quittait la F1 pour rejoindre Porsche en Endurance. Particulièrement apprécié des fans britanniques pour son franc-parler, deux fois vainqueur en Grande-Bretagne, une troisième victoire serait une belle façon de conclure sa dernière course à Silverstone, non ?

Une place libre chez Red Bull
Bien sûr, l'annonce de Webber mène inévitablement à un autre sujet : qui le remplacera chez Red Bull l'année prochaine ? Ce n'est pas tous les jours qu'un volant est disponible au sein d'une écurie de F1 aussi dominante. Les candidats seront sûrement nombreux, mais déjà le nom de Kimi Räikkönen est mentionné et l'équipe elle-même s'est dite intéressée. Ami de Sebastian Vettel, le Finlandais est évidemment talentueux et sa personnalité serait très compatible avec la philosophie Red Bull (l'entreprise le sponsorisait d'ailleurs en rallye). Quant à Daniel Ricciardo, Jean-Éric Vergne ou encore Sébastien Buemi, tous membres de la famille Red Bull, leurs candidatures doivent être considérées, mais sachant que le contrat de Raïkkönen avec Lotus prend fin cette année... Histoire à suivre.

Ententes non finalisées
Les trois prochaines courses nous feront basculer dans la seconde moitié du championnat. Il est donc normal que le nombre de questions portant sur la saison 2014 augmente. Maintenant que la page est tournée sur la polémique des essais avec Mercedes, Pirelli entend bientôt signer un contrat pour 2014 et au-delà. Cet aspect devient de plus en plus important car le temps file et l'entreprise italienne devra bientôt donner des détails aux équipes concernant les caractéristiques de sa future gamme de pneumatiques. Pendant ce temps, l'écurie Marussia n'a toujours pas d'entente avec le détenteur des droits commerciaux (la firme CVC Capital, représentée par Bernie Ecclestone). Graeme Lowdon, le PDG de Marussia, dit ne pas comprendre pourquoi l'équipe est traitée différemment des autres.

Attaque de stats

Sept des 18 virages de Silverstone sont pris à plus de 250 km/h ; un seul est abordé à moins de 100 km/h
Deux tiers du tour nécessitent la pleine puissance du moteur ; la plus longue période à plein gaz compte 13,7 secondes
En moyenne, les pilotes effectuent 48 changements de vitesse par tour
Seules trois des 12 dernières éditions du GP de Grande-Bretagne ont été gagnées par le poleman

Autour du Grand Prix

Le GP de Grande-Bretagne figure sur le calendrier de la F1 depuis le tout premier championnat, en 1950
Cette course n'a jamais été remportée par un pilote hors du top 10 au départ. Au cours des 20 dernières années, seul Johnny Herbert a réussi à s'imposer après avoir démarré de la 5e place
Parmi les pilotes britanniques, Stirling Moss, Tony Brooks, Peter Collins, Jim Clark, Jackie Stewart, James Hunt, John Watson, Nigel Mansell, Damon Hill, Johnny Herbert, David Coulthard et Lewis Hamilton ont gagné leur GP national. Quant à Jenson Button, champion en 2009, il espère toujours grimper sur le podium.

Le circuit
Silverstone a toujours compté parmi les circuits favoris des pilotes, et les modifications apportées au tracé ces dernières années n'ont pas affecté cet enthousiasme. Les virages à haute vitesse Maggots, Beckets et Chapel sont très populaires et la nouvelle configuration du virage Abbey, qui se prend presque à fond, s'ajoute à la liste. Lorsque 800m supplémentaires ont été ajoutés au tracé, cela a ouvert de nouvelles opportunités de dépassement (dans Village et Brooklands) en plus d'offrir un meilleur point de vue pour les spectateurs. Il y aura deux zones DRS ce week-end.

Météo
Les prédictions météo indiquent de la pluie vendredi pendant les deux séances d'essais libres. Voilà une situation frustrante pour les équipes qui espéraient tester leurs nouveaux éléments et évaluer le rythme de leurs voitures sur les longs relais. Il sera donc difficile de bien comprendre la portée des nouvelles pièces, sans oublier que le travail sur les réglages sera compliqué. Mais le reste du week-end s'annonce sec et c'est une bonne nouvelle pour les fans : les équipes n'auront que la séance d'essais libres de samedi matin pour tout peaufiner avant d'attaquer les qualifications, et ensuite la course.

Pilote-commissaire
Nigel Mansell, champion 1992, se joindra au deux autres commissaires de course ce week-end. C'est la quatrième année consécutive que l'ancien pilote Lotus, Williams, Ferrari et McLaren, occupe ce rôle pendant le GP de Grande-Bretagne.

La conclusion d'ESPNF1
Pour le moment tout indique que la victoire sera disputée entre deux écuries, soit Red Bull (très rapide à Montréal) et Ferrari (très rapide à Barcelone). Mais puisque toutes les équipes ou presque auront des nouveautés sur leurs voitures, il reste à voir si Lotus et Mercedes arriveront à compliquer la course des favoris ou même à créer la surprise. La réponse définitive, bien entendu, ne sera connue que dimanche après-midi...

© ESPN EMEA Ltd.
http://fr.espnf1.com/greatbritain/motorsport/story/112741.html

Ce nom résonne comme une légende. Silverstone. Un circuit qui a marqué l’histoire de la Formule 1 de son empreinte dès l’ouverture du premier championnat du monde en 1950. Mais s’il est aujourd’hui incontournable, ce tracé n’avait pourtant rien pour plaire à l’origine. Sur les restes de la base aérienne de la Royal Air Force, le premier Grand Prix organisé en 1948 aurait pu tourner au désastre. Les pilotes étaient amenés à se croiser à l’intersection des deux pistes d’atterrissage (toujours visibles aujourd’hui) que seules quelques bottes de paille séparaient alors. Les problèmes de sécurité sautaient aux yeux et, dès l’année suivante, le tarmac aérien fut abandonné au profit des autres axes périphériques. Le vrai Silverstone prenait forme. Pour mieux en changer encore et encore. En tout, ce ne sont pas moins d’une douzaine de modifications qui ont été apportées au tracé au fil des saisons.

Certes, Silverstone n’est plus aujourd’hui le circuit à haute vitesse qu’il était encore jusqu’à la fin des années 80. En 2010, la piste fut rallongée de près de 750 mètres, modifiant sensiblement la forme du circuit qui comporte désormais une partie plus lente.

Malgré ces grands travaux subis maintes et maintes fois, le tracé anglais a su conserver sa qualité avec une variété de virages qui enchante les pilotes. L’enchaînement Maggots-Becketts-Chapel (de T10 à T14) est l’exemple même de la réussite d’un circuit qui a su se moderniser avec la manière, en proposant encore un challenge des plus sélectifs.

"Malgré la nouvelle portion lente, Silverstone reste un circuit rapide, indique Charles Pic. L’enchaînement Maggots-Becketts-Chapel est unique. C’est tellement rare de nos jours d’avoir plusieurs virages ultra-rapides qui se suivent. Le pilote peut faire la différence dans cette portion du circuit."

Cette série de virages n’est pas d’origine. Elle n’a été introduite qu’en 1991 pour ne plus bouger d’un iota. Le changement a donc parfois du bon. Jusqu’en 2011, cet enchaînement constituait d’ailleurs le second virage après le départ ; Copse (T9) était alors la première courbe, elle aussi très rapide. Les départs étaient donc nerveux et on entrait très vite dans le vif du sujet. Mais avec l’inauguration du nouveau bâtiment des stands, baptisé Silverstone Wing, la grille de départ a migré en amont du virage d’Abbey (T1) qui prélude à la portion plus lente. Malgré cela, le tracé du Northamptonshire reste l’un des favoris des pilotes.

"Silverstone est l’un de mes circuits préférés du calendrier, explique Pastor Maldonado. Il a beaucoup de caractère et quelques virages très emblématiques, et puis les fans britanniques sont toujours des passionnés et des connaisseurs."

L’ambiance est effectivement particulière à Silverstone. La plupart des écuries viennent presque courir à domicile, les spectateurs ont une véritable culture de la F1 et, bien entendu, une météo so british vient souvent jouer les trouble-fête. Le temple de la Formule 1 pourrait donc, cette année encore, réserver bien des surprises et alimenter toujours plus la légende.
http://www.f1i.com/f1i-features/le-grand-prix-de-grande-bretagne-le-circuit-a-la-loupe/

Nico Rosberg a réalisé le meilleur temps de la deuxième séance d’essais libres du Grand Prix de Grande-Bretagne, ce vendredi après-midi, sur une piste relativement sèche.

Les pilotes ont tous beaucoup tourné après avoir quasiment fait l’impasse sur la première session ce matin.

Rosberg a devancé de trois dixièmes Mark Webber, qui a annoncé hier qu’il quitterait la Formule 1 au terme de cette saison. Le pilote australien a devancé d’un dixième son équipier Sebastian Vettel et de près de trois dixièmes la Force India de l’Ecossais Paul di Resta. Lewis Hamilton et Daniel Ricciardo complètent le top 6.

Du côté des pilotes français, Jean-Eric Vergne a signé le septième temps, à un dixième de son équipier. Romain Grosjean a terminé neuvième, quatre places devant Kimi Räikkönen. Jules Bianchi pointe au 18ème rang, trois dixièmes devant la Caterham de Charles Pic, 20ème.

A noter la sortie de piste de Felipe Massa en début de séance. Il s’agit du quatrième accident pour le Brésilien depuis le Grand Prix de Monaco.
Pos Pilote Equipe Temps Ecart Tours
01 N. Rosberg Mercedes 1:32.248 33
02 M. Webber Red Bull Racing 1:32.547 + 0.299 26
03 S. Vettel Red Bull Racing 1:32.680 + 0.432 31
04 P. di Resta Force India 1:32.832 + 0.584 34
05 L. Hamilton Mercedes 1:32.911 + 0.663 28
06 D. Ricciardo Toro Rosso 1:33.171 + 0.923 34
07 J. Vergne Toro Rosso 1:33.290 + 1.042 38
08 A. Sutil Force India 1:33.313 + 1.065 34
09 R. Grosjean Lotus 1:33.322 + 1.074 38
10 F. Alonso Ferrari 1:33.494 + 1.246 32
11 J. Button McLaren 1:33.740 + 1.492 29
12 N. Hulkenberg Sauber 1:33.896 + 1.648 36
13 K. Räikkönen Lotus 1:34.120 + 1.872 30
14 S. Perez McLaren 1:34.130 + 1.882 29
15 E. Gutierrez Sauber 1:34.998 + 2.750 32
16 V. Bottas Williams 1:35.070 + 2.822 29
17 P. Maldonado Williams 1:35.127 + 2.879 35
18 J. Bianchi Marussia 1:35.802 + 3.554 27
19 G. van der Garde Caterham 1:35.984 + 3.736 32
20 C. Pic Caterham 1:36.079 + 3.831 35
21 M. Chilton Marussia 1:37.329 + 5.081 33
22 F. Massa Ferrari 1:43.466 + 11.218 7

http://www.f1i.com/infos/el2-rosberg-mene-devant-webber/

Après un printemps pourri, voici un été pluvieux : pas de chance pour les valeureux spectateurs de Silverstone, privés de spectacle en piste ce matin. Les teams ont toutefois profité de l'accalmie pour engranger les kilomètres et les données cet après-midi, sur une piste encore froide. L'activité a été intense, en répartissant le travail entre les deux voitures, pour évaluer les deux types de pneus proposés par Pirelli, les durs et les médiums. Si Nico Rosberg a été le plus rapide, les pilotes Mercedes - y compris le "local hero" Lewis Hamilton 5ème aujourd'hui - ont résolument adopté un profil bas : les W04 craignent ne pas avoir suffisamment progressé pour gérer l'usure des gommes. Sur un tour, on devrait les retrouver à l'avant de la grille, mais sur la durée du Grand Prix on ignore si les performances des Flèches d'argent s'écrouleront ou pas...

Le verdict clément du "test gate" plane encore dans les esprits. La météo devrait être sèche ce week-end, avec des températures en hausse sans pour autant atteindre des niveaux caniculaires. Dans ces conditions, l'usure du pneu avant gauche (qui souffre dans les grandes courbes) inquiète certains, tandis que Mercedes pourrait souffrir avec ses pneus arrière dans la partie plus technique en motricité. Dès lors, Red Bull et Ferrari affichent des ambitions légitimes, Vettel et Webber - toujours à l'aise dans le Northamptonshire - font figures de favoris avec Alonso (plutôt que Massa, encore sorti aujourd'hui) toujours capable de forcer un résultat sur ce circuit où il avait profité de la météo pour qualifier la Ferrari en pole position en 2011, la dernière fois que la 'rossa' a signé un meilleur temps le samedi. On sait que la Scuderia a travaillé son sujet pour briller davantage en qualification et on verra demain si ses efforts porteront leurs fruits.

L'outsider est indiscutablement Lotus. Tous les teams ont amené des évolutions, surtout aérodynamiques, sur ce tracé rapide, mais la nouvelle carrosserie enveloppante des E21 semble performante. En simulation de course cet après-midi, Romain Grosjean a été le plus rapide avec les gommes médiums, ce qui s'annonce prometteur pour la suite du week-end, d'autant que les Lotus apprécient les températures plus élevées. Comme pour Ferrari, cependant, il faudra qu'elles se qualifient plus haut sur la grille que lors des derniers Grands Prix si Kimi et Romain veulent profiter de leur bon rythme de course. On suivra aussi les Force India et les Toro Rosso capables de tailler des croupières aux McLaren, toujours en dedans malgré l'air du pays.

http://www.f1i.com/f1i-features/synthese-du-vendredi-lotus-en-embuscade/

par Grégory Demoen, envoyé spécial le 29/06/13 à 15:07
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Hamilton

Lewis Hamilton s’élancera de la première place sur la grille de départ pour sa course à domicile. Le pilote britannique a survolé les qualifications cet après-midi à Silverstone pour signer la 28ème pole position de sa carrière, la seconde depuis qu’il a rejoint Mercedes.

Hamilton partira aux côtés de son compatriote Nico Rosberg. C’est la troisième fois en quatre Grands Prix que Mercedes parvient à monopoliser la première ligne sur la grille de départ.

Sebastian Vettel a signé le troisième temps de la séance qualificative devant son équipier Mark Webber et un surprenant Paul di Resta. Sixième, Daniel Ricciardo s’est également illustré alors que son équipier Jean-Eric Vergne ne partira que 13ème après avoir commis une erreur dans son dernier tour rapide en Q2. Adrian Sutil, Romain Grosjean, Kimi Räikkönen et Fernando Alonso complètent le top 10.

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Pos Pilote Ecurie Phase 1 Phase 2 Phase 3 Tours
01 L. Hamilton Mercedes 1:30.995 1:31.224 1:29.607 12
02 N. Rosberg Mercedes 1:31.355 1:31.028 1:30.059 12
03 S. Vettel Red Bull Racing 1:31.559 1:30.990 1:30.211 14
04 M. Webber Red Bull Racing 1:31.605 1:31.002 1:30.220 15
05 P. di Resta Force India 1:32.062 1:31.291 1:30.736 19
06 D. Ricciardo Toro Rosso 1:32.097 1:31.182 1:30.757 20
07 A. Sutil Force India 1:32.002 1:31.097 1:30.908 17
08 R. Grosjean Lotus 1:31.466 1:31.530 1:30.955 23
09 K. Räikkönen Lotus 1:31.400 1:31.592 1:30.962 17
10 F. Alonso Ferrari 1:32.266 1:31.387 1:30.979 16
11 J. Button McLaren 1:31.979 1:31.649 12
12 F. Massa Ferrari 1:32.241 1:31.779 15
13 J. Vergne Toro Rosso 1:32.105 1:31.785 16
14 S. Perez McLaren 1:31.953 1:32.082 15
15 N. Hulkenberg Sauber 1:32.168 1:32.211 15
16 P. Maldonado Williams 1:32.512 1:32.359 18
17 V. Bottas Williams 1:32.664 10
18 E. Gutierrez Sauber 1:32.666 11
19 C. Pic Caterham 1:33.866 6
20 J. Bianchi Marussia 1:34.108 8
21 G. van der Garde Caterham 1:35.481 3
22 M. Chilton Marussia 1:35.858 10
http://www.f1i.com/infos/qualifs-hamilton-en-pole-a-domicile/

McLaren s’attendait à un jour difficile


C’est mieux que prévu

29 juin 2013 - 16h45, par Camille Komaël

Après n’avoir marqué aucun point au Canada, aucune des deux McLaren ne s’est qualifiée en Q3 cet après-midi pour le Grand Prix à domicile de l’équipe. Hier déjà, Jenson Button savait qu’il ne devait pas s’attendre à pouvoir passer en Q3, et encore moins à lutter aux avants-postes, alors il n’est pas si malheureux d’être finalement en 11è position. "Je suis plus haut sur la grille que ce à quoi je m’attendais après les essais. Hier, je ne pensais pas qu’on se qualifierait devant une Ferrari et juste derrière les deux Lotus."

"Mais j’étais beaucoup plus heureux en qualifications que tout au long du week-end. Nous devons être positifs car nous avons amélioré la voiture", affirme-t-il.

Jenson Button n’est pas du tout déçu d’avoir loupé la qualification en Q3, au contraire il considère ça positif sur toute la ligne. "Je crois que 11è était la meilleure position que nous puissions réussir, de manière réaliste. Même si nous avions été en Q3, nous aurions probablement été 10è, donc partir 11è signifie que nous aurons un train de pneus neuf et que nous partirons du côté propre de la grille."

Le Britannique dispute lui aussi son Grand Prix à domicile et il remercie les supporters présents. "Après la Q2, j’ai marché dans l’allée des stands, en saluant la foule. Il y avait tellement de drapeaux britanniques et de casquettes de McLaren, et les supporters ont été d’un incroyable soutien tout le week-end."

"Vous voulez toujours faire du bon travail devant vos supporters, donc je veux leur dire un grand merci pour leur soutien."

Quant à la course de demain, il ne veut pas partir défaitiste et va certainement chercher à accrocher quelques points. "Vous ne savez pas ce qu’il va se passer demain. Partir 11è n’est pas super, mais nous pouvons faire une bonne course de là. Je vais tout donner pour un bon résultat."

Perez malchanceux

La journée a été plus délicate pour Sergio Perez. Il a d’abord perdu un temps de roulage précieux lors de la troisième séance d’essais libres, quand un pneu Pirelli de sa McLaren a crevé, entraînant un drapeau rouge. "Ca a été une journée difficile. La crevaison en essais libres 3 n’a pas été la meilleure préparation pour les qualifications, et ça a tout rendu encore plus difficile, parce que nous avons dû changer le fond-plat endommagé pour passer à l’ancienne version."

La série noire a continué en qualifications quand il a été appelé au contrôle de la pesée par la FIA alors qu’il cherchait à mettre ses pneus en température. "Cet après-midi, j’ai eu du mal à mettre mes pneus en température en Q2, j’ai perdu la température quand j’ai été arrêté pour la pesée par la FIA. Nous avons été un peu malchanceux toute la journée."

Comme son coéquipier, le Mexicain souhaite conserver le positif de cette journée et se satisfait des améliorations. "Mais nous étions quand même beaucoup plus près de ceux de devant nous aujourd’hui qu’hier. Même si ça ne se voit pas, nous nous améliorons clairement, et je crois que nous avions le potentiel de passer en Q3 si nous avions été un peu plus chanceux."

"Notre rythme en course devrait être meilleur que celui en qualifications. Demain va tout de même être un jour difficile, mais je pense qu’on peut aller de l’avant", conclut-il, espérant un jour meilleur.
http://motorsport.nextgen-auto.com/McLaren-s-attendait-a-un-jour-difficile,62924.html

Et c’est p(n)eu de le dire !

30 juin 2013 - 15h40, par D. Thys

Le temps est au beau fixe à quelques instants du départ du Grand Prix de Grande-Bretagne, huitième manche du championnat 2013 de F1. Les Mercedes sont sur la première ligne et les Red Bull sur la seconde.

A l’extinction des feux, Lewis Hamilton prend un départ parfait, mais derrière lui, Sebastian Vettel a pris l’avantage sur Nico Rosberg. Mark Webber (léger accrochage avec Grosjean) a complètement raté son départ alors que Felipe Massa a au contraire fait un bon spectaculaire dans la hiérarchie.

Le classement au premier passage : Hamilton, Vettel, Rosberg, Sutil, Massa, Raikkonen, Ricciardo, Grosjean, Alonso, Button, Perez, Hulkenberg, Gutiérrez, Webber, Maldonado, Vergne, Bottas, Di Resta, Pic, Chilton, Bianchi, Van der Garde.

En tête de la course, Hamilton creuse un petit écart. Au 5e passage, il compte une avance de 2”1 sur Vettel, 3”5 sur Rosberg, 6”7 sur Sutil, 7”4 sur Massa, 8”2 sur Raikkonen, 9”6 sur Alonso, 10”5 sur Grosjean et 12”7 sur Perez.

Coup de théâtre dans le 8e tour lorsque Lewis Hamilton crève à l’arrière gauche. Il rejoint son stand comme il peut et il remonte en piste à la 21e place...

Romain Grosjean et Paul di Resta changent leurs pneus au 9e tour pendant que Felipe Massa est lui aussi victime d’une crevaison à l’arrière gauche au même endroit que Lewis Hamilton un peu plus tôt.

Alonso, Webber, Gutiérrez et Van der Garde rentrent au 10e passage, Raikkonen, Ricciardo, Button, et Bianchi au 11e, Rosberg, Sutil, Hulkenberg, Chilton au 12e, Vettel, Perez, au 13e mais quelques instants plus tard, c’est au tour de Vergne de crever à l’arrière gauche. C’est une véritable épidémie !

La voiture de sécurité entre en action dans le 16e tour. Le classement derrière elle : Vettel, Rosberg, Sutil, Alonso, Raikkonen, Grosjean (qui a laissé passer son équipier à la demande de son équipe), Ricciardo, Perez, Webber, Button, Di Resta, Hulkenberg, Gutiérrez, Hamilton, Maldonado, Vergne, Bottas, Pic, Bianchi, Chilton, Van dert Garde et Massa.

Des dizaines de commissaires balayent la piste a différents endroits, mais on peut penser qu’il ne s’agit pas seulement d’un problème de débris, mais d’un problème plus profond qui touche à la conception même des pneus Pirelli. Les camions balayeurs sont aussi de sortie.

Chez Red Bull, on demande à Vettel d’éviter au maximum les vibreurs... un comble ! Tout cela ne va pas mettre les pilotes en confiance. Quelques minutes plus tard, la FIA avertira les équipes que c’est un vibreur dans Copse qui pose problème.

La course est relancée au 22e tour. Vettel se relancer parfaitement devant Rosberg, Sutil, Alonso, Raikkonen et Grosjean. Quant à Webber il ne tarde pas à prendre la huitième place de Perez.

Hulkenberg et Vergne changent leurs pneus au 25e tour, Gutiérrez au 27e, Raikkonen au 29e, Alonso, Grosjean au 30e, Webber au 31e, Ricciardo, Button au 32e, Sutil, Perez, Di Resta au 33e, Rosberg au 34e, Vettel , Vergne (abandon) au 34e, Hamilton et Massa au 36e.

Le top 12 au 37e passage : Vettel, Rosberg (+2”5), Raikkonen (+12”3), Webber (+12”9), Alonso (+15”4), Sutil (+19”9), Ricciardo, Perez, Grosjean, Button, Maldonado et Di Resta.

Deuxième coup de théâtre dans le 42e tour lorsque Sebastian Vettel est contraint à l’abandon avec une boîte de vitesses bloquée. Le champion allemand immobilise sa monoplace dans la ligne droite des stands et la voiture de sécurité entre en action immédiatement.

Fernando Alonso est rentré au moment où la voiture de sécurité montait en piste. Dès le tour suivant et alors que la course est toujours neutralisée, Rosberg, Webber, Grosjean, Di Resta et Massa font de même.

Le classement derrière la voiture de sécurité : Rosberg, Raikkonen, Sutil, Ricciardo, Webber, Perez, Button, Alonso (il est rentré au mauvais moment), Hamilton, Grosjean, Massa, Maldonado, Hulkenberg, Di Resta, Pic, Bottas, Bianchi, Gutiérrez, Chilton et Van der Garde.

La course est relancée dans le 46e tour, mais quelques minutes plus tard, Perez crève à l’arrière gauche ! Le Mexicain rejoint son stand pour abandonner.

Pendant ce temps, Webber et Alonso progressent dans le classement comme des fusées. Mark Webber pointe à la deuxième place au 48e tour et Alonso à la quatrième. Hamilton remonte lui aussi dans le classement dans le sillage de la Ferrari du champion espagnol.

La victoire va se jouer entre Rosberg et Webber. L’écart est de moins de deux secondes à trois tours de l’arrivée. Au même moment, Alonso dépasse Raikkonen et prend la troisième place ! Il faut noter que Lotus n’a pas voulu que Raikkonen change ses pneus durant la dernière période de la voiture de sécurité et le Finlandais paye cette erreur de jugement maintenant en s’inclinant aussi face à Hamilton.

En tête de la course, Rosberg fait de la résistance face à un Webber déchaîné ! Mais c’est finalement Nico Rosberg qui l’emporte devant Webber et Alonso. Suivent pour les points : Hamilton, Raikkonen, Massa, Sutil, Ricciardo, Di Resta et Hulkenberg.

A noter que Kimi Raikkonen marque des points pour la 25e fois consécutivement et bat ainsi le record de Michael Schumacher.
Pos. Pilote Equipe Ecart Arrêts
01 Nico Rosberg Mercedes AMG 52 laps - 1h32m59.456s 3
02 Mark Webber Red Bull Renault +0.765 3
03 Fernando Alonso Ferrari +7.124 3
04 Lewis Hamilton Mercedes AMG +7.756 2
05 Kimi Raikkonen Lotus Renault +11.257 2
06 Felipe Massa Ferrari +14.573 4
07 Adrian Sutil Force India Mercedes +16.335 2
08 Daniel Ricciardo Toro Rosso Ferrari +16.543 2
09 Paul di Resta Force India Mercedes +17.943 3
10 Nico Hulkenberg Sauber Ferrari +19.709 3
11 Pastor Maldonado Williams Renault +21.135 2
12 Valtteri Bottas Williams Renault +25.094 2
13 Jenson Button McLaren Mercedes +25.969 2
14 Esteban Gutierrez Sauber Ferrari +26.285 4
15 Charles Pic Caterham Renault +31.613 2
16 Jules Bianchi Marussia Cosworth +36.097 2
17 Max Chilton Marussia Cosworth +67.660 2
18 Giedo Van der Garde Caterham Renault +67.759 3
19 Romain Grosjean Lotus Renault +1 lap 4
20 Sergio Perez McLaren Mercedes +6 laps 3
21 Sebastian Vettel Red Bull Renault DNF 2
22 Jean-Eric Vergne Toro Rosso Ferrari DNF 3
http://motorsport.nextgen-auto.com/Rosberg-gagne-une-course-tres-animee,62988.html

Les pilotes sont inquiets pour leur sécurité

30 juin 2013 - 16h24, par Camille Komaël

Lewis Hamilton et Sergio Perez ont tous les deux été parmi les victimes des crevaisons en chaîne de Pirelli cet après-midi au Grand Prix de Grande-Bretagne. Ils ont déclaré que ces problèmes de pneus étaient "inacceptables".

Hamilton a vu son pneu exploser au tout début du GP alors qu’il était en tête tandis que Perez a quant à lui crevé à la fin du GP, mais il avait déjà connu cette mésaventure en essais libres hier matin.

"La sécurité est le plus gros problème. C’est juste inacceptable", a déclaré Hamilton.

"Nous avons eu cet essai pour développer et améliorer les pneus afin d’empêcher cela d’arriver, mais après ces essais de pneus ils n’ont rien fait", continue le pilote Mercedes, agacé.

Hamilton a peur que la FIA et Pirelli attendent un événement sérieux pour réagir. Il tire donc de suite la sonnette d’alarme. "Quelqu’un aurait pu avoir un accident. Quand on était derrière la voiture de sécurité, je pensais que c’est seulement quand quelqu’un sera blessé qu’on fera quelque chose pour ça."

Sergio Perez est parfaitement d’accord avec lui et demande une réaction rapide. "C’est inacceptable. Nous risquons nos vies et nous ne devons pas attendre que quelque chose arrive à l’un d’entre nous."

"Si ça arrive à 250 km/h, ce sera très dommage, donc Pirelli a du travail à faire", affirme le Mexicain.

Lewis Hamilton n’a en tout cas pas l’intention d’aller discuter avec Pirelli ou la FIA car il croit que cela serait inutile. "Je pense que c’est une perte de temps de discuter avec eux pour le moment."

"Ils peuvent voir ce qu’il s’est passé aujourd’hui. Ils doivent y réagir", conclut-il.
http://motorsport.nextgen-auto.com/Crevaisons-de-Pirelli-inacceptable-selon-Hamilton-et-Perez,62994.html